Dijon: Journées non-mixtes aux Tanneries du 15 au 20 février 2005

+++GIRLS STRIKE BACK+++

Journées non-mixtes entre femmes, lesbiennes, femmes d’origines trans, “f to t”*, noires, bleues, hétéras, bis, grosses, grandes, petites, gouines, meufs, putes, salopes, en treillis, en talons aiguilles, butchs, fems, androgynes, dragking, droguées, voilées et encore tout un tas de femmes qu’on n’imagine même pas mais qu’on rêve de rencontrer…

+++DU 15 AU 20 FÉVRIER 2005+++
à l’espace autogéré des Tanneries
17, bd de Chicago
à Dijon

+internet et logiciels libres
+mécanique
+échanges de savoirs
+self-défense
+prévention de risques et sexualité
+musiques
+photo
+réflexions sur nos catégories, nos ghettos etc.
+travaux
+électricité
+feu
+make a sauna
+vidéo
+écrire, diffuser, slam
+radio
+projections
+lectures
+débats
(…)

Vous trouverez ce que vous y apporterez, ce serait comme autogéré. Si vous venez, apportez aussi des couvertures (il fait très froid), de quoi chauffer (radiateurs ,poëles) et de la bouffe de base (il faut apporter à manger parce que sinon on va être obligé-e-s d’acheter des trucs et qui dit acheter dit thunes..). Vegan!

+++ Vous pouvez proposer vos ateliers ou voir le programme sur http://wiki.boum.org/Girlsquatime/

+++ Ou écrire à:
plume1 [at] no-log [point] org
1234 [at] boum [point] org
mercredi [at] poivron [point] org
solveig [at] il-etait-une-fois [point] net
Pour des renseignements ou proposer vos ateliers.

+++ Comme il n’y a pas beaucoup de place pour dormir (environ 40), sauf si vous dormez dans votre camion, il faut s’inscrire auprès de mercredi ou de solveig aux tanneries: 03.80.66.64.81

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*individu-e-s déclarées biologiquement femme-s, se reconnaissant/catégorisant/déclarant/étant perçues transgenre-s. Cette définition est utilisée comme un outil, il n’y a pas de copyright dessus au contraire, et on peut en utiliser d’autres.

De plus cette énumération de catégories n’est pas une volonté de les prendre à la légère, au contraire cela nous parait nécessaire, on veut les faire exister même si on en a oublié.

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