Bruxelles: La CPAS loge les sans-abris au Hilton

Après les déclarations de Pascal Smet et de Monica De Coninck que ce serait peut être moins cher de loger les sans-abris dans un hôtel de luxe, les sans-abris se présentent ce mercredi 17 oktobre 2007 à exactement 10.30 heures à l´hôtel Hilton, Place Rogier 20, 1210 Sint Joost Ten Node à Bruxelles. Ils demandent un lit maintenant que l´hiver se trouve devqant la porte. Ils demandent d´envoyer la note à la CPAS. Avec ceci les sans-abris veulent aider les CPAS à épargner de l´argent. Read More

Bruxelles: Présentation de l’ULM

Octobre 2007

Visitez notre nouveau blog:
http://ulmarolles.blogspot.com/

L’Union des Locataires Marollienne (ULM), créée en 1992, est une ASBL rassemblant une soixantaine de familles de condition très modeste qui luttent ensemble pour le droit au logement.

Son action est multiple : 1. Permanences sociales et juridiques ; 2. Accompagnement social de locataires ; 3. Formation et mobilisation des membres ; 4. Recherche de logements à loyer modéré ; 5. Interpellation des responsables politiques ; 6. Actions de mobilisation… Read More

Bruxelles: Expulsion des 13 Comètes, au cloître de Gesù

Bruxelles_Gesù

Expulsion cloître Jésuites maintenant, en cours.

Bonjour, ce matin du 24 mai 2007 à 7h, le Jésuite frère Devos accompagné par une grande brigade de la police est rentré dans l’église et le cloître de Gesù pour nous expulser! A 8h, tout se passait calmement.
Attention: La police identifie les gens avant de sortir: Pour les sans-papiers, restez dehors du lieu!
Venez encore aujourd’hui nous soutenir et aider, nous avons un jour pour déménager!

Merci à vous!
Plus d’infos suivront.

13cometes at gmail.com

Bruxelles: Expulsion imminente des habitants de la Comète

Expulsion imminente des habitants de la Comète : Résistez avec nous !
Venez nombreux occuper l’église du Gésù dès ce soir [20 mai 2007]!
Prenez sac de couchage et matelas.
Possibilités de planter des tentes dans le jardin et de s’installer dans le platane centenaire.
2 rue traversière-Métro botanique Read More

Bruxelles: Osons !

OSONS LUTTER !!! OSONS VAINCRE !!!

Voulons-nous plus de logements sociaux ???
NON ! Nous voulons le luxe des palaces !!!

Voulons-nous plus de « mixité sociale » ???
NON !!! Nous voulons la fin des privilèges !!!

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Bruxelles: Révolte-toi pour un toit !

Constats :

Les loyers sont de plus en plus élevés et les prix d’acquisition le sont tout autant. La moitié de la population vivant sur le territoire bruxellois a moins de 1000 € par mois tandis que nombre de propriétaires refusent de louer leur bien pour des raisons économiques et/ou ethniques. Même les gens qui travaillent ont de plus en plus de mal à trouver un logement avec un « loyer abordable ». Les solutions qu’offre la Région bruxelloise sont inefficaces car limitées, bureaucratiques et, finalement, ne font que maintenir la situation actuelle de misère sociale. Au contraire, une véritable politique de ségrégation est instituée car la politique régionale se focalise de plus en plus sur l’attractivité de la Région bruxelloise pour les ménages aux revenus moyens et élevés : embellissement des quartiers, construction de bureaux, de logements moyens, politique de rénovation des habitations, extension de l’Union Européenne, tout cela favorisant une hausse vertigineuse des loyers que les quelques opérations de rénovation sociale n’arriveront certainement pas à combler. Bruxelles ghetto de riches ?
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Bruxelles: Présentation historique du collectif COLERe

  Bruxelles: Présentation historique du collectif COLERe


COLLECTIF ORGANISÉ DE LOCATAIRES EN RÉSISTANCE

– « COLERe » présentation historique –

Le collectif COLERe est né en 2003.

D’unions de locataires luttant pour le droit au logement décent à Bruxelles qui ne se reconnaissaient plus dans la politique menée par leur fédération, elles se sont associées avec les familles qu’elles côtoient quotidiennement pour organiser ce qu’elles ont appelé le Collectif COLERe, autrement dit : COLLECTIF ORGANISÉ DE LOCATAIRES EN RÉSISTANCE.

En effet, la situation de ‘crise du logement’ est de plus en plus forte et les moyens pour y palier, de plus en plus inefficaces. Les gens en ‘mal de logement’ sont de plus en plus nombreux et vivent dans des conditions de plus en plus inhumaines. Ils descendent dans les caves, voire les égouts.
C’est donc d’un bilan nourri du vécu quotidien commun, qu’un mouvement vers le changement pousse ces personnes à réagir contre une politique qui ne répond pas aux besoins de la population, à réagir contre l’injustice.
En collaboration avec ces trois Unions de Locataires (à savoir l’union des locataires de Saint-Gilles (ULSG), l’union des locataires des Marolles (ULM et l’association des locataires de Molenbeeck-Koekelberg (ALMK)), d’autres organisations ce sont associées, tel le Front des Sans Domicile Fixe, la Fée Coopérative, le Syndicat des Locataires et le Comité Général d’Action des Marolles.

Aujourd’hui, le collectif a derrière lui une série d’expériences qui nous poussent à penser la question du logement au-delà des frontières de sa crise. Nous avons appris par nos manifestations qu’il ne s’agit pas d’un phénomène isolé d’autres sphères de la vie courante. C’est plus que cela encore. C’est La dictature de l’argent. Sans argent, pas de logement décent ; à chacun selon la place qu’il occupe dans la hiérarchie sociale.
Au fur et à mesure, deux tendances se sont dégagées au sein du groupe : l’une revendiquée par l’ALMK voulant agir de façon spécifique, au « cas par cas », tandis que la seconde tendance (ULM et ULSG) intègre la sphère individuelle dans son contexte, comme dépassement du particularisme. Initialement donc, le collectif COLERe se voulait différent de ce qui existe sur le marché des bonnes âmes associatives. Cependant, nous n’avons pas pu assumer pleinement cette différence, pris dans nos propres contradictions : entre la gestion et la revendication. D’où la nécessité pour nous de nous détacher des associations qui étaient à la base du collectif. Le collectif s’est scindé.
Seule la seconde tendance a décidé de continuer la lutte sous la bannière de COLERe, avec une vision mondiale et critique de la société capitaliste. Sans renier la nécessité de connaître les difficultés et caractéristiques d’une zone et d’un secteur pour mieux agir et comprendre notre environnement proche (en l’occurrence pour nous Bruxelles et la question du logement), il est tout aussi fondamental d’inscrire ce rapport dans un contexte plus large dans lequel il est impliqué qu’il le veuille ou non : nous vivons tous sur la même planète, et il ne faut pas avoir fait sciences-po pour savoir que la politique-économique est mondiale, géostratégique. Le « néolibéralisme », comme on aime a l’appeler sévit partout dans le monde : on a pas encore vu un autre système d’échange que celui de la dictature de l’argent ou ses formes apparentées tel le troc ! Que la dictature soit sociale, rouge ou blanche ; c’est toujours la dictature ! Le Collectif COLERe n’est dès lors plus l’émanation des unions de locataires, mais un collectif de personnes autonomes.

– Ce que nous voulons –

Nos spécificités sont initialement sectorielles et géographique. La question du logement, l’organisation des habitants et leur mobilisation pour l’avancement de revendications fortes sont notre secteur. Bruxelles est notre terrain géographique. Mais Nous ne voulons pas rester fixé et contingenté à nos ‘petits’ horizons. A partir du logement, nous voulons aborder toutes les sphères de la question sociale qui évidemment sont intimement liées (le monde est global !). A partir de Bruxelles nous voulons étendre notre lutte à la Belgique, à l’Europe, au Monde : le monde est mondial ! Nous ne voulons pas de cette idéologie qui voudrait nous faire croire que la promotion sociale est le cheval de bataille, comme fer de lance du ‘moindre mal’, car il ne s’agit pas de volonté, niant complètement les raisons de la stratification sociale.
En conséquence, nous nous refusons au minimum, nous voulons la liberté pour nous tous d’avoir réellement le « choix ». Ce « choix » étant conditionné par les moyens dont nous disposons, nous ne pouvons nous limiter aux seuls traitements de la « crise du logement » avec des solutions qui ne font qu’élargir les brèches. Nous rejetons cette politique de ségrégation sociale. Nous refusons d’y collaborer en nous posant comme victimes ou comme gestionnaires d’un système. Une seule résultante : nous devons nous unir pour un but commun : lutter ensemble pour de meilleures conditions de vie.
Nous voulons lutter contre la dictature de l’argent qui détermine les inégalités sociales, notamment en matière de logement. Et puisque le politique, en tant que « représentant » des intérêts généraux de cette société, n’est interpellé qu’à condition que l’on crée un rapport de force qui nous serait favorable : COLERe s’organise pour le développer.

– Moyens d’actions –

D’une part, ne sachant pas exactement comment agir pour que les choses changent réellement, nous avons décidé de réfléchir et d’informer sur ce qui ne change rien, afin que les mêmes erreurs ne se reproduisent pas.
D’autre part, il parait essentiel de développer un partenariat avec toute personne, groupe ou organisation, d’ici et d’ailleurs, souhaitant s’organiser en vue de porter d’une voix unie une volonté commune, en vue d’établir un rapport de force nécessaire. Le développement du partenariat international est dès lors très important. D’abord parce qu’il permet de mieux comprendre ce qui se passe au-delà des frontières et de relayer les événements. Ensuite, parce que nous sommes tous dans un seul et unique système, c’est le système social le plus large. Et soyons clair : il n’y a pas de dehors. Rien ne peut être alternatif. Il n’y a pas a aménager non plus : il y a à transformer. Dans l’état actuel, cette transformation ne peut être que mondiale. Tout est en lien, l’isolement n’est que dans nos têtes, et généré par l’idéologie dominante. Rien n’est en dehors, tout est dans tout, même la marge reste dans le cadre de la feuille.
Aussi, organiser une solidarité avec le « ici » et le « là-bas » nous permet de mener ce combat plus fort et en ce jour, vital. D’autant plus encore, car aujourd’hui plus qu’hier, le système social assassine nos ressources : la Terre. Sans vouloir déborder sur de graves problèmes écologiques, il ne s’agit plus seulement de nos guerres intestines, mais de notre survie sur une planète où l’activité capitaliste créée et renforce des dégénérescences telles que la pollution qui, non seulement nous tue, mais en plus rend les possibilités de « guérisons » de moins en moins envisageables. C’est pourquoi, décidé à mettre l’ ÊTRE HUMAIN au centre des préoccupations, il faut que chacun d’entre nous puisse se reconnaître comme tel. La seule manière pour cela est d’aller à la rencontre de l’autre.

Extrait de la lettre de COLERe n°1, septembre/octobre 2004

Collectif COLERe asbl
blog: http://colere.blogspirit.com/
site: http://geocities.com/collectifcolere/
groupe de discussion: http://fr.groups.yahoo.com/group/colere
n° de compte: 001-4410716-08 (avec la mention « soutien COLERe »)

Collectif COLERe


Bruxelles: « Ça bouge » à Bruxelles-Midi !

C’est le nouveau leitmotiv politico-immobilier : « Ça bouge » dans le bas de Saint-Gilles. Il semble que les demandes de permis d’urbanisme « pleuvent ». Chouette! Bureaux et hôtels recouvriront bientôt la quasi-totalité des abords de la gare du Midi… Bientôt?

Pas si sûr: il reste tout de même « quelques problèmes » à régler, notamment des habitants à déloger et des propriétaires à exproprier. Mais tout devrait vite rentrer dans l’ordre, selon la Commune de Saint-Gilles, car “les causes ayant justifié l’urgence par le passé perdurent à l’heure actuelle et il est dès lors particulièrement urgent d’y mettre fin” (sic).

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Bruxelles: « Action tentes Bruxelles », dérisoire du symbolique et symbolique du dérisoire

  Bruxelles: « Action tentes Bruxelles », dérisoire du symbolique et symbolique du dérisoire


« Action tentes Bruxelles » : dérisoire du symbolique et symbolique du dérisoire

Bref rappel des faits : ce samedi 31 mars [2007], le dispositif hivernal qui accueille des personnes sans abris pendant l’hiver ferme ses portes, ce qui signifie que 150 personnes se retrouvent de nouveau à la rue. Le milieu associatif appelle à réagir, et en effet, ce même jour, des tentes sont dressées devant le CASU (Cellule d’Aide Sociale Urgente).

A l’heure où la situation demande, exige et impose des mesures appropriées et radicales, une fois de plus, les associations démontrent que leur finalité n’est pas la lutte contre la misère et la pauvreté, mais bien l’encadrement de ces « pauvres », avant qu’ils ne deviennent trop turbulents, au goût des nantis.

Une fois de plus, le milieu associatif, en collaboration directe avec le politique (dont il n’est rien d’autre que la petite main et le bras droit) et les médias (société du spectacle oblige), l’associatif nous balade d’actions bidons en camping urbain, digne des « actions » bidonville chers à l’inénarrable RBDH.

Fini donc les occupations de maisons vides ???
Fini donc le luxe des palaces pour les « pauvres » ??? Faut pas déconner !!!
Retour à la réalité !!!

L’associatif nous mène en bateau, nous étouffe dans des tentes, et qui plus est, même pas dans des endroits stratégiques, dans des quartiers de rupins, ce qui dérangerait les possédants de nos vies, les politiques, les nantis et leurs complices.

Non, au lieu de cela, l’associatif nous case au CASU, c’est de la rigolade !!! Les pauvres chez les pauvres et en silence et en bon ordre, je vous prie ! Allez, circulez, y’a rien à voir ! Laissez passer la presse ! Merci !

Aux quelques amis (ils se reconnaîtront) qui ont participé, par illusion, naïveté et surtout par manque de perspective, à cette larmoyante et sinistre comédie, nous disons :

Quand refuserez-vous de vous ridiculiser et de vous laisser instrumentaliser par des professionnels de la charité ??? Quand cesserez-vous de vous faire baiser par le politique ???

Pour notre part, nous, « les occupants du 103 » [fraktion radikal], nous affirmons plus que jamais haut et fort :

La lutte nous appartient !!! Nous ne nous laisserons pas faire !!!
Osons lutter !!! Osons vaincre !!!
Attaquons le quartier général !!!
Ensemble, nous sommes plus forts !!!

Visitez le site web des occupants du « 103 »
http://www.lesoccupantsdu103.spaces.live.com/

lesoccupantsdu103 at yahoo.fr


Bruxelles: Le Tagawa vit peut-être actuellement ses derniers jours

  Bruxelles: Le Tagawa vit peut-être actuellement ses derniers jours


Le TAGAWA vit peut-être actuellement ses derniers jours.

En effet, si rien n’évolue dans nos relations avec le propriétaire, nous devrons quitter le bâtiment pour le 31 mars 2007, après 4 ans d’occupation et sans que le propriétaire n’ait de projet concernant la réaffectation de l’immeuble.

Parmi les personnes qui devront prochainement quitter l’Hôtel Tagawa, se trouvent des personnes et des familles précarisées, bénéficiaires du CPAS.

Parmi elles, se trouve une famille pour laquelle Madame la Ministre Bruxelloise du Logement s’était engagée à trouver une solution de relogement. Force est de constater qu’à ce jour, aucune solution n’a pu être trouvée pour celle-ci.

Pour exercer une influence sur le propriétaire et pouvoir continuer d’occuper le bâtiment jusqu’au moment où celui-ci disposera d’un réel projet de réaffectation du bâtiment, nous avons lancé une pétition. Celle-ci est accessible sur le site internet de notre association (www.321logements.be) et nous espérons pouvoir réunir, d’ici le 20 mars, 5000 signatures au moins.

http://www.321logements.be/?q=petition_fr

Enfin, nous informons que le samedi 10 mars 2007 aura lieu, à partir de 19h00, une grande soirée musicale.

Huit groupes (rock, reggae, ska, jazz, fanfare, funk, hip-hop, …) se chargeront d’animer la soirée (de 19h00 à 3h00) avant que des DJ’s ne prennent la relève. L’entrée sera bien entendu gratuite et la fête se poursuivra jusqu’au petit matin dans une ambiance que nous souhaitons chaleureuse et conviviale.

Les habitants du TAGAWA Hôtel


Bruxelles: Communiqué de solidarité avec les enragés de la commune libre de Kopenhagen

cemab.be /
liege.indymedia.org

COMMUNIQUÉ de solidarité avec les enragés de la commune libre de Kopenhagen

NOUS, « les enragés de la commune libre » ayant activement participé à l’occupation de plusieurs bâtiments vides initiée le 28 septembre 2006 (au 100-103 boulevard de Waterloo à Bruxelles),

NOUS tenons à exprimer notre plus entière solidarité avec nos frères et soeurs en lutte dans les quartiers populaires de Kopenhagen suite à leur expulsion par la force armée de la police. Read More

Bruxelles: Les squatteur-euse-s de l’hôtel Tagawa condamné-e-s à quitter les lieux avant fin janvier 2007

  Bruxelles: Les squatteur-euse-s de l’hôtel Tagawa condamné-e-s à quitter les lieux avant fin janvier 2007


Conférence de presse organisée par l’asbl 321 logements

Le mercredi 17 janvier 2007 à 9h30 : conférence de presse à l’Hôtel Tagawa.

Les habitants de l’ancien hôtel Tagawa sont victimes d’une justice expéditive qui expulse en hiver, consacre le droit immédiat à la spéculation et trouve raisonnable de détourner les maigres économies communes des 35 habitants vers le compte du propriétaire, déjà multimilliardaire, le fils de Rifaat Al Assad.
http://www.medea.be/index.html?page=2&lang=fr&doc=405

Le 2 janvier 2007, les habitants de l’hôtel Tagawa ont été condamnés, d’une part à quitter, pour le 31 janvier au plus tard, les lieux où ils résident depuis près de quatre ans, et d’autre part à payer la somme de 18591,23 euros au propriétaire de l’immeuble à titre de dédommagements divers.

Cette décision risque fort de marquer la fin d’un projet social créatif, d’un lieu de vie autogéré et, surtout, d’un logement décent pour 35 personnes (isolés, familles et enfants).

Depuis le 1er février 2003, date de son arrivée à l’hôtel Tagawa, l’asbl « 321 Logements », active dans la gestion du lieu, a fourni un logement transitoire à près de 200 personnes précarisées. Elle n’a eu aussi de cesse de participer à la vie associative bruxelloise (RBDH, Réseau Citoyen, Plein Open Air, …), d’organiser des débats, des expositions, des concerts, des tables d’hôtes, …

En quatre ans, l’Hôtel Tagawa a été reconnu à maintes reprises comme un projet social innovant et a vu sa réputation s’étendre au sein du monde associatif européen.

La condamnation intervient alors que la société anonyme Europort Belgium, propriétaire du bien auparavant laissé à l’abandon, n’a encore introduit aucun projet visant à rénover et à réaffecter l’immeuble. Europort Belgium, dont le capital est détenu par des membres de la famille présidentielle syrienne Al Assad, a même pendant plus de trois ans consenti à l’occupation du bâtiment.

(…)

http://www.321logements.be/

321 Logements ASBL


Bruxelles: L’occupation du Tagawa menacée en justice

  Bruxelles: L’occupation du Tagawa menacée en justice


Ce mardi 21 novembre 2006, l’avocat d’Europort Belgium SA, propriétaire de l’ancien hôtel, convoque en justice de paix l’ASBL « 321 Logements », qui réunit les 55 habitants de l’immeuble, en vue d’obtenir leur expulsion.

Cette menace intervient, sans raison apparente aux dires de l’ASBL, après trois ans et demi d’occupation concertée. Selon nos informations, le principal actionnaire de la société propriétaire, le fils de Rifaat Al Assad, membre de la famille présidentielle syrienne, n’aurait pourtant aucun projet concret de réaffectation.

Venez nombreux pour soutenir plus de 3 ans d’occupation concertée qui permet à des familles et à des personnes en difficultés de trouver un logement transitoire à Bruxelles.

1. Pas de départ sans nouveau projet de la part du propriétaire !!!

2. Pas de départ sans relogement des habitants DOMICILIÉS à « l’Hôtel TAGAWA » !!!

3. Pas d’expulsions à l’approche de l’hiver.

RDV : Place Poelart à 09h30 Palais de Justice de Paix (3ème canton de Bruxelles).

Saïd


Bruxelles: Communiqué des ex-occupants du 103 boulevard de Waterloo et annonce de l’ouverture d’un nouveau squat

17 novembre 2006

UNE FOIS DE PLUS, LES POLITIQUES NOUS ONT BAISÉS !!!

Hier, communiqué des politiciens (Jeudi 16 Novembre 2006 – 17:29) :
« Les occupants du boulevard de Waterloo 103 ont droit à un logement décent » :

« Nous, député-e-s bruxellois-es, sommes soucieux/ses de la problématique du logement en Région de Bruxelles-Capitale et voulons contribuer de façon active à l’élaboration de solutions durables. En outre, nous estimons que les autorités bruxelloises doivent enfin utiliser les instruments à leur disposition, à savoir la taxe sur les immeubles vides et le droit de gestion publique. En ce moment, nous sommes surtout inquiets du sort des 160 personnes qui avaient trouvé un toit dans ce bâtiment. Nous demandons donc aux autorités compétentes de chercher activement un logement adéquat pour ces personnes. Très concrètement, nous demandons de ne pas expulser ces personnes sans une solution de relogement pour chacune d’elles. »
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Bruxelles: Communiqué des enragés de la Commune libre, sur la fin du squat du 103

Bruxelles, le 17 novembre 2006

Alors, vous avez enfin compris ?

JUSTICE DE CLASSE !
JUSTICE DE CRASSE !
JUSTICE DE DÉMOCRASSE !

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