« No tindras una casa en tu puta vida »
Samedi dernier 1er octobre 2006, la mani pour une « habitation digne » a réuni près de 10 000 personnes. La spéculation immobilière, la destruction des quartiers populaires pour en faire des supermarchéss à touristes, le fait d’hypotéquer sa vie pour pouvoir simplement se loger, les expulsions organisées conjointemennt par les proprios et l’état était pêle-mêle dénoncés.
Si une partie de la manif demandait de l’aide des pouvoirs publics, une autre défilait sous la banderole « si tu veux une maison, ne demande rien, prends la! ». V de vivienda http://bcn.vdevivienda.net, le collectif à l’origine du truc est entre autre composé de squatteureuses, et a choisi une stratégie communicative assez ouverte qui a débouché sur une manif massive, marrante, bigarrée, animée oü on sentait un vrai plaisir des gens à occuper ensemble la rue. Read More
Angers: Des nouvelles du squat et du potager collectif occupé d’Angers
Comme vous le savez peut-être, un squat d’habitation et d’activité a été ouvert début juin à angers dans le quartier de la doutre, une grande maison bourgeoise qui a été installée peu à peu avec des apéros et bouffe avec le voisinage, la mise en place d’un infokiosque et d’une zone de gratuité, des spectacles et divers autres projets d’activités.
La dynamique d’ouverture faisait suite à la réappropriation d’un grand espace en friche dans le quartier de la Doutre afin d’y faire un potager collectif. L’occupation du terrain et le démarrage du potager était survenue dans le cadre d’une manifestation de guerilla jardinière où divers endroits de la ville s’était vu enrichis de légumes, et où l’occupation permanente d’un terrain concrétisait l’envie de s’implanter à plus long terme dans un quartier et d’y développer des rencontres et activités autour du potager. Read More
Grenoble : Festival Fraka du 24 avril au 9 mai 2004
Le FRAKA FESTIVAL DES RESISTANCES ET DES ALTERNATIVES AU KAPITALISME fête sa sixième édition tout juste du samedi 24 avril au dimanche 9 mai 2004 à Grenoble, avec un programme pour le moins chargé… On ne peut que vous conseiller de le faire circuler (on peut aussi le trouver sur http://festival.fraka.free.fr).
SAMEDI 24 AVRIL
– 9-17h Four à pain collectif des 400 Couverts. « Venez mettre la main à la pâte »: Echange de savoir autour du FOUR A PAIN et des techniques de confection du pain. Read More
Toulouse : Expulsion de l’Ostaleta et arrestation d’un de ses habitants
L’Ostaleta, squat potager occupé depuis mars 2001 s’est fait expulsé le 2 juillet 2003 à 14h00 par une trentaine de CRS. Une des personnes présentes lors de l’expulsion a été arrêtée pour une affaire précédente (reliquat de peine). Il est actuellement à la maison d’arrêt de Seysses (à 15km de Toulouse), et il en a pour environ 2 mois et demi.
Une soirée de soutien pour envoyer de l’argent à la personne arrêtée aura lieu le 6 juillet à 20h au Clandé, avec le vernissage d’une expo de 3 artistes d’ex-Yougoslavie + concerts.
Le 3 juillet, l’OPAC (Office « public » d’aménagement et de la construction) a envoyé des personnes pour détruire la porte de l’Ostaleta, les planchers, toutes les canalisations, et le toit, afin de rendre la maison inhabitable.
IL y a actuellement 4 maisons occupées dans le quartier Fontaine-Lestang. Les occupant-e-s font des ateliers divers et variés, réhabilitent les maisons et les jardins, abandonnés sciemment par l’OPAC (afin qu’ils se dégradent et qu’ils puissent justifier – pour insalubrité – leur démolition). Les squatteureuses entretiennent également de bonnes relations avec les voisin-e-s « locataires ».
Le jardin potager collectif de l’Ostaleta devrait continuer (autant que possible) à être entretenu par le collectif Topinambour et d’autres.
Une rencontre « Quartier portes ouvertes » se tiendra le 13 juillet à 14h (9 et 11 rue d’Auch, Métro Fontaine-Lestang).
Pour plus d’infos :
tel : 0662671676
Le clandé, 9 rue de quéven, 31000 toulouse
p.
Dijon: nouvelles, travaux et jardin collectif aux Tanneries
Il y a quelques semaines, nous dénoncions les menaces soudaines pesant à nouveau sur l’espace autogéré des Tanneries. Celles-ci se sont estompées aussi vite qu’elles étaient venues, grâce à une mobilisation rapide, et, à n’en pas douter, au contexte assez particulier des élections législatives. Une convention d’occupation précaire a donc été signée entre les Tanneries et la municipalité de Dijon, le jeudi 13 juin 2002. En attendant des explications plus détaillées sur ce choix délicat, vous trouverez ci-dessous le tract rédigé le jour même, destiné au rassemblement de soutien. Cependant, les Tanneries n’en ont pas moins besoin de soutien pour venir à bout des travaux qui s’imposent dans la salle d’activités publiques. Un appel à bonnes volontés est donc lancé pour cet été ! Enfin, comme les Tanneries entendent continuer à lutter et lancer de nouveaux projets, vous trouverez en fin de message un tract annoncant la création d’un potager squatté !
L’espace autogéré des Tanneries reste, et la lutte continue !
En raison des récentes menaces de destruction par la mairie de la salle d’activité des Tanneries, nous avons appelé à ce rendez-vous public afin de clarifier la situation.
Lors d’une entrevue cet après-midi avec la mairie, nous avons signé une convention d’occupation de 3 ans, ainsi qu’un permis de construire (permettant d’entériner les nombreux travaux de mises aux normes effectués), conformément aux engagements pris antérieurement.
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Toulouse: Communiqué au sujet d’un jardin collectif en péril
Communiqué de presse
Depuis le 16 mars 2001, nous avons décidé collectivement d’occuper une maison, l’Ostaleta, et son terrain afin d’y faire un grand jardin potager collectif. Cette demeure, sise au 11 rue d’Auch à Toulouse (M° Fontaine-Lestang) était laissée à l’abandon depuis trop longtemps.
Pour remédier à cet état de fait, les membres du collectif ont tenté d’entamer des négociations pour trouver un arrangement à l’amiable avec l’OPAC. Le collectif a proposé une convention d’occupation gratuite qui a été refusée d’emblée par les représentants de l’OPAC. Surtout, le mardi 27 mars, pendant les négociations dans leurs locaux, des hommes de main de l’OPAC, sur l’ordre de Mr ROURE (05 61 43 21 70) sont venus dérober les fenêtres et les volets de l’Ostaleta malgré les protestations des trois personnes qui dormaient là. Face à cet acte inhumain et illégal, nous sommes allés pacifiquement occuper les locaux de l’OPAC (27 rue Roquelaine) pour demander des explications à Mr Alain-Marie GERMAIN (le directeur de la gestion locative – 05 61 99 72 40).
Malheureusement, nous nous sommes retrouvés devant la langue de bois de l’OPAC, réduisant nos revendications à la récupération des volets, des fenêtres et de la porte d’entrée.
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