Londres: St-Agnes Place, un squat au Sud de Londres

St-Agnes place est une rue a Kennington, dans le sud de Londres, qui est squattée depuis 1974 ; en 76/77 le council (mairie) du coin a essayé d’expulser les squatters et détruire les maisons ; du fait d’une résistance supportée par des injonctions légales, la destruction des maisons que le council avait commencée fut stoppée et les gens continuèrent a y vivre.

Saut dans le futur de 25 ans

Le council a commencé des procédures d’expulsion pour 12 des maisons de la rue et obtenu des arrêtés d’expulsion pour chacune d’entre elles ; après 2 fausses alertes (début septembre et début octobre 2003), le council devait procéder à l’expulsion de ces 12 maisons le 24 octobre 2003. Dû a une présence massive de supporters, de caméras de télévision (avec des journaux plutôt sympathiques à la cause, bizarrement), ils ont renoncé ce jour-là. Read More

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Sex(y) party queer dans un nouveau squat londonien le 14 février

QUEERUPTION VALENTINE SEX(Y) PARTY, le 14 février 2003.

Le tout se passe dans un nouveau squat, à Londres. Entrées entre 19h30 et 22h00, la fête durera jusqu’à 02h00 du mat’ ou plus. Musique, jeux, bar, etc.

Thématique gréco-romaine (toges, ou quoi que ce soit que vous n’oseriez pas porter dans la rue). Participation aux frais de 3 à 5 livres (comprenant l’entrée, miam-miam et boissons sans alcool). Soirée de soutien à la Queeruption qui aura lieu à Berlin en mai 2003.

Plus d’infos sur la hotline londonnienne : 0 (0 44) 794 997 6016

Traduction de l’anglais d’un message de Victor

Londres: L’usine de boutons expulsée

MAI 2001

Une campagne de police contre les militants anti-capitalistes a commencé ce wee-kend et qui a balayé la communauté de squatters avec l’aide des huissiers et les propriétaires de l’immeuble. Ces derniers ont détruits partiellement l’usine de boutons, la redant inhabitable. Les machines mécaniques utilisées ont démoli une partie de l’immeuble. 200 (si vous lisez le Sunday Telegraph) ou 150 (si vous lisez le Sunday Times) officiers de police étaient impliqués dans cette action, même si l’immeuble était réputé pour être vides alors. Les agents du Metropolitan, de la ville, et du transport anglais (selon les informations de la BBC) ou un groupe spécial (si vous lisez le Sunday Times) ou les polices anti-émeutes (si vous lisez le Sunday telegraph) étaient impliqués dans la violence et dans la destruction de biens privés. “Nous sommes la Loi et nous pouvons détruire tout ce que vous aimez” disait un flic, encore transpirant de ces efforts. Read More