La Rochelle: Expulsion du Pif Paf

COMMUNIQUE DE PRESSE DU COLLECTIF PIF.PAF DU 7 MARS 2005.

Aujourd’’hui lundi 7 mars, à 8h00 du matin, sur ordre du Président de la Communauté d’’Agglomération de la Rochelle Maxime Bono, la force publique est intervenue pour nous expulser du 45 quai Maubec.

Une centaine de CRS ont fait sortir les sept présent-e-s (dont une adorable poule naine). Notre attitude non-violente a permis que l’’expulsion se déroule sans heurts. Read More

Barcelone: Une histoire de speculation immobilière…

Il était une fois un quartier populaire sur les hauteurs de Barcelone, que l’on appelait le Carmel ou Carmelo. Quartier où il y avait de nombreux squats, peu à peu chassés par les projets de quelques illustres personnages, afin d’intégrer ce quartier à la ville : une nouvelle ligne de metro… Read More

La Rochelle: Expulsion du squat du quai Maubec

Avis à tou.te.s!

Le collectif PIF PAF s’est fait évacuer du squat quai Maubec ce matin lundi 7 mars 2005 à 8h par plusieurs fourgons de CRS. Pierre ayant donné l’alerte, nous nous sommes enfermés dans une chambre. Après avoir fait sauté la chaîne, ils ont défoncé la porte de la chambre à coups de bélier et nous ont demandé de sortir sans violence, ce que nous avons fait. Un cordon de ces gentils messieurs nous a accompagnés jusqu’en bas. Après avoir pris nos identités (Phil, Jonathan, Pierre, Jean, Jojo, et Anne étions dans le lieu), ils ont embarqué les deux qui étaient nommés dans la procédure, Pierre et Jonathan, et « évacué quai Maubec » les autres. Nous sommes sortis du poste une heure après, suite à une main courante. nous ne savons pas (mais nous ne le croyons pas) s’il vont réclamer l’astreinte. Read More

Paris: Réponse au communiqué de la maire du 12ème arrondissement suite à l’expulsion du squat de la cité Debergue

Voici un communiqué de la maire du 12ème arrondissement de Paris, Michèle Blumenthal, sur l’expulsion du squat de la cité Debergue et les actions qui l’ont suivie…

Ce communiqué est un tissu de mensonges, et c’est entre autres à ce titre qu’il est intéressant. Les pouvoirs locaux ne se refusent rien en termes de « communication ».

La maire fait un amalgame entre les squatteureuses et tou-te-s celles et ceux qui se sont mobilisées face à ce type d’expulsion et qui se sont exprimées par différentes actions et communiqués (manif sauvage, tags, tensions devant le squat démuré puis remuré le 18 février, divers textes, action du 25 février, fausse lettre de la mairie, etc.).

La maire fait un amalgame entre les squatteureuses et leurs ami-e-s solidaires (bientôt on va nous dire que la manif sauvage, les poubelles et autre mobilier urbain renversés sur les routes pendant que les squatteureuses étaient au commissariat suite à l’expulsion étaient le fait de ces mêmes squatteureuses…) pour ce qui est des diverses actions de protestation contre les expulsions (tensions devant le squat démuré puis remuré le 18 février, action du 25 février, fausse lettre de la mairie, etc.).

Le 25 février, contrairement à ce que dit la maire, personne n’a pris de coup. D’ailleurs, y’avait-il des élus sur place ?

Le 17 février, au moment de l’expulsion, le squat était ouvert depuis près d’une semaine. Quoi qu’en disent les rapports des vigiles de la sécurité de la mairie et des « forces de l’ordre »… Cette expulsion a eu lieu sans aucune décision exécutoire du Tribunal de Grande Instance. Elle est « illégale ». Mais le jour où ceux qui édictent les lois (pourtant déjà Bien en leur faveur) les respecteront, ça se saura !

L’immeuble occupé était loin d’être insalubre. Vide depuis de longues années, il restait dans un état bien meilleur qu’un paquet de logements pour lesquels il faut payer un loyer… Bien sûr, depuis l’expulsion, escaliers, planchers et toiture ont été détruits. Pour justifier l’insalubrité ? Ou pour empêcher toute possibilité de réoccupation…

Pour ce qui est du papier à en-tête de la Mairie du 12ème, la maire accuse sans aucune preuve les squatteureuses de l’avoir dérobé, alors qu’il est si facile de se procurer une lettre de la Mairie et de la scanner, ou encore de la créer de toutes pièces à l’aide d’un logiciel informatique. Et s’il y avait des « traîtres » au sein de la social-démocratie locale ?

En bref, quand la maire nous parle de « comportements irresponsables et violents », on se demande qui en est réellement victime… Il serait « irresponsable et violent » de ne rien faire, tandis que les pouvoirs publics (de gauche comme de droite) font expulser partout en plein hiver des gens, avec l’aide bienveillante de la Justice et des Préfectures !

Il y a des maisons vides, occupons-les !
Sus aux expulseurs !

Don Diego de la Vega (éternel soutien des opprimé-e-s) Read More

Brest: Expulsion de Chez Dédée et nouvel hébergement virtuel

Mercredi 23 février 2005, la police, sur ordre de la sous-préfecture de Brest, a expulsé par la force les occupants de chez DéDéE sur le port de commerce.

Ce lieu laissé inoccupé depuis 3 ans par la CCI, était investi par des artistes depuis le 20 novembre 2004. Ceux-ci avaient immédiatement cherché un accord de convention, à l’amiable, avec le propriétaire. La réponse a été immédiatement judiciaire et sans aucune volonté de dialogue. Après l’expulsion de ses occupants au réveil, en plein hiver et sous la neige, ce lieu sur lequel il n’y a aucun projet, va rester vide. Suite aux décisions judiciaires ordonnant l’évacuation des lieux, le collectif avait demandé un délai à la sous-préfecture…

La réponse a été pour la moins brutale. Read More

Rennes: Soirée gravats à l’Ekluserie le 5 mars 2005

Malgré la destruction de ses murs, les activités continuent à l’Ekluserie.
Samedi soir, amène ta picole, mangeaille et bonne humeur et viens faire la fête au 81 rue Alphonse Guérin. Read More

Saint-Denis (93): Manif contre les expulsions de bidonvilles

RDV : Mercredi 16 mars 2005 à 17h30 devant la mairie de St-Denis (metro : St-Denis basilique, ligne 13). Nous marcherons jusqu’au siège de Plaine Commune au pied du stade de France.

« – Des papiers !
– Un domicile fixe !
– La fin des expulsions de France et des bidonvilles ! » exigent des habitants des bidonvilles de Plaine Commune.

Dans quelques jours, des pauvres sans logement risquent d’être expulsés de leur abri de fortune : hangar désaffecté, terrain à l’abandon,… tous situés sur le territoire de La Plaine Commune. Ces personnes sont roumaines, majoritairement tsiganes, elles ont en France le statut de touriste ou sont sans-papiers. La Roumanie est l’un des pays les plus pauvres d’Europe et les tsiganes roumains sont en Roumanie les pauvres parmi les pauvres sans compter le séparatisme qui règne en Roumanie, marginalisant encore davantage les tsiganes du reste de la population. Malgré les idées reçues, les tsiganes roumains ne sont pas des « gens du voyage » et cela même si parfois ils vivent ici en caravane. La caravane est simplement l’habitat avec le meilleur rapport confort/prix ! Ces familles viennent ici, comme tous les migrants, avec l’espoir de trouver un travail et un salaire qui leur permettra soit de s’installer ici, soit d’améliorer leur sort au pays et pour assurer un meilleur avenir à leurs enfants.

Plaine commune a le pouvoir d’empêcher ces expulsions.

Read More

Lille: Manifestation contre le retour des expulsions locatives le 12 mars 2005

  Lille: Manifestation contre le retour des expulsions locatives le 12 mars 2005


MANIFESTATION SAMEDI 12 MARS 2005 à 14h30 – Porte des Postes – LILLE

CONTRE LE RETOUR DES EXPULSIONS LOCATIVES

Un toit, c’est un droit !

La mauvaise foi, c’est de nier le droit !

Nous constatons l’augmentation considérable du nombre de commandements de quitter les lieux (ordre de déguerpir) et des procédures d’expulsion .

Cette augmentation révèle un phénomène simple : les ménages à faibles ressources sont de plus en plus pauvres (30% des SDF sont des salariés, le nombre de RMIstes a augmenté de plus de 10% en 2004 dans le département du Nord).

Ce nouveau contexte législatif, marqué notamment par la loi dite « Borloo », introduit pernicieusement la notion de « bonne foi » pour justifier une politique d’intervention sociale qui consiste à culpabiliser les familles : « On s’attaque aux pauvres en lieu et place de s’attaquer à la pauvreté ».

La multiplication des statuts précaires, l’encouragement des bas salaires, les délocalisations-restructurations en fonction des profits boursiers et non de l’activité, la libre indexation des loyers dans le parc social… : toutes ces mesures et beaucoup d’autres transforment des privés d’emploi, des allocataires sociaux et de plus en plus de salariés en « locataires de mauvaise foi en puissance » parce que mis dans l’incapacité de payer.

La pauvreté n’est pas un « accident de la vie » ! L’insécurité sociale est organisée au profit d’une classe de nantis !

Nous refusons quant à nous de faire le tri des laissés pour compte du système imposé par la France d’en haut et de cautionner cette politique fallacieuse et discriminante.

Organisons notre résistance !

Nous revendiquons et exigeons :

o L’arrêt des expulsions sans relogement

o L’application d’un véritable droit au logement

o La construction de vrais logements sociaux

o L’arrêt des démolitions de HLM sans construction préalable

o La réquisition des logements vacants

o La suppression des ghettos sociaux et l’application du libre choix de résidence

Nous incitons toutes les familles qui sont confrontées à cette réalité à se manifester auprès des associations de leur secteur pour qu’ensemble nous puissions organiser une résistance collective.

Qu’est ce que la mauvaise foi ?

On (la société, les pouvoirs) a toujours distingué en France, au cours de l’histoire, les « pauvres méritants » des « pauvres menaçants » ou « dangereux » (les vagabonds).

De même, on a toujours fait une distinction entre « nos pauvres », c’est à dire ceux du voisinage, de la commune par exemple, des pauvres « venus d’ailleurs ».

Les pauvres menaçants, ce sont les indociles, les peu reconnaissants des « bontés qu’on leur fait » : ils sont dangereux (ou ils le paraissent), alors on les poursuit, on les condamne aux galères, ou on les place d’autorité dans des maisons où l’on prétend les rééduquer.

Les pauvres méritants, ce sont ceux qui sont reconnaissants, ceux qui font ou tentent de faire les efforts qu’on leur demande.

Ces notions moralistes ne se sont pas perdues puisqu’on les retrouve aujourd’hui sous d’autres termes : « les locataires de bonne foi » en opposition à ceux qui sont « de mauvaise foi » (ou qu’on suppose tels).

Peut on trouver une définition précise de cette bonne foi et de cette mauvaise foi ? Non, bien sur ! Et puis qui, le plus souvent, définit qui est un locataire de mauvaise foi ? Le bailleur, juge et partie.

Aux locataires de bonne foi, le sursis, aux autres l’expulsion et la rue !

LA PROCEDURE D’EXPULSION
Mise en demeure de payer

Simple lettre recommandée du bailleur

Commandement de payer

Remise au locataire par huissier. Obligation de voir apparaître l’adresse du FSL (Fond de Solidarité Logement)

Délai 2 mois

Assignation au Tribunal Tout bailleur social (HLM) doit avoir saisi la SDAPL (Section Départementale des Aides Publiques au Logement) ou la CAF

3 mois au moins avant d’assigner le locataire au tribunal

Délai 1 mois Audience Le juge peut accorder des délais de paiement allant de 2 mois à 2 ans en établissant un échéancier de remboursement. Cela suspend la procédure d’expulsion

Signification du jugement Remis au locataire par un huissier. Il est possible de faire appel , mais cet appel ne suspend pas la procédure.

Commandement de quitter les lieux Remis au locataire par huissier et envoyé au Préfet par lettre recommandée.

Il vous est possible à ce moment de saisir le JEX (Juge de l’Exécution) afin d’obtenir des délais pour le relogement.

Délai 2 mois Expulsion
Un huissier peut se présenter à votre domicile dès 6h du matin et jusqu’à 21h tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés.

On peut s’opposer à son expulsion : affichez sur votre porte votre refus de quitter les lieux, vous n’aurez dès lors pas besoin d’ouvrir votre porte !

L’huissier ne peut entrer dans votre logement en votre absence pour vous expulser, exception faite lorsqu’il existe en parallèle une procédure de saisie du mobilier, en quel cas l’huissier pourra rentrer pour saisir vos meubles mais pas pour vous expulser !

Si vous vous opposez à votre expulsion, l’huissier devra saisir le Préfet en demande de concours de la Force Publique (la police). Une enquête sera alors faite par la Préfecture en vue d’accorder ou pas ce concours de la Force Publique.

Accompagné par une association de défense des locataires, vous pourrez obtenir des délais pour votre relogement

Manifestation unitaire organisée par : les Ateliers Populaires d’Urbanisme (APU) de Moulins, du Vieux Lille, de Wazemmes, la Confédération Nationale du Logement (CNL), le Droit Au Logement Nord Pas de Calais (DAL)

APU Moulins


Bruxelles: C’était le foyer autogéré……

Texte trouvé sur http://liege.indymedia.org/news/2005/03/3831.php

Et ça s’est passé près de chez nous, à Bruxelles, dans notre chère ULB, auto affirmée garante de la libre pensée et du rejet de l’argument d’autorité.
Texte paru dans ALTERNATIVE LIBERTAIRE n°44 / février 2005.

Voici un petit résumé sur ce qui s’est passé ces derniers mois, il aurait été dommage que les événements qui ont eu lieu ne soient pas relatés dans ce journal. J’essaierai d’être le plus objectif possible en essayant de ne pas oublier tel ou tel fait (ça va pas être facile vu la multitude d’actions qui s’y sont passées). Tout d’abord, un petit rappel sur ce qu’est le Foyer et les motifs qui ont poussé à cette action d’autogestion. Le Foyer, tout simplement, c’est le bar de l’ULB sur le campus du Solbosch, géré par l’université et ouvert à tou(te)s. Le Foyer, c’est une « institution » (désolé, je n’ai pas trouvé d’autre mot), tout le monde à l’ULB (et même en dehors) le connaît et/ou y est au moins déjà passé une fois. Pas d’obligation de consommer, chacun peut venir boire un verre, manger ses tartines au fromage, faire une partie d’échec (il y a des jeux de société à disposition), de kicker, fumer un petit joint, etc. Enfin là je devrais plutôt parler à l’imparfait. En effet des plans de restructuration du bâtiment dans son ensemble, approuvés l’an passé, ont prévu une rénovation et un réaménagement des affectations des différents locaux. C’est là que commence le problème. Dans les plans, le Foyer est remplacé par le Petit Yo-Yo, le restaurant géré par une société privée situé juste en face et désireux de s’étendre. À la place du resto, je ne sais plus ce qu’ils vont y mettre mais en tous cas pas le Foyer.
Read More

Barcelone: Récit d’une tentative d’expulsion par des milices privées

Ici à Barcelone, la situation est assez incroyable comparé au contexte français.

Un exemple pour illustrer mes propos: l’autre jour alors que nous étions en train de geeker (=faire de l’ordi en langage international linuxien) fièvreusement dans le Cyberforat – cybercafé gratuit autogéré squatté anarchiste pro-logiciels libres et tout ça dans un quartier hyper « populaire » du centre-ville (voir ici et ) – quelqu’une est arrivée en disant « they are back, they want to burn our house », ou quelque chose comme ça. De là, tout le monde lève le nez de l’ordi, on discute en s’habillant et en 5 minutes, 20 personnes sortent dans la rue pour aller voir ce qui se passe. Read More

Tags:

France: Le point sur les actions de solidarité avec le squat des 400 couverts à Grenoble

Vendredi 25 février 2005, diverses actions de soutien à la traverse des 400 couverts (ruelle squattée à Grenoble) visant les mairies socialistes ou les locaux du PS ont eu lieu un peu partout. La volonté était de contribuer à un rapport de forces en faveur d’espaces d’autonomie et d’autogestion. Ce squat est menacé d’expulsion par la mairie PS de Grenoble. Les manifestations visaient au maintien des 400 couverts tout autant qu’à dénoncer la politique des mairies socialistes : tonnes d’expulsions de squats (comme par exemple la veille même de l’action, à Rennes, où le squat de l’Ekluserie a été expulsé, tandis qu’une semaine auparavant la mairie gauche plurielle du douzième arrondissement de Paris expulsait un squat ouvert depuis près d’une semaine) et d’expulsions de sans papierEs, politique sécuritaire et autres méfaits habituels quand on approche un peu de la social-démocratie…

—– LES 400 COUVERTS, C’EST QUOI, C’EST QUI ? —–
Read More

Neuilly-sur-Marne (93) : Action de soutien aux 400 couverts

Quelques individus de Neuilly-sur-Marne se sont résolus au cours d’un banquet à soutenir le squat des 400 couverts (Grenoble) menacé par la gôche soc. Vite, un verre de plus et les assiettes de la bouffe sont bientôt des supports pour quelques messages bien sentis : « NON », « C’est vous les méchants » et autres « Vive les squats ». Titubant sous l’effet de quelques verres, ils se dirigent vers l’antenne P.S de Neuilly-sur-Marne. Bien que fermée, ils décident malgré tout de redécorer la porte et de glisser un tract sous la porte. En traversant la rue, ils atteignent bien vite la mairie et la visitent, agrémentant au passage la porte du conseil municipal d’une affichette. Enfin, la place de la mairie accueille les restes : assiettes, fourchettes, cuillères, couteaux, verres…

Quelques photos en prime sur http://lille.indymedia.org/article_theme.php3?id_article=1019

Le 9-3 soutient les 400 ! !

Dijon: Programme des activités de l’espace autogéré des Tanneries (Mars – Avril 05)

Bonsoir,

Voilà le dernier programme des activités de l’Espace Autogéré des Tanneries à Dijon.

Quelques modifications dont le concert du 12 mars annulé. A noter… Bonne lecture, en espérant vous voir nombreux-ses!

-0tt0 ReduX Read More

Reims: Action de soutien aux 400 couverts le 25 février 2005

Des affiches et des tracts dénonçant les menaces d’expulsion contre les 400 Couverts et d’’autres squats ont été collées et distribués dans le quartier de feu La Grosse Caillasse, squat populaire expulsé en 2002.


Voici le texte du tract distribué à Reims lors des initiatives de soutien à la traverse des 400 couverts de grenoble. Il fait là encore le parallèle avec la situation locale et le squat d’habitation et d’activité de « la grosse caillasse » expulsé en 2002, avec des bâtiments appartenant à l’armée et laissés de nouveau à l’abandon depuis. Read More

Barcelone: News en vrac

Pour commencer le 15 février 2005 dès 8h30 du matin plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées devant la Casa Nostra contre l’ordre d’expulsion le jour même. Un total d’environ 130 personnes étaient présentes ce matin là (j’ai compté pour être sûr) et forcément la police n’est pas venue. Donc la Casa Nostra reste okupée. Read More

Tags: