Brésil: Répression contre des squatteurEs

Une info trouvé dans le dernier bulletin de l’ABC (Croix Noire Anarchiste), février 2002 :

« Le 8 janvier, environ 400 policiers anti-émeute appartenant à la police militaire fédérale du Brésil ont matraqué une foule de 1500 squatteurEs afin de les déloger d’un site d’immeubles. 17 personnes ont été blessées, dont 12 par balles, et 8 ont été arrêtées (…). Les squatteurEs avaient occupé le lieu le 28 septembre. Le coup de force policier du 8 janvier fut la troisième tentative de les expulser. Les autorités se sont alors lancées dans un programme de destruction des baraquements construits par les occupantEs qui devait s’étendre jusqu’au 13 janvier. Entre temps, les mêmes fumiers ont débuté une opération visant à expulser 400 autres squatteurEs, pour la plupart des familles de petits maraîchers, à Guara ».

ABC/CNA

Genève : Le squat de la rue de la Faucille a été évacué

L’évacuation du squat de la Faucille a débuté ce matin (lundi 14/01/02) vers 8h. Elle a duré bien plus longtemps que prévu. Les squatters, informés depuis plusieurs semaines de l’évacuation ont décider de résister. Les squatters sont restés jusqu’au bout et rejeté toute négociation avec la brigade des squats. Des manifestants ont lancé des projectiles enflammés contre les flics anti-émeute au bas de la rue des Grottes. Vers 8h, les occupants ont mis le feu à des barricades.

Les habitants du 4, rue de la Faucille se sont suspendus au mur par des baudriers. Deux policiers ont pénétré à 9h30 dans le squat, équipés d’une scie circulaire et d’une tronçonneuse. Pour évacuer les squatters. Une dizaine d’flics étaient postés sur les toits et dans la rue, armés de lance-grenades lacrymogènes et de boucliers. Les squatters de la rue de la Sibérie ont encouragent leurs amis de la rue de la Faucille en diffusant de la musique et en tapant sur des casseroles aux fenêtres. Vive la solidarité !
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Ty Disuj à Guingamp : récit de l’expulsion

Le 9 janvier vers 9h30 (à J+2) sont intervenus une 50 de gendarmes basiques venant de toute les Côtes-d’Armor (environ 20 fourgons et voitures) ainsi que 65 gardes-mobilLETTES de l’escadron 313 de Nantes (3 cars).

L’huissier demandant(implorant)une dernière fois de vider le lieu, il lui a été répondu je cite: CASSE-TOI.

Grâce aux barricades ( plan bientôt sur internet, hé hé), ils durent utiliser un tank-araignée (c’est à dire une pelleteuse à chenilles) qui leur permit d’ouvrir le portail (bloqué par environ 10 bariques remplies de caillasses et de béton) et la porte d’entrée (en trois coups de godet), porte qui était blindée et couverte comme le reste des ouvertures de pointes en hersse.Précisons que toutes les barricades ne furent pas utilisées.

Les 8 interpelléEs (13 flics chacunEs)étaient à l’intérieur mangeant tranquillement des pâtes à la carbonara (mais non mais non ce n’était pas pour narguer…) qu’ elles ils ne purent finir, ni récupérer !
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Guingamp: Expulsion de Ty Disuj

09/01/02 : l’expulsion s’est déroulée cette après midi sans trop de violence. Quelque 150 gardes mobiles étaient de la partie. Les personnes venues en soutien ont été tenu à l’écart du « théatre des opérations ». Même la presse a été invitée à ne pas prendre de photos. Pourtant cela aurait pu être assez joli, étant donné qu’un tracto-pelle a du dégager l’entrée de la cour encombrée de barriques remplies de gravas pour ensuite pénétrer dans la cour afin de défoncer la porte+de la maison à coups de pelleteuse. 2 ou 3 personnes ont été arrêtées alors qu’elles n’étaient pas occupantes. Les 12 personnes arrêtées au total ont été libérées et a-priori sans avoir été inculpés de quoi que ce soit.

plus de détail bientôt

Ken’ar wech all

opopop

Lyon : sans-papiers expulsé/e/s – manif le 5 janvier 2002

« Trop beau pour nous ! » disaient-ils/elles du nouveau lieu occupé, pensant qu’ils/elles ne pouvaient qu’en être expulsé/e/s prochainement. Ils/elles ont pourtant bien fait la fête, le 26 décembre…(il a été organisé un « noël des sans papiers »). Le 27 à l’aube, le lendemain de ladite fête, des centaines de flics ont débarqué et les ont fait sortir de manière très « hative ». On peut noter encore une fois l' »humanité » des autorités… Les flics se sont chargé de transporter en camion les affaires des sans papiers jusqu…au gymnase proposé par la préfecture depuis quelques jours !

De fait, la plupart y sont allés. Une minorité ne souhaitait pas y mettre les pieds, et préférait retourner au quai Sarrail. Ils ont finalement été hébergés dans un local militant. D’autre part, le gymnase est non mixte : les femmes ont été hébergées à gauche à droite dans la ville (quel privilège…). Pour les familles, la plupart avaient quant à elles été relogées, suite à négociations, avant l’expulsion (enfin une victoire). Le gymnase doit être disponible le 6 janvier pour ses usager/e/s habituel/le/s…

UNE MANIF EST PREVUE LE 5 JANVIER A 15H, départ place des terreaux. Pour les lyonnais/e/s : il semblerait important d’y être nombreux/euses.

Sophie

Bruxelles : un autre témoignage de l’expulsion du squat du Trône par une personne arrêtée

Mercredi 12 décembre, nous sommes arrivés, comme beaucoup de manifestants venus d’un peu partout, à la Gare Leopold occupée. Nous trouvons là des tables de presse, des infos et un repas qui réchauffe. Très bon accueil du collectif qui tient la gare. Dans la soirée, une AG a lieu, réunissant une soixantaine de personnes environ : il s’agit de savoir si nous allons investir le squatt ouvert à notre intention le soir même ou le lendemain.

Les besoins d’hébergement sont urgents, la plupart d’entre nous n’ayant pas d’autre point de chute, le choix est donc fait de partir par petits groupes de 10 vers minuit.

Une fois sur place, nous découvrons un bâtiment de 5 étages (proprio : la Ligue des Familles, assoc’ catho.) chauffé, eau courante, toilettes. l’idéal pour loger au moins 200 personnes durant les manifestations. Nous nous retrouvons pour une AG : organiser des tours de garde, repérer les possibilités de fuite, etc. Vers 3 ou 4 heures du mat’, les gens sont allés dormir. A 7 heures, une voix nous réveille : « Police, Police ! »
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Expulsion à Bruxelles : témoignages

Voici deux témoignages de l’expulsion du squat de la rue du Trône à Bruxelles, le matin du 13/12/01, par des personnes ayant échappé à l’arrestation. Rappel : le lieu avait été ouvert la veille pour loger les manifestant-e-s anti-sommet, arrivant par centaines, sans aucune possibilité de se loger.

Ce premier compte-rendu a été publié anonymement sur www.indymedia.be :

Le squat a été expulsé vers 7.30am. J’étais avec un groupe qui s’est échappé par l’un des murs arrières. La police était dehors. J’ai vu 3 voitures de flics mais il y avait également beaucoup de flics en civils dans des voitures banalisées. Impossible de dire combien. Depuis la fenêtre de l’étage, nous pouvions les voir poursuivre quiconque tentait de s’enfuir par l’avant du bâtiment.

Du côté du mur de derrière, des gens essayaient de grimper pour trouver une autre issue. Certains d’entre nous ont trouvé une échelle et accédé au toit d’un autre bâtiment. Alors que nous marchions sur le toit, il a cédé sous mes pieds et je suis tombé à l’intérieur du bâtiment. Heureusement, je suis tombé sur le toit d’une voiture, qui amortit ma chute avant que je ne glisse sur le sol. Je me suis bien blessé à l’épaule ainsi qu’au bras, à la jambe et aux côtes.

Deux types m’ont suivi à l’intérieur de ce qui était en fait un garage, et l’alarme s’est alors déclanchée. Elle fut entendue depuis le squat et encouragea d’autres personnes à tenter de s’échapper. Nous avons essayer de sortir par la porte du garage, mais sans succès. Nous avons alors pris l’escalier vers le toit et avons grimpé jusque dans un jardin, puis dans le bâtiment suivant, duquel nous avons pu rejoindre la rue. La police se trouvait à notre gauche mais n’a pas fait attention à nous. Nous avons donc pu nous enfuir.
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Bruxelles : conférence de presse suite à l’expulsion du squat du Trône

Invitation à une conférence de presse

Suite à l’expulsion des manifestants ce matin d’un squatt destiné au logement, le squatt du Trône, le D14 et le collectif BruXXel invitent à une conférence de presse aujourd’hui à 17 heures à l’Horloge du Sud (à l’intersection de la rue de Trône et de la chaussée de Wavre).

Hier pendant la nuit, des manifestants belges et étrangers occupent un bâtiment vide appartenant au fonds du logement pour se loger pendant le contre-sommet. Expulsés ce matin vers 7 heures trente, 30 à 40 personnes ont été arrêtées par la police fédérale. Les Belges sont actuellement arrêtés administrativement, les non Belges, en majorité des Français et des Espagnols, vont être expulsés vers leur pays respectif.

Alors que la situation du logement pour les activistes et manifestants venus del’étranger est catastrophique et que la seule possibilité laissée par les autorités belges est l’investissement de bâtiments vides (rappelons la réponse de monsieur Thielemans aux demandes d’utilisation de bâtiments publiques pour le lôgement: « c’est pas le Club Med ici »!!!), le délogement du bâtiment de la rue du Trône, la détention et la prochaine extradition de ses occupants sont inadmissibles. En effet, les 1.900 places disponibles pour loger les manifestants, ne le sont plus depuis aujourd’hui. 2000 à 3000 personnes sont encore attendues pour les manifestations de ces prochains jours. Il faudra bien accueillir ces citoyens européens quelque part, au même titre que les délégations officielles qui arrivent à Laeken (d’autant plus que sont prévues des températures en dessous de dix degrés).
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Bruxelles : ouverture le soir, expulsion le lendemain matin

Le bâtiment vide, situé à côté de celui de la Ligue des Familles, à quelques centaines de mètres de la Gare du Quartier Léopold occupée (BruXXel), avait été ouvert la veille, en soirée, pas des squatteurs et activistes belges, mais également français, espagnols et d’autres nationalités.

Vers 9:00, les derniers occupants étaient emmenés, manifestement vers la caserne d’Etterbeek, dans le calme. Tous étaient fermement menottés, mais dans le dos, la plupart avaient déjà été fouillés, leurs affaires personnelles mises dans des sacs. Aucune violence importante n’a été signalée par les expulsés avec qui nous avons pu parler. Mais plusieurs semblaient être en état de choc. Quelques personnes ont étés chargées de force dans les bus, littéralement portées par les policiers mais sans grande résistance.

Les étrangers seront renvoyés à la frontière. « Sous ordre du ministère de l’intérieur, on en a déjà fait 40 comme ça hier, madame » annonce fièrement un policier à Anne, du legal team, présente sur les lieux essayant d’intercéder en faveur des expulsés, de recueillir des informations utiles.
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Toulouse: T’iras plus « Chez Ta Mère » !

Une info du 26 octobre : Le squat « chez ta mère », c’est fini. Mardi 23 Octobre au matin, les C.R.S, avec beaucoup de zèle répressif comme l’on peut s’en douter, ont expulsé les habitants du squat « Chez Ta Mère » à Toulouse. Les tractopelles ont suivi pour démolir ce lieu où diverses personnes s’étaient impliquées dans l’organisation de concerts et autres soirées.

A noter que plusieurs squats demeurent en résistance dans la ville de Toulouse. Les menaces de la police vis-à-vis du Clandé, expulsable depuis plus d’un an, n’ont pas donné lieu à l’évacuationcrainte cette été. Le Laboratorio et l’Ostaleta sont aux dernières nouvelles toujours en vie.

Note : l’info concernant « chez ta mère » provient d’un e-zine à parution irrégulière : Urban Sprawl, qu’on peut se procurer en écrivant à usx91 [at] yahoo [point] com.

Montréal: La police expulse violemment des squatters

MONTREAL, 4 octobre 2001 – Des douzaines de policiers anti-émeutes ont violemment expulsés au moins 40 personnes qui squattaient depuis 2 mois à l’ancien centre de jeunesse du quartier Rosemont de l’est de montreal. On parle aussi de la participation de SWAT team, information non confirmée.

La police est arrivée sans avertissement après 8h du matin hier, est entrée de force dans le bâtiment et a forcée violemment les résidents à quitter. Beaucoup de squatters n’ont même pas pu prendre leurs effets personnels, y compris chaussures et habits. Arthur Sandborn-le président du syndicat CSN de la région de montréal et supporter du squat-rapporte qu’il a personnellement vu au moins une femme sortie nue par les policiers anti-émeute, avec une simple couverture comme protection.
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Grenoble: Expulsion du squat du 82 rue Nicolas Chorier

31 août 2001 – Grenoble

Tôt ce matin, le 82 de la rue Nicolas Chorier à Grenoble (France) a été expulsé des dernier-e-s habitant-e-s. Cette maison avait été ouverte l’hiver dernier et avait reçue son ordre d’expulsion en mai. Depuis quelques personnes logaient de temps à autre. Ce matin les CRS, les commissaires, et tout le bastringue sont venus pour murer la maison entièrement, voilà. Sont à la rue des personnes sans logement, et pour le futur une maison qui sera encore laissée à l’abandon pendant quelques mois, si ce n’est des années…

Pour info : retrouvez le nouvel email pour l’organisation de concerts sans profits sur grenoble : konchitasprod [at] caramail [point] com

Adresse postale du gato negro : gato negro, 12 avenue constantine (apt 5315), 38100 grenoble, francia

Toulouse : Première expulsion d’une série

Le mercredi 25 juillet, tôt le matin, le squat la Kasa Tchebourachka a été expulsé par une vingtaine de flics en civil et de CRS, accompagnés d’huissiers, de déménageurs et de démoliseurs. Vers 11 heures, les batisses ont été totalement détruites. Dans la même matinée, le Perfect (Chez ta mere), la Datcha et l’Obs ont recu la visite du commisaire en charge des expulsions en vue de préparer le terrain et de nous intimider. L’été risque donc d’être chaud a Toulouse, la prochaine victime devant être le Clandé, d’après la police. L’Ostaleta est le seul squat qui reste tranquile jusqu’a la fin septembre, ayant recu un délai supplémentaire de 2 mois (article 62 de la loi du 9 juillet 1991).

« Témoignage » d’ex-habitant-e-s de la Kasa, extrait de Sudac Syctom 13 #15, feuille d’info du squat de le 13° à Paris :

Ce matin, la Kasa Tchiébouratchka à toulouse s’est faite expulsée et rasée aussi sec ! Cette maison était occupée depuis presque 2 ans. La mairie est le propriétaire. C’était un lieu de vie et d’activité. Une dizaine de gens y habitait et faisait fonctionner plusieurs ateliers – gravure sur plâtre, sale de repète, couture, peinture, napier collé, métal soudur, jardin expérimental bio, garage mékanik ta mère… maintenant tout le monde a été viré (dont une copine avec un gros ventre !) et un nouveau terrain vague est né à Toulouse, encore un ! A chaque fois c’est pareil ! Ya 5 ans la Kremrie a été expulsée et rasée, la mairie était le proprio, elle prétextait une urgence et promettait une réhabilitation du lieu immédiate… et au jour d’aujourd’hui toujours rien ! Le terrain toujours vague ! Pour l’ekol expulsée/rasée ya 2 ans par l’OPAC c’est pareil et pour les Nains de jardin, la maison dans laquelle est née notre bébé, c’est la même histoire triste. Merdre !!! L’expulsion du Clandé est prévue pour demain et celles de « l’Obs » et « ché ta mèr » pour le mois prochain. Il faut que ça cesse !

1 EX.PULSION… 10 OccUPAXION !

des squatteureuses toulousain-e-s

Expulsion manquée d’un squat à Bruxelles

HERON CITY, MON AMOUR

Ce jeudi 14 juin vers 09h30 déjà une bonne quarantaine d’amis, de voisins, de sympathisants se rassemblent sur les trottoirs de la rue des Chevaliers, en face de la façade colorée du numéro 11. Au programme, expulsion des habitants et des ateliers de l’immeuble, propriété de Héron City. Le huissier avait prévenu, il viendrait déloger les squatteurs par la force. Les différentes tentatives de contact avec l’avocat du groupe anglais n’avait rien donné, et la Commune ne souhaitait pas intervenir devant une décision de la juge de paix.

Vers dix heures, des fourgons de la nouvelle police se parquent en haut et en bas de la rue, afin de régler la circulation. Ponctuels, le huissier M. De Cnop, son serrurier, quelques gardiens de la paix et un inconnu remontent la rue. Nous sommes une centaine pour les accueillir : cris, sifflements, quolibets et attention spéciale pour M. De Cnop qui, il faut le dire est déjà connu pour une expulsion avortée rue des Drapiers. Les journalistes se pressent tandis que l’on aperçoit quelques écolos, venus spécialement manifester leur soutien à l’Ilot Soleil, sourirent lorsque le huissier a la rigueur naïve de sonner à la porte. Malgré l’heure matinale, les habitants de la maison sont aux fenêtres du dernier étage et expliquent qu’ils ne comptent pas laisser la place au chancre : besoins d’habiter, de répéter, de danser, de jouer de la musique, de peindre, de se rencontrer, de vivre. Pas de blagues, ce lieu était à l’abandon, il resterait vide après l’expulsion. Certes pas de permis de bâtir ni de démolir, juste une politique de promoteur immobilier et un procès d’expulsion perdu.
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Bruxelles: Expulsion de L’ilôt Soleil

L’ilôt Soleil est une maison située 11, Rue des Chevaliers à 1050 Ixelles. Laissée à l’abandon pendant plusieurs années pour les bessoins spéculatifs d’Héron City, cette maison a été occupée par un collectifs d’artistes depuis Novembre 2000.

Cette maison, outre le fait qu’elle soit devenue un lieu de vie pour quinze personnes; elle est aussi un lieu de création, de répétitions pour différentes personnes et collectifs artistiques (Orange Kazoo, Amazonas, Compagnie de Fabien et Mateo, Théâtre des sens, théâtre Zéphir, Artiste Embassady People, lieu de répétition pour des étudiants de PARTS, de LASSADE, de l’Espace Catastrophe,… et bien d’autres encore). Des dizaines d’activités publiques ont fait revivre le lieu (Concerts, Soirée, Ateliers, rencontres, débats, tables-rondes,…) pour peu à peu tranformer ce chancre en « Ilôt Soleil ».

Dès le départ, de nombreuses tentatives de contacts ont été entamées avec Héron City pour que soit accordé une convention d’occupation. Celui-ci n’a jamais daigné répondre, si ce n’est il y a quelques semaines avec une menace d’expulsion. La commune d’Ixelles est intervenue pour pousser Héron City à se mettre à négocier, ce qu’il a toujours refusé!! Héron City a demandé l’expulsion pour Jeudi à 10h00 et la commune a l’air bien déterminé à y procéder alors qu’elle pourrait contraindre facilement Héron City à ne pas procéder à l’expulsion. Aucun permis de bâtir ne sera délivré avant Février 2002 à Héron City, si bien que son seul but est de laisser la maison vide pendant au moins 7 mois…. Un rassemblement est prévu à partir de 9h30 devant la maison pour protester contre l’expulsion… Read More