Grenoble : La Loupiote continue, avec des nouvelles et nouveaux occupant-e-s et des nouveaux projets

La Loupiote, ça continue autrement…

La Loupiote est un squat qui s’est ouvert en périphérie de Grenoble fin septembre 2003. Essentiellement axé sur l’habitation, s’y sont toutefois déroulés différents débats et rencontres autour de thèmes aussi variés que la zététique (ne cherchez pas dans le dico, vous ne trouverez pas), l’antipsychiatrie, le féminisme, la critique de l’industrialisation et des nanotechnologies,… autant de thèmes en lien avec l’investissement quotidien de différentes personnes de la maison. Les squats ont été assez malmenés à grenoble ces derniers temps, et dans le cas de la Loupiote, on a fait le choix de laisser notre maison dans la mesure où l’expulsion semblait se profiler assez rapidement et où un autre projet, avec d’autres atouts, pouvait y voir le jour. Read More

Grenoble : Bricomusik à la rentrée 2004

Babybrul.orgprésente:

BRICOMUSIK

>rentrée 2004, à Grenoble (france) pendant 2 jours.

Venez faire découvrir votre musique sans copyright, gratuite ou à prix libre* (CDR, K7, pochettes cartons maisons, (très) petites séries, détournements de bandes sons etc.). Read More

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Nantes : Expulsion d’un nouveau squat non-mixte de femmes

Jeudi 17 juin 2004, après 48H de pressions, des représentantEs de la ville accompagnéEs de policiers et d’un serrurier ont forcé, sans procédure pénale préalable, une maison occupée depuis 10 jours par un collectif non-mixte de femmes. « Fraülein 51 », en plus d’être un lieu de vie, visait à devenir un lieu de réunions, de créations artistiques et d’échanges de savoirs, entre femmes. La mairie, propriétaire des lieux, se permet des expulsions alors qu’elle possède des batiments inutilisés. Aussi elle nie le droit au domicile (art 432.8 du code pénal). Ainsi non contente de mettre des gens à la rue, elle agit en toute illégalité, sans la procédure judiciaire, qui permet d’obtenir un délai avant l’expulsion. La situation de ce lieu n’est hélas pas isolée, un autre squat est actuellement menacé de la même façon. Vous pouvez faire pression sur la mairie (par téléphone, fax, lettres, mail…) Et voilà !
Fraulein 51

Grenoble : La Flibustière est vide depuis mi-mai 2004

Vers la mi-mai, les squatteuses de la Flibustière, située à Fontaine en banlieue de Grenoble, ont quitté le navire…

Anonyme

Lille : Résultat du procès des squatteur-euse-s expulsé-e-s en novembre 2003

  Lille : Résultat du procès des squatteur-euse-s expulsé-e-s en novembre 2003


Souvenez-vous, début novembre 2003, à Lille, un squat ouvert depuis quelques heures se faisait violemment expulser par les forces de police (pour plus d’infos, voir http://squat.net/fr/news/lille101103.html). Accusé-e-s de dégradation des lieux, etc., les squatteur-euse-s sont passé-e-s en procès quelques mois plus tard. Le résultat a tardé à tomber puisqu’il a été reporté plusieurs fois. Finalement, le 9 juin 2004, une suspension de peine générale (pour tou-te-s les inculpé-e-s) à été prononcée par la juge.

Anonyme


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Grenoble : Une réunion publique se retourne contre le maire

Vendredi dernier [11 juin 2004], Destot (maire PS de Grenoble) convoquait une réunion publique pour présenter « l’avis des Grenoblois » quant à l’avenir du Parc Mistral, où un stade est en train d’être construit malgré des mois de lutte. Le public était moins « participatif » que prévu…

Vendredi 11 juin à 20h30, Destot et son équipe comptait présenter aux « Grenoblois » l’avis des « Grenoblois » au sujet du futur du parc Paul Mistral. « Extension » à droite ou à gauche ? Petit train ou barbe-à-papa ? Les questions soumises par courrier à 90.000 foyers éludaient soigneusement l’énorme verrue au milieu de tout ça, le stade, déjà « démocratiquement » choisi par la mairie et ses lobbies. Une belle démocratie de fiction, largement médiatisée, et toujours aussi criante d’à-propos : les thèmes sur lesquels on veut bien faire semblant de solliciter la population naviguent allègrement autour des « couleurs des façades » et ne posent jamais les questions principales.

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Paris 17e : Les forces de l’ordre saccagent un repas de quartier

COMMUNIQUE des MACAQ

Les forces de l’ordre saccagent un repas de quartier

Samedi 12 juin,
19 h.

L’association MACAQ, bien connue dans le 17ème, installe tables et chaises place du Docteur Félix Lebligeois afin d’organiser un repas de quartier sous des décorations lumineuses en formes de poissons. L’association était alors désireuse de simplement organiser une rencontre entre habitants, à l’occasion de la fête de la lumière (dans toutes les capitales d’Europe et même à New York) et en accord avec les restaurants et commerces environnants. Read More

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Bruxelles : Appel à solidarité contre l’expulsion du squat Popelilu

  Bruxelles : Appel à solidarité contre l’expulsion du squat Popelilu


le squat popelilu à Bruxelles expulsable mais toujours pas expulsé.

Appel à la solidarité et invitation à participer. Passez nous voir et continuons à squatter Bruxelles! 1069 ch. de Wavre. Des milliers de logements sont vides…

Barbie Bulle


Hasselt : Les 7 nains, un nouveau squat en Belgique

  Hasselt : Les 7 nains, un nouveau squat en Belgique


7 personnes occupent un superbe batiment en face de la gare depuis plusieurs mois, sur place se trouvent des ateliers, une salle de concert, un sleeping, une grande cuisine (des bouffes populaires s’y passent et c’est bon!). D’autres personnes occupent des hangars juste à côté, un peu partout flottent des banderolles et de grandes libellules en métal décor la façade. Ils organisent toutes sortes d’activités et d’actions autour des pratiques D.I.Y du prix libre, du féminisme, du véganisme etc. Il y a des tables de presses lors des concerts, un info-shop et c’est super joli!! Pour y arriver il vous faudra passer sous une arcade de pierres rouges se trouvant en face de la gare sur votre gauche après le squat est tout de suite sur votre gauche et bonne découverte!!

Barbie Bulle


Paris 18e : Le Collectif des mal logéEs occupe la bibliothèque de la Goutte d’Or et se fait expulser dans la foulée

  Paris 18ème : Le Collectif des mal logéEs occupe la bibliothèque de la Goutte d’Or et se fait expulser dans la foulée


Collectif autonome (c’est-à-dire non noyauté par des orgas ou partis) assez actif sur le 18ème, les Mal-LogéEs soulèvent depuis un certain temps le gros problème du logement sur le quartier Barbès / Chateau rouge / Goutte d’Or : insalubrité, accès impossible à un logement décent, squat, expulsions…

Aujourd’hui [11 juin 2004], illes occupaient (sans en bloquer l’accès) à une grosse trentaine — dont la moitié de femmes et d’enfants — la bibliothèque de la Goutte d’Or. A 19h, heure de fermeture, la police débarque, et tout le monde se réfugie au fond du hall d’entrée.

Un impressionnant dispositif policier se met en place : pas moins de 8 voitures, et d’une 50aine de keufs. La BAC « 18ème cowboys crew » est bien présente et assume une fois de plus l’image qu’elle s’est forgée. Une demi-heure de battement. Des badauds s’attroupent en face. Un certain ras-le-bol de voir la police occuper le quartier se fait sentir, sans pour autant ne pas paraître blaséEs : plus de soupirs que de slogans… Puis, la police expulse tranquillement (quelques personnes qu’il faut trainer et tirer), quelques slogans de ceux et celles qui viennent de se faire sortir : « Y en a marre de la droite de la gauche », « Y en a marre de la police partout », « pas de justice… ». Puis le collectif (au complet) s’en va et gagne le square Léon non loin de là…

Réunion du Collectif des mal-logéEs 18ème sans frontières tous les mardis à 18h dans le square Léon, métro Barbès.

Collectif des mal-logéEs 18ème sans frontières


Barcelone : Occupation d’églises par des sans-papiers

Samedi 5 juin 2004 à 18h avait lieu une manifestation de sans-pap’ demandant la régularisation sans conditions, réunissant une trentaine de collectifs. La manif a réuni environ 8 000 personnes. Dès 19h quelques manifestantEs en grande partie pakistanaiSEs et hindouEs, sont entréEs dans l’église de la place del Pi, dans le centre touristique de Barcelone, avec le concours d’une vingtaine de personnes. Vers 20h la manif est arrivée place de la Cathédrale et un millier de sans-pap’, selon les journaux ont investi la cathédrale. Dans les deux cas, la demande était la même : papiers pour touTEs. Read More

Guatemala : Occupation de bâtiments à Ciudad de Guatemala

Guatémala : l’’occupation de bâtiments comme ferment d’’une autre culture politique

Ce vendredi 4 juin 2004, à 17h30, 80 personnes ont ouvert un bâtiment abandonné situé dans le centre de la capitale du Guatemala (zona 1), la Ciudad de Guatemala. Les participants à l’’occupation répondent ainsi à l’’appel d’’un réseau créé récemment, baptisé « Bloc Anti-Impérialiste, une communauté autonome ». Read More

Grenoble, SMH : Les suites du batiment de la Charade expulsée

Quant à l’avenir de l’îlot du « Chamois »…

Dans la continuité de ce qui a été envoyé sur « l’avenir de l’îlot squatté des 400 couverts » (cf. DROIT DE REPONSE AU DAUPHINE LIBERE ET A LA MAIRIE DE GRENOBLE AU SUJET DU PRESENT ET DE L’AVENIR DES 400 COUVERTS, texte envoyé le jeudi 3 juin sur la liste grrrville [at] squat [point] net et publié sur http://squat.net/fr/news/grenoble100604.html), voici une petite contribution qui nous vient du feu squat La Charade à (Saint-)Martin d’Hères (banlieue communiste de Grenoble)…

Il y a tout juste un an ou presque, le squat La Charade (à l’emplacement de l’hôtel du Chamois) se faisait expulser par une mairie de majorité PCF… Celle-ci arguait l’imminence d’un projet de construction de logements sociaux à la place des bâtiments occupés[1]. Un an après, la mairie se félicite de la démolition de l’ancien hôtel qui avait servi de lieu d’habitation, de jeux, d’expérimentations, de tout ce qu’on veut ou pas à un collectif d’une dizaine de personnes. La démolition vient d’avoir lieu… près de 11 mois après l’expulsion. Les travaux devaient soi-disant commencer fin juillet 2003 ; c’était tellement pressé que la mairie « oublia » ses promesses de ne pas expulser avant le 20 juillet 2003, préférant régler le problème un mois en avance…

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Grenoble : La mairie, le Dauphiné Libéré et l’avenir de la traverse squattée des 400 couverts

DROIT DE REPONSE AU DAUPHINE LIBERE ET A LA MAIRIE DE GRENOBLE AU SUJET DU PRESENT ET DE L’AVENIR DES 400 COUVERTS

Le Dauphiné libéré a publié dernièrement deux articles concernant la traverse des 400 couverts : « Grabuge dans une impasse », le vendredi 7 mai 2004, et « La fin du squat des 400 couverts » le mardi 11 mai. Nous, occupants et occupantes de la traverse des 400 couverts, souhaiterions répondre à ces articles qui nous concernent directement, et qui sont faux sur certains aspects, incomplets sur beaucoup d’autres.

LOGEMENTS SOCIAUX : Moins de la moitié des logements à caractère social.

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Montréal : Des SquatteurEs sont evincéEs d’un terrain vacant

Jeudi soir dernier [27 mai 2004], à environ 22h30, 7 personnes ont été évincées de leurs abris bâtis sur un terrain vacant dans le Centre-Sud par au moins 10 officiers de police de la Division 22 du SPVM. Un avis d’’éviction prévue pour vendredi matin a été livré mardi dernier à 10h00 par le commandant Daniel Allard de la Division 22. Cet avertissement a été provoqué par un article sur les jeunes de la rue qui a été publié dans « La Presse », édition du samedi 22 mai. Dans cet article, le journaliste Nicolas Bérubé a divulgué l’’endroit où habitaient les sans-abri ainsi que les photos des squatteurEs. Il a passé trois jours avec eux et elles, leur achetant de la bière et des cigarettes, en prétendant rédiger un article sur « les conditions de vie des jeunes de la rue ». Les squatteurEs ont dit qu’’il était venu sous de faux prétextes, car il se disait étudiant en journalisme et les avait convaincuEs qu’’aucune des photos ne serait publiée. Read More