Mardi 17 novembre avait lieu à Grenoble le procès de deux camarades accusées de dégradation, refus de signalétique et refus d’ADN dans le cadre d’une ouverture publique de squat réunissant une centaine de personnes. Ci-après le tract qui aurait dû être diffusé lors du rassemblement annulé du fait du confinement.
L’avocate d’une des camarades a plaidé la nullité de la procédure, estimant que les dégradations étant mineures, elles relevaient de la contravention et non du pénal. Il n’y avait donc pas lieu d’arrêter les personnes et de les mettre en garde-à-vue. Cette nullité étant retenue, les délits de refus de signalétique et d’ADN ont automatiquement été abandonnés. Read More