Seyssinet (Grenoble): Menaces d’expulsion à l’encontre de Résistor

Le squat “Résistor”, installé à Seysinnet-Pariset depuis septembre 2004, est expulsable à partir d’aujourd’hui 16 mars 2005.

– Ah bon mais pourquoi ?
– La mairie, propriétaire des lieux, nous avait intenté un procès en novembre à l’issue duquel on avait obtenu la trêve d’hiver. Comme dans le rendu du procès, les deux mois de délai post-trève n’étaient pas explicitement enlevés, nous croyions à raison que cela signifiait qu’on les avait bien et que donc, on n’était pas expulsable avant le 15 mai. Or hier stupeur, stupéfaction! un commandement de quitter les lieux nous informe qu’en fait on doit faire nos affaires dans les heures qui suivent sous peine d’expulsion violente. Read More

Barcelone: Expulsion de la Casa Nostra

Expulsion de la Casa Nostra, Barcelone, 15/03/05 vision partiale et partagée (par abracad@boum et fistiboy)

La Casa Nostra a été ouverte en janvier 2004 dans le quartier Eixample, près d’Arc de Triomf. Une vingtaine de personnes vivaient là et après un mois de rénovation, un bar, salle de concerts, fêtes de soutien, journées anticarcérales s’y sont organisées durant un an. Read More

Grenoble: Fête vendredi 18 mars 2005 à la Mordue

Ouais chouette c’est le printemps!
Mais c’est aussi toujours plus d’expulsions (paske bon c’est pas l’hiver qui les arrête)…
Alors à la Mordue on s’est dit si on faisait une fête là tout de suite, bientôt!
Du coup ça se passe ce vendredi 18 mars en non-mixité femmes/lesbiennes/trans F to T. Read More

Grenoble: soirée de soutien à Indymedia-Grenoble le 30 mars 2005

MERCREDI 30 MARS 2005 / 20H
LA NON AFFAIRE, vidéoprojection-débat

Retour sur une fausse manifestation organisée en 2003 par le gouvernement Raffarin contre la violence routiere.
Un bidonnage politico-médiatique passé quasi inaperçu. Read More

Lyon: Concert de soutien au Festival des résistances et des alternatives

  Lyon: Concert de soutien au Festival des résistances et des alternatives


Le 19 mars 2005 un concert à prix libre a lieu à Vaise (Lyon 9eme) au 17 rue de Bourgogne. Ce concert est en soutien au festival des résistances et des alternatives de Lyon, de même nous en profiterons pour lancer le festival des résistances 2005 et nous soutiendrons les skuats de Grnd zero (à Lyon) et des 400 couverts (à Grenoble) qui vont se faire vider. Ce collectif informel est composé d’individus qui désirent lutter sans proposer une doctrine idéologique prédefinie. Cette année, 3 thêmes seront abordés: du 9 au 16 avril, contre les biotechnologies capitalistes (contre-forum au forum international de Biovision) du 25 au 30 avril, No Border, du 7 au 15 mai mobilisation contre le g8. Ces 3 semaines seront l’occasion de débats, projections, guérilla jardinière, street party, actions et groupes affinitaires bien venus…

Pilouz, un individu du collectif


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Actions intersquats en France en soutien aux 400 couverts de Grenoble

—– communiqué du 28 février 2005 —–VENDREDI 25 FEVRIER

GRENOBLE, DIJON, SAINT-ETIENNE, THONON-LES-BAINS, BESANÇON, PARIS, TOULOUSE, LYON, REIMS, MONTPELLIER, NANTES, ALES, STRASBOURG, LA ROCHELLE, RENNES, GENÈVE, NEULLY SUR MARNE ET D’AUTRES VILLES ENCORE…

OCCUPATIONS, LÂCHERS DE BANDEROLES, MURAGES, DÉPÔTS DE GRAVATS, MANIFESTATIONS, OUVERTURES DE NOUVEAUX LIEUX, INTERPELLATIONS DES ÉLU-E-S…

RECITS DES ACTIONS COORDONNEES DE PROTESTATIONS CONTRE LES EXPULSIONS DE SQUATS EN FRANCE ET EN SOUTIEN A LA TRAVERSE DES 400 COUVERTS A GRENOBLE:

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De Grenoble à Paris, les mairies PS transforment les squats en gravats

Suite aux actions menées le vendredi 25 Février [2005] visant à dénoncer le rôle des municipalités PS dans la répression actuelle qui s’abat contre les squats (voir les communiqués du 25 février), la mairie socialiste du 12e arrondissement récidive en communiquant un tissu de mensonges et cherche à étouffer leurs responsabilités dans l’expulsion de squatters en plein hiver.

Le PS qui s’illustre depuis quelques temps par une dérive répressive particulièrement violente à l’égard des pauvres, des sans-papiers et des sans-logis cherche à nouveau dans cette histoire à se construire une image de victime en déformant les faits et en réduisant ceux qui se révoltent contre ses politiques en « vandales » et en « criminels ».

Vendredi 25 février, en effet, partout en France des squatteureuses et des compagnonEs solidaires se sont mobilisEes pour protester contre les expulsions et pour défendre ces lieux d’habitation, de création, d’expérimentations sociales, de réflexions, de rencontres et de solidarités. L’accent a notamment été mis sur la situation du squat des 400 couverts à Grenoble, menacé par la mairie socialiste de Michel Destot. A travers ces actions, c’est un large mouvement squat, en France et en Europe, qui se manifeste pour dénoncer les politiques répressives des municipalités à leur encontre.
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Dijon: Appel pour un week-end de réflexions antipatriarcales entre individus de construction masculine

Appel pour un week-end de réflexions antipatriarcales entre ICMs (Individus de Construction Masculine *) 25-30 mars 05 – Espace autogéré des Tanneries – Dijon

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PAS QU’UNE SEULE LUTTE…

Depuis de nombreuses années, des initiatives et collectifs féministes, proches des mouvances libertaires, agissent et se structurent. Depuis de nombreuses années, nous autres icms libertaires, attaqués dans nos privilèges, leur renvoyons généralement pas mal d’hostilité, beaucoup de désintérêt et parfois un peu de bienveillance paternaliste… Sans parler de ceux qui ne se sentent pas concernés ou considèrent qu’il s’agit d’une lutte secondaire.

Au final, un état de fait qui génère un fort et légitime scepticisme de certaines féministes quant à la possibilité d’un réel travail mixte sur la question, et qui laisse tout un pan du problème – la déconstruction par les icms de leurs rôles d’oppresseurs – en suspens.

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Grenoble: Prochaine émission “Dégenrée” sur la masturbation

Yiihii!
La prochaine émission de DégenréE, ce mercredi 9 mars 2005, sera des discussions, témoignages de femmes et de lesbiennes autour de la masturbation.


DégenréE – l’émission pour déranger!

une émission féministe: actualité, analyses, infos, débats, points de vue, musiques etc… de femmes et lesbiennes

18h30 à 20h les 2ème et 4ème mercredis du mois (rediffusion les lundis suivants à 19h)

sur 97 fm à Grenoble

sur http://www.radio-kaleidoscope.net partout ailleurs

écoutes collectives entre femmes et lesbiennes les mercredis:
à la mordue
9 rue jacques thibaud
38000 grenoble

CONTACT: degenree[AT]boum.org

vos remarques, retours et réflexions sont les bienvenues!

DégenréE – l’émission pour déranger!

La Rochelle: Communiqué du collectif PIF-PAF

Bonjour,

Petit résumé de la situation pour ceux qui ne sont pas au courant.

Un bâtiment inutilisé d’environ 800m², appartenant à la Communauté d’Agglomération de La Rochelle a été occupé à partir du lundi 21 février 2005.

Le collectif PIF.PAF a été crée à l’occasion. PIF.PAF pour Plate forme d’Initiatives Furieuses pour la Pérénnité de l’Autonomie Festive. Read More

La Rochelle: Expulsion du Pif Paf

COMMUNIQUE DE PRESSE DU COLLECTIF PIF.PAF DU 7 MARS 2005.

Aujourd’’hui lundi 7 mars, à 8h00 du matin, sur ordre du Président de la Communauté d’’Agglomération de la Rochelle Maxime Bono, la force publique est intervenue pour nous expulser du 45 quai Maubec.

Une centaine de CRS ont fait sortir les sept présent-e-s (dont une adorable poule naine). Notre attitude non-violente a permis que l’’expulsion se déroule sans heurts. Read More

Barcelone: Une histoire de speculation immobilière…

Il était une fois un quartier populaire sur les hauteurs de Barcelone, que l’on appelait le Carmel ou Carmelo. Quartier où il y avait de nombreux squats, peu à peu chassés par les projets de quelques illustres personnages, afin d’intégrer ce quartier à la ville : une nouvelle ligne de metro… Read More

La Rochelle: Expulsion du squat du quai Maubec

Avis à tou.te.s!

Le collectif PIF PAF s’est fait évacuer du squat quai Maubec ce matin lundi 7 mars 2005 à 8h par plusieurs fourgons de CRS. Pierre ayant donné l’alerte, nous nous sommes enfermés dans une chambre. Après avoir fait sauté la chaîne, ils ont défoncé la porte de la chambre à coups de bélier et nous ont demandé de sortir sans violence, ce que nous avons fait. Un cordon de ces gentils messieurs nous a accompagnés jusqu’en bas. Après avoir pris nos identités (Phil, Jonathan, Pierre, Jean, Jojo, et Anne étions dans le lieu), ils ont embarqué les deux qui étaient nommés dans la procédure, Pierre et Jonathan, et “évacué quai Maubec” les autres. Nous sommes sortis du poste une heure après, suite à une main courante. nous ne savons pas (mais nous ne le croyons pas) s’il vont réclamer l’astreinte. Read More

Paris: Réponse au communiqué de la maire du 12ème arrondissement suite à l’expulsion du squat de la cité Debergue

Voici un communiqué de la maire du 12ème arrondissement de Paris, Michèle Blumenthal, sur l’expulsion du squat de la cité Debergue et les actions qui l’ont suivie…

Ce communiqué est un tissu de mensonges, et c’est entre autres à ce titre qu’il est intéressant. Les pouvoirs locaux ne se refusent rien en termes de “communication”.

La maire fait un amalgame entre les squatteureuses et tou-te-s celles et ceux qui se sont mobilisées face à ce type d’expulsion et qui se sont exprimées par différentes actions et communiqués (manif sauvage, tags, tensions devant le squat démuré puis remuré le 18 février, divers textes, action du 25 février, fausse lettre de la mairie, etc.).

La maire fait un amalgame entre les squatteureuses et leurs ami-e-s solidaires (bientôt on va nous dire que la manif sauvage, les poubelles et autre mobilier urbain renversés sur les routes pendant que les squatteureuses étaient au commissariat suite à l’expulsion étaient le fait de ces mêmes squatteureuses…) pour ce qui est des diverses actions de protestation contre les expulsions (tensions devant le squat démuré puis remuré le 18 février, action du 25 février, fausse lettre de la mairie, etc.).

Le 25 février, contrairement à ce que dit la maire, personne n’a pris de coup. D’ailleurs, y’avait-il des élus sur place ?

Le 17 février, au moment de l’expulsion, le squat était ouvert depuis près d’une semaine. Quoi qu’en disent les rapports des vigiles de la sécurité de la mairie et des “forces de l’ordre”… Cette expulsion a eu lieu sans aucune décision exécutoire du Tribunal de Grande Instance. Elle est “illégale”. Mais le jour où ceux qui édictent les lois (pourtant déjà Bien en leur faveur) les respecteront, ça se saura !

L’immeuble occupé était loin d’être insalubre. Vide depuis de longues années, il restait dans un état bien meilleur qu’un paquet de logements pour lesquels il faut payer un loyer… Bien sûr, depuis l’expulsion, escaliers, planchers et toiture ont été détruits. Pour justifier l’insalubrité ? Ou pour empêcher toute possibilité de réoccupation…

Pour ce qui est du papier à en-tête de la Mairie du 12ème, la maire accuse sans aucune preuve les squatteureuses de l’avoir dérobé, alors qu’il est si facile de se procurer une lettre de la Mairie et de la scanner, ou encore de la créer de toutes pièces à l’aide d’un logiciel informatique. Et s’il y avait des “traîtres” au sein de la social-démocratie locale ?

En bref, quand la maire nous parle de “comportements irresponsables et violents”, on se demande qui en est réellement victime… Il serait “irresponsable et violent” de ne rien faire, tandis que les pouvoirs publics (de gauche comme de droite) font expulser partout en plein hiver des gens, avec l’aide bienveillante de la Justice et des Préfectures !

Il y a des maisons vides, occupons-les !
Sus aux expulseurs !

Don Diego de la Vega (éternel soutien des opprimé-e-s) Read More

Brest: Expulsion de Chez Dédée et nouvel hébergement virtuel

Mercredi 23 février 2005, la police, sur ordre de la sous-préfecture de Brest, a expulsé par la force les occupants de chez DéDéE sur le port de commerce.

Ce lieu laissé inoccupé depuis 3 ans par la CCI, était investi par des artistes depuis le 20 novembre 2004. Ceux-ci avaient immédiatement cherché un accord de convention, à l’amiable, avec le propriétaire. La réponse a été immédiatement judiciaire et sans aucune volonté de dialogue. Après l’expulsion de ses occupants au réveil, en plein hiver et sous la neige, ce lieu sur lequel il n’y a aucun projet, va rester vide. Suite aux décisions judiciaires ordonnant l’évacuation des lieux, le collectif avait demandé un délai à la sous-préfecture…

La réponse a été pour la moins brutale. Read More