Toulouse: Estivales 2013 du Maquis, du 4 au 14 juillet

Appel à contributions

Depuis 3 ans et demi, le Collectif du Maquis* a navigué dans bien des aventures, occasionnant de multiples rencontres. A chaque fois que nous avons appelé à l’entraide solidaire, nous avons pu apprécier la motivation des personnes mettant déjà en oeuvre la mutualisation.

Nous refaisons donc appel à vous pour un grand chantier collectif cet été.

Objectifs : travailler collectivement avec nos bras et nos cerveaux en alternant les temps de rénovation des espaces collectifs du lieu (re-faire les toits et aménager une salle de spectacle) et les temps de réflexions sur le mouvement libertaire/squatteur/autonome/alternatif/… Et puis bien sûr, finir tout ça par une chouette soirée tou-te-s ensemble (probablement concerts, barbecue et plus si affinités…).

Afin d’élaborer les étapes des chantiers, nous cherchons dès à présent des personnes ressources pour nous aider.

Vous pouvez passer tous les mardis (notre jour de chantier hebdomadaire) pour nous aider aux préparatifs (récups matériaux et outils).

Nous vous invitons à vous inscrire au plus vite pour pouvoir préparer le planning et surtout pour les demandes d’hébergement ou de parking ! Pour cela un mail: maquistoulouse@@@riseup.net ou un teléphone : 06 79 51 25 51 (poné).

A bientôt

Le collectif du Maquis

[* Comment présenter le Maquis de Brugues ? Peut être en commençant par dire que c’est un squat ouvert depuis 3 ans et demi dans le quartier de saint Simon à Toulouse. Ensuite en disant qu’on se définit comme un laboratoire d’expérimentation politique et permaculturel, qu’on est 9 habitant-e-s permanent-e-s mais plutot une quinzaine constamment, avec en plus 1 bébé, 2 chiens, 2 chats et une dizaine de poules. Qu’on est plutôt d’orientation anarcho-décroissants mais pas que. Qu’on essaye d’allier la théorie et la pratique et d’être copains avec nos voisin-e-s. Qu’on tente aussi d’aller vers l’autonomie sous toutes ses formes tout en s’activant sur les luttes sociales toulousaines. Que des fois on est taxés de hippies par nos copains-ines totos et vice versa. Enfin bref, vous l’aurez compris, c’est un peu dur de nous décrire en quelques lignes…]