Du 4 au 11 avril 2004 se déroule la rencontre « auto-organisation 04 » à Berlin. L’événement a pour but de rassembler squatteurs, squatteuses et autres militant-e-s pratiquant l’autogestion, pour une semaine de discussions se déroulant dans divers des lieux autonomes de la capitale, mais aussi d’actions. Après une tentative infructueuse d’organiser une Reclaim The Streets (occupation festive de la rue) la veille (vivement réprimée par la police, qui a immédiatement pourchassé les premiers participant-e-s, en arrêtant une dizaine), un second rendez-vous était-il donné ce matin du jeudi 8 avril 2004, pour un « action breakfast ». Read More
Berlin: des flics tabassent leurs collègues infiltrés dans une manif de squatteureuses (presse mainstream)
Dépêche du dimanche 24/11:
BERLIN (Reuters) – Des policiers allemands ont matraqué par erreur plusieurs collègues en civil qui s’étaient glissés au sein d’une manifestation de 3.000 personnes protestant contre la démolition de squats illégaux samedi soir dernier à Hambourg.
Les policiers avaient convenu de se reconnaître grâce à un mot de passe, mais d’apparents soucis de communication ont conduit les forces de l’ordre anti-émeute à charger sans distinction, blessant deux collègues à la tête.
Berlin: Plusieurs squats expulsés…
DES SQUATTS DE BERLIN EXPULSES
Le 29 juillet 1997, trois squatts de Berlin-est ont été expulsés au cours d’une importante opération policière. Les trois immeubles, tous occupés depuis sept ans, étaient le Rigaerstrasse 80 et le Scharnweberstrasse dans le quartier de Friedrichshain, le Pfarrstrasse 88 dans celui de Lichtenberg. Environ 500 flics anti-émeute ont participé à ces expulsions, qui ont débuté à 6h30, alors que les squatters dormaient. Des unités spéciales du SEK armées de mitrailleuses ont été larguées par des hélicoptères sur les toits des immeubles. Comme si les squatts servaient de refuges à la Fraction Armée Rouge (RAF)! La plupart des squatters ont été relâchés après une garde à vue et une vérification d’identité, mais 5 personnes demeurent en détention, dont 3 parce qu’elles n’avaient pas le privilège de détenir des passeports allemands. Les immeubles ont tous été murés après les expulsions afin d’empêcher que les squatters ne s’y réinstallent. Read More