Notre-Dame-des-Landes (44): des nouvelles terres pour de nouveaux projets

Samedi 21 octobre – RDV fourche en main à 10h sur la ZAD

Le 21 octobre, nous vous invitons à une mobilisation pour continuer à poser les bases d’un avenir sans aéroport, à travers une nouvelle étape dans la mise en partage de terres sur la ZAD. Read More

Roybon (38): sabotages anti-ZAD… Appel à solidarité

Communiqué – Roybon, ça bouge à la ZAD

(publié le 3 octobre 2017)

L’affaire Pierre &Vacances n’est toujours pas réglée en justice, mais les forestiers pourraient bien reprendre les coupes et récupérer leur bois prochainement. La police multiplie ses visites. On peut s’attendre à du mouvement. Read More

Fay-de-Bretagne (44): présentation de l’Ancre Noire

L’ Ancre Noire est le nouveau nom de l’ancienne ferme et centre de ré-insertion CHRS Le Val, occupé depuis l’été 2016, entre le bourg de Fay-de-Bretagne et la ZAD de NddL.
Ici on vie dans une lutte quotidienne pour l’autonomie de soi face à l’intégration institutionnelle – soit de nos corps, de nos têtes, comme aussi bien de nos lieux communs et nos lieux de vie.
Nous ne reconnaissons aucun papier légitimant ou pas une personne de vivre ou elle est, soit dans une logique de nationalité, de logement ou toute propriété ou forme d’organisation sociale.
Ici nous prenons possession de nos vies et de nos capacités, poussé.e.s par nos aspirations individuelles et collectives, et pour but, notre Joie – sans papiers, sans propriété, sans politique ni autorité pour nous diviser dans cette quête émancipatrice. Read More

Bruxelles: manifestation contre la loi anti-squat, le 13 octobre

La loi anti-squat a été votée ce 5 octobre à la chambre des « représentants ». Cette loi visant à criminaliser l’occupation d’immeubles ou d’habitations vides permettra des peines allant de 15 jours à 2 ans d’emprisonnement et une amende variant entre 26 et 300 euros. Elle supprime aussi l’inviolabilité du domicile de fait qui protégeait jusqu’alors les occupant.e.s du squat d’interventions arbitraires de la part des propriétaires ou des forces de (leur) ordre. Le nombre de personnes à la rue ou dans la précarité allant croissant, squatter quelques-uns des 80 000 logements vides représente souvent pour elles une ultime voire une unique solution. Le gouvernement a donc trouvé une solution à la « crise » du logement ; les pauvres n’auront qu’à aller dormir en prison !
Face à la répression, des squatteuses et squatteurs de Bruxelles et d’ailleurs sont déjà organisé.e.s pour tenir tête à la volonté ferme et acharnée de s’attaquer à nos lieux de vie. Plusieurs mobilisations, actions et interpellations ont déjà eu lieu. Par ailleurs, nous avons d’ores et déjà remis un avis d’expulsion au Ministère de la Justice, le palais royal et les Beaux-arts furent occupés ou perturbés, des manifs sauvages ont animé nos rues, des détournements de publicités et des évènements publics pour sensibiliser ou informer la population sur ce que le milieu squat et les humains qui le composent sont vraiment. Nous sommes bien loin des représentations médiatiques et judiciaires visant à nous faire passer pour la pire vermine. Read More

Bruxelles: récit de l’expulsion de l’Orme, rendez-vous contre la loi anti-squat

Suite à l’expulsion de L’Orme, 37 rue de l’Orme à Etterbeek

Rendez-vous demain jeudi 5 octobre à 18H au 123, pour une AG urgente pour la situation du mouvement squat à l’heure actuelle. Nous avons besoin dans ces moments là d’être fort-es, nombreuses et uni-es.

Vers 14h30 une personne s’apprêtait à rentrer dans la maison occupée depuis 3 semaines quand une dizaine de policier.es le plaquèrent contre le mur pour le fouiller et lui prendre les clefs de la maison. La fille de la propriétaire ainsi que son mari, présents avec les policier.es, sont ainsi rentrés dans la propriété. Une personne se trouvait au rez-de-chaussée et une autre au 2eme étage, toutes les deux furent priées de donner leur identité ainsi que de plier bagage et de déguerpir immédiatement de la maison. Heureusement, beaucoup de soutiens arrivèrent rapidement et ils/elles purent sortir une partie des affaires . Dans l’heure qui suivait, les policiers galéraient à remettre une nouvelle serrure pour les propriétaire et tout le monde était toujours sur le trottoir avec les affaires sans pouvoir récupérer le reste pourtant réclamé pour le coup par leurs propriétaires. Apparemment la propriété privée défendue héroïquement par les agents ne sont légitimes que pour les bourgeois. Cette expulsion totalement illégale et arbitraire intervient à peine une demi-heure après une autre expulsion similaire, celui de la « Pelouse ». Read More