Dijon : théâtre, frippe gratuite et infokiosk dans la rue contre la LSI

Le mercredi 23 octobre, une série de lois visant à criminaliser la pauvreté et renforcer le contrôle social a été présentée à l’assemblée nationale. Il s’agit des Lois sur la Sécurité Intérieure (LSI) de Sarkozy, qui s’inscrivent dans la continuité d’une poussée sécuritaire accélérée depuis le 11 septembre 2001, et déjà matérialisée par les Lois sur la Sécurité Quotidienne (LSQ).

A Dijon, comme dans d’autres villes en France, des gens ont voulu s’y opposer dans la rue. Une action a ainsi été organisée dans la très commerciale rue du Bourg de Dijon, donnant lieu à des moments de théâtre de rue très animés, visant à mettre en évidence la violente répression qui risque de s’accroitre à l’encontre des « nouvelles classes dangereuses » explicitement désignées par cette LSI.
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LSQ: Pour la Liberté, cessons d’avoir peur

La Loi sur la Sécurité Quotidienne (LSQ) du 15 Novembre 2001 porte atteinte aux libertés de chaque citoyen.

Les droits fondamentaux tels que le respect de la vie privée, la liberté d’expression, la liberté de rassemblement, la liberté de mouvement sont actuellement menacés et parfois même bafoués par un arsenal législatif et répressif.

La LSQ s’accompagne de divers décrets d’application notamment celui du 7 mai 2002 concernant les rassemblements festifs à caractère musical. Ainsi tout rassemblement musical susceptible d’accueillir 250 personnes est dans les faits prohibés. Ce décret ne concerne pas uniquement les phénomènes des raves-parties mais tout événement culturel et musical (chorale avec micros, concerts improvisés, etc.).
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France : un projet de loi criminalisant les squats

Ci-dessous un extrait d’un article du Monde sur le projet de sarkoflash:

« Le projet de loi vise notamment les squatters dont les occupations illégales d’appartements ou d’immeubles pourraient bientôt constituer une nouvelle infraction, celle de violation de propriété. Jusqu’à présent, ces occupations étaient sanctionnées par l’expulsion, à l’issue d’une décision de justice. Par la création d’un délit à part entière, le nouveau texte pénalise le squatt et le réprime par six mois d’emprisonnement et 3 000 euros d’amende. »

stéphane AC ! Rhône

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