Ce Vendredi 28 février une bande de joyeux énervés a perturbé le train-train administratif l’hôtel de ville sous le coup de midi, équipés de banderole et mégaphone. Tout de suite, deux ou trois comparses se sont engouffrés dans ces bureaux horribles, et ont lancés leurs tracts dans tous les coins. Dans le même temps, plusieurs employés ont tentés mollement et en vain de rétablir la routine morbide de l’autorité et du travail!
Texte du tract:
A Namur comme ailleurs «la crise du logement» ne fait qu’empirer de jours en jours, les loyers et les charges ne cessent d’augmenter, les expulsions s’enchaînent et la précarité touchent des couches de plus en plus larges de la population. De plus en plus de gens ne peuvent plus vivre une vie décente ou pire sont condamnés à vivre dans des taudis voire à la rue, car ils n’arrivent plus à payer leurs loyers. Read More