Barcelone: Expulsion de la Casa Nostra

Expulsion de la Casa Nostra, Barcelone, 15/03/05 vision partiale et partagée (par abracad@boum et fistiboy)

La Casa Nostra a été ouverte en janvier 2004 dans le quartier Eixample, près d’Arc de Triomf. Une vingtaine de personnes vivaient là et après un mois de rénovation, un bar, salle de concerts, fêtes de soutien, journées anticarcérales s’y sont organisées durant un an. Read More

La Rochelle: Communiqué du collectif PIF-PAF

Bonjour,

Petit résumé de la situation pour ceux qui ne sont pas au courant.

Un bâtiment inutilisé d’environ 800m², appartenant à la Communauté d’Agglomération de La Rochelle a été occupé à partir du lundi 21 février 2005.

Le collectif PIF.PAF a été crée à l’occasion. PIF.PAF pour Plate forme d’Initiatives Furieuses pour la Pérénnité de l’Autonomie Festive. Read More

La Rochelle: Expulsion du Pif Paf

COMMUNIQUE DE PRESSE DU COLLECTIF PIF.PAF DU 7 MARS 2005.

Aujourd’’hui lundi 7 mars, à 8h00 du matin, sur ordre du Président de la Communauté d’’Agglomération de la Rochelle Maxime Bono, la force publique est intervenue pour nous expulser du 45 quai Maubec.

Une centaine de CRS ont fait sortir les sept présent-e-s (dont une adorable poule naine). Notre attitude non-violente a permis que l’’expulsion se déroule sans heurts. Read More

La Rochelle: Expulsion du squat du quai Maubec

Avis à tou.te.s!

Le collectif PIF PAF s’est fait évacuer du squat quai Maubec ce matin lundi 7 mars 2005 à 8h par plusieurs fourgons de CRS. Pierre ayant donné l’alerte, nous nous sommes enfermés dans une chambre. Après avoir fait sauté la chaîne, ils ont défoncé la porte de la chambre à coups de bélier et nous ont demandé de sortir sans violence, ce que nous avons fait. Un cordon de ces gentils messieurs nous a accompagnés jusqu’en bas. Après avoir pris nos identités (Phil, Jonathan, Pierre, Jean, Jojo, et Anne étions dans le lieu), ils ont embarqué les deux qui étaient nommés dans la procédure, Pierre et Jonathan, et « évacué quai Maubec » les autres. Nous sommes sortis du poste une heure après, suite à une main courante. nous ne savons pas (mais nous ne le croyons pas) s’il vont réclamer l’astreinte. Read More

Brest: Expulsion de Chez Dédée et nouvel hébergement virtuel

Mercredi 23 février 2005, la police, sur ordre de la sous-préfecture de Brest, a expulsé par la force les occupants de chez DéDéE sur le port de commerce.

Ce lieu laissé inoccupé depuis 3 ans par la CCI, était investi par des artistes depuis le 20 novembre 2004. Ceux-ci avaient immédiatement cherché un accord de convention, à l’amiable, avec le propriétaire. La réponse a été immédiatement judiciaire et sans aucune volonté de dialogue. Après l’expulsion de ses occupants au réveil, en plein hiver et sous la neige, ce lieu sur lequel il n’y a aucun projet, va rester vide. Suite aux décisions judiciaires ordonnant l’évacuation des lieux, le collectif avait demandé un délai à la sous-préfecture…

La réponse a été pour la moins brutale. Read More

Rennes: Expulsion de l’Ekluserie

Ce matin [24 février 2005], les occupants du 81 rue Alphonse Guérin ont été sortis du lit sans ménagement par les forces de l’ordre établi. Juste le temps de récupérer quelques affaires et la destruction commence. Le temps d’une embrouille avec M6 local et la vingtaine de personnes présentes partent alors bloquer le boulevard sur les quais. Très rapidement, les CRS sortent de leurs quinze fourgons et les poulets rameutent des paniers à salade. La tension monte et plusieurs personnes se font embarquer…
Plus d’infos plus tard

hastaluego

Paris: Fort déploiement policier et échauffourées lors du re-murage de l’immeuble expulsé hier cité Debergue (12ème)

Hier soir (jeudi 17 février 2005), La Mairie de Paris a pris la décision d’expulser en toute illégalité un squat d’étudiant-e-s sans logement qui s’étaient installé-e-s depuis une semaine dans un immeuble laissé à l’abandon au 1 cité Debergue dans le 12e arrondissement. Il semble que depuis quelques mois, la gauche parisienne ne se soucie même plus de respecter les procédures, et ce en plein « plan grand froid » et « crise » du logement.
L’expulsion, violente, a ameuté des individus solidaires et habitant-e-s du quartier qui ont été bousculé-e-s et matraqué-e-s par la police, et a été suivie d’une manifestation sauvage.

Aujourd’hui à 14h, après diverses pressions sur les expulseurs, la Mairie et la Direction du Logement et de l’Habitat ont accepté de démurer temporairement pour laisser les squatteureuses reprendre leurs affaires personnelles enfermées dans l’immeuble depuis hier. Dans l’impasse de la Cité Debergue, un rassemblement demandant la réintégration des étudiant-e-s dans les locaux s’est déroulé, face aux élus protégés par les forces de police. Le Comité Des Sans-Logis (situé dans l’immeuble en face), menacé lui aussi, a organisé un repas populaire dans l’impasse. En réalité, les autorités avaient pris soin de rendre les lieux inhabitables en fracassant les escaliers et les planchers, ce qui a redoublé la colère générale.

Les élus ont ordonné le re-murage malgré les résistances des opposant-e-s, qui, massé-e-s devant l’issue, ont tenté de bloquer les ouvriers. Vers 17h, sous les huées, les vigiles de la Mairie de Paris, relayés entre-temps par l’arrivée d’une cinquantaine de policiers, ont dirigé les travaux en catastrophe. Les manifestant-e-s ont pu quitter les lieux sans être interpellés.

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Paris : Expulsion à l’arrache d’un squat récemment ouvert cité Debergue dans le 12ème arrondissement

Communiqué du 17 février 2005
Expulsion « illégale » d’un squat dans le 12e arrondissement à Paris

La gauche s’enflamme : la mairie liquide squat et solidarité à coups de trique

Depuis vendredi 11 février 2005, un collectif d’étudiant-e-s précaires et sans logement s’était installé au 1, cité de Bergue, dans un bâtiment inoccupé en vue d’y établir une habitation et un regroupement d’activités politiques ouvertes sur le quartier. Cette cité était laissée vide par la Mairie du 12e arrondissement qui souhaite détruire ces logements pour y élargir une allée. Par ailleurs, la mairie risque d’expulser dans les semaines à venir le « Comité des Sans-logis » à qui elle avait octroyé des locaux dans cette même cité. Des représentants de la Mairie de Paris, vigiles et policiers, se sont succédé sur les lieux aujourd’hui et constaté l’occupation. Il aurait dû s’ensuivre une procédure d’expulsion au Tribunal de Grande Instance et d’éventuels délais pour les squatteur-euse-s. Mais il semble bien que les pouvoirs publics aient opté pour une politique de tolérance zéro vis-à-vis des occupations. La seule réponse de la Mairie à la crise du logement et à la spéculation immobilière a été de multiplier les expulsions illégales aux cours des dernier mois, et ce en plein hiver. Malgré les quelques dizaines de personnes rassemblées en soutien sur les lieux, les policiers sont intervenus en nombre vers 19h. Après avoir violemment dispersé le rassemblement, ils ont enfoncé la porte et sorti les occupant-e-s devant de nombreux-euses passant-e-s choqué-e-s dont certain-e-s hurlaient franchement leur colère. Il y a eu diverses bousculades et matraquages de la part des policiers. Le fourgon dans lequel étaient détenu-e-s les squatteur-euse-s a été bloqué lors de son départ, des parpaings qui devaient servir à murer la maison ont été jetés sur la chaussée, des pierres ont été lancées sur la police. Il s’en est suivi une manifestation sauvage, rythmée par des slogans tels que « Non aux expulsions, Grève des loyers, Insurrection ». Les rues ont été successivement entravées par des containers renversés et des barrières de chantier. Les opposant-e-s se sont retrouvé-e-s devant le commissariat, où un important déploiement policier les attendait.

Tou-te-s les squatteur-euse-s ont été rapidement libéré-e-s, et ont rejoint le groupe de manifestant-e-s solidaires à l’extérieur.

Malgré les discours hypocrites des pouvoirs publics dispensés dans les médias – qui n’ont pas tenu à se déplacer pour couvrir cette expulsion illégale – il est évident que la répression à l’égard des « bandes de jeunes », ou autres groupes militants se renforce, et que les violences policières deviennent chaque jour plus banales et plus rudes. Des réactions s’imposent pour renforcer la résistance aux expulsions. Pour vilipender la mairie : 01 44 68 12 12 (mairie du 12ème), 01 44 68 12 64 (Dominique Larrey, Maire-adjoint, délégué à l’urbanisme et à l’habitat, conseiller d’arrondissement), 06 73 87 74 47 (M. Dronneau, de la Direction du Logement et de l’Habitat) par téléphone. 01 44 68 12 09 (mairie du 12ème) par fax. Toute action directe de votre choix pourrait également être la bienvenue….

Des ami-e-s

Vous trouverez ci- joint le tract distribué lors du rassemblement de soutien :

Sur fond de crise du logement, la démagogie bat son plein…, les expulsions aussi… !

Depuis vendredi 11 février, des étudiants en galère de logement se sont installés au 1, cité Debergue, dans un bâtiment inoccupé. Comme chaque fois, la sanction policière frappe à la porte ; faut-il encore laisser passer ?

Face à la pénurie actuelle du logement organisée pour les bénéfices du marché immobilier, nous sommes de plus en plus nombreux à courir des jobs pourris pour payer des loyers inacceptables. Pendant ce temps, le devenir de Paris est clairement celui d’une cité close dans son spectacle, à l’usage des plus riches, tandis que les autres sont refoulés au-delà du périph. Les étudiants, les jeunes, les pauvres, font la queue aux portes des administrations en quête d’un hypothétique logement social.

Et pendant ce temps, les pouvoirs publics n’ont de cesse de se prémunir contre les installations d’urgence justifiées par les besoins immédiats des plus pauvres. Les sociétés de gardiennage, relayées par un discours ultra-répressif, démantèlent tous les jours des installations de fortune, tout en renforçant le chacun-pour-soi. Pendant que les maires promettent…, les préfets expulsent !

Face au déni des autorités à l’égard des besoins élémentaires, seule la solidarité paie. Empêchons l’expulsion des étudiants domiciliés à la cité Debergue. Rassemblement au 1, cité Debergue, entrée par la rue du Rendez-vous, 28. Métro Nation/Picpus.

Harcelons les pouvoirs publics pour empêcher cette expulsion !

 

Goiania, Brésil: Violente expulsion de terres occupées

Une importante opération de la police militaire (2 500 hommes) a débuté ce matin (16 février 2005) visant à expulser les terres occupées de Sonho Real (Rêve réel) dans la ville de Goiânia au Brésil. 2 personnes ont été tuées, plus de 800 ont été arrétées et plusieurs personnes ont été blessées (5 personnes très grièvement). Parmi les personnes arrétées, deux volontaires d’Indymedia, un de Goiânia et un d’Indymedia New York. Read More

Caen: La fin du SCAC, snif, déjà…

Ce matin vendredi 4 février 2005, 6h15, intervention de la police.
Malgré le fait que cette expulsion soit illégale, qu’ils nous l’avouent mais nous mettent en garde si on tente de porter plainte… (on verra ce soir en AG ce qu’on décide).

Donc l’intervention, ça c’est passé comme dans les films d’actions.

Déroulement des évenements : Read More

Barcelone: Expulsion de la Camora

La Camora, squat ouvert en octobre 2004 a été expulsé mercredi dernier [12 janvier 2005] par un important dispositif policier (10 fourgons) et lors de l’expulsion les différentes personnes ont été identifiées avec appel du commissariat pour vérification des données: Et l’une des personnes était recherchée et donc conduite au commissariat où elle a été systématiquement tabassée (mais avec des gants), pour être finalement conduite à la prison pour femmes de Barcelone, Wad Ras, où elle purge ses 15 jours. Read More

Barcelone: Expulsions et occupations

Une grande nouvelle, les deux squatteurs emprisonnés pour les jets de cocktails molotov contre un commissariat sont sortis de prison, sous caution. C’est deja ça.

Sinon deux nouvelles occupations, l’une a l’Hospitalet, une maison d’habitation et l’autre a Cornella. Il s’agit d’un espace visant à poursuivre le projet du Pati Blau, centre social expulsé en octobre 2004. Pour l’instant illes sont en train de réhabiliter le lieu. Read More

Barcelone: Expulsion du centre social occupé « Bip Bip »

Ce lundi 13 décembre 2004, le centre social squatté « Bip Bip », situé dans le quartier de Clot à Barcelone, a été expulsé par surprise par la police. C’est l’habitant d’un squat situé à proximité, qui, passant par hasard dans la rue à 10h ce matin, a surpris les policiers en pleine manoeuvre et a donné l’alerte. L’espace occupé n’était pas habité, mais réservé aux activités des diverses personnes & collectifs impliquées. Les squatteureuses ont pu récupérer la plupart des affaires qui se trouvaient dans le lieu, avant que celui-ci ne soit partiellement muré. Read More

Beauduc, Camargue: Dix-sept cabanes auto-construites ont été détruites par l’Etat

Le matin du 30 novembre 2004 à Beauduc, des gendarmes mobiles et une pelletteuse en finissent avec les 17 cabanons autoconstruits, et ça ne va peut-être pas s’arrêter là…

Les constructions ont été décrétées illégales car bâties sur le « domaine public maritime ». « Le préfet de région est là, en chaussures souples, le préfet de police aussi, en bottes de caoutchouc. Il y a même un hélicoptère. Le resto Chez Marc et Mireille tombe le premier. Chez Juju, la vieille institution locale, suit », signale un article paru dans le torchon « Libération » (« Camargue: l’Etat fait le ménage sur la plage », le 1er décembre 2004)…

Anonyme

Nice: Expulsion des Diables Bleus

Quelques liens trouvés sur http://nice.indymedia.org:

Infos sur l’expulsion (1er décembre 2004) : http://nice.indymedia.org/article.php3?id_article=8144

Photos de l’expulsion (1er décembre 2004) : http://nice.indymedia.org/article.php3?id_article=8237 et http://nice.indymedia.org/article.php3?id_article=8249

Photos de la destruction des Diables Bleus (1er décembre 2004, déjà) : http://nice.indymedia.org/article.php3?id_article=8256

Communiqué de presse des Diables Bleus (30 novembre 2004): http://nice.indymedia.org/article.php3?id_article=8231