Bonjour,
hop ! des nouvelles des activités prévues à la Sclairette… (à diffuser largement dans votre entourage et au-delà…)
Pour le mois de décembre, nous projetons… de projeter… des films le jeudi soir, cette fois.
Nous continuons sur la lancée « apéro/grignoti/proje » :
18h30 : apéro/grignoti (amenez de quoi !)
20h : projection suivi de papotis…
Faites passer le message !
au programme :
jeudi 6 décembre : (en présence du réalisateur)
> « Zoos, l’enfer du décor »
Ce long-métrage (94 minutes) de Pablo Knudsen, cinéaste également réalisateur de « Apprendre à tuer » (un film sur les écoles taurines où l’on enseigne à de jeunes enfants à s’exercer à l’arme blanche sur des veaux et des génisses), est une réflexion sur l’enfermement, et plus précisément sur les « jardins zoologiques ». Il en vient graduellement à des considérations philosophiques, voire politiques, sur les rapports que nos sociétés entretiennent avec les (autres) animaux. Parmi les intervenants, un directeur de recherches au CNRS, une philosophe, deux historiens, plusieurs militants antispécistes… (dont l’une des personnes actives à la Sclairette en Prose !).
C’est un film qui déborde sur des considérations générales : un très bon support à des débats sur la question animale… (et/ou sur l’enfermement ?)
jeudi 13 décembre :
> Earthlings (Terriens)
Ce documentaire américain de Shaun Monson, plusieurs fois primé, défend avec talent les thèses égalitaristes. Il questionne tout d’abord théoriquement notre rapport à tous ces autres qui souffrent des conséquences de nos modes de vie, puis dresse un bilan très dur de nos comportements… Le documentaire se termine néanmoins sur une note d’espoir : c’est nous qui pouvons changer tout cela ! (1h35, Vostf, bande originale du film de Moby, narration par Joaquin Phoenix, 2005)
jeudi 20 décembre : (sous réserve)
> Rivers and tides
Documentaire de 1h30 de Thomas Riedelsheimer sur Andy Goldsworthy.
Offrir à voir l’artiste de Land Art dans son processus de création lui-même et le lent déploiement des oeuvres. Une expérience sensorielle et poétique, une invitation à « voir ce qui était toujours là, mais qu’on ne voyait pas ».
Une participation financière (libre) est bienvenue, pour couvrir les frais (très modiques, à la vérité) d’affichage et de location du projecteur.
La Sclairette en Prose est aussi bien un collectif (ouvert) qu’une (plutôt) belle maison dans les jardins du Perrier, à Die, en bordure d’un (magnifique) terrain qui se jette dans la Drôme ; rachetée il y a quelques années par le Conseil général, elle restait vide depuis quatre ans et a été occupée début août par une (tranquille) petite bande en quête de logement et de convivialité, de discussions et de vie, et elle se fait indéniablement de plus en plus agréable au fur et à mesure qu’elle est aménagée.
Nous y avons également organisé une friperie (gratuite) : venez vous servir, vous aurez sans doute besoin de vêtements (chauds) en cette saison (hivernale) qui s’annonce !
Bref, vous êtes invité-e-s, ainsi que quiconque vous voudrez !
La petite bande de la Sclairette en Prose, dite aussi « la maison pirate »
Chemin de Chandillon (en face du Palais des jeux, au bout des jardins du Perrier)
26150 Die (fr)
tél. 04 75 21 85 57