Montréal: La police expulse violemment des squatters

MONTREAL, 4 octobre 2001 – Des douzaines de policiers anti-émeutes ont violemment expulsés au moins 40 personnes qui squattaient depuis 2 mois à l’ancien centre de jeunesse du quartier Rosemont de l’est de montreal. On parle aussi de la participation de SWAT team, information non confirmée.

La police est arrivée sans avertissement après 8h du matin hier, est entrée de force dans le bâtiment et a forcée violemment les résidents à quitter. Beaucoup de squatters n’ont même pas pu prendre leurs effets personnels, y compris chaussures et habits. Arthur Sandborn-le président du syndicat CSN de la région de montréal et supporter du squat-rapporte qu’il a personnellement vu au moins une femme sortie nue par les policiers anti-émeute, avec une simple couverture comme protection.
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Grenoble: Expulsion du squat du 82 rue Nicolas Chorier

31 août 2001 – Grenoble

Tôt ce matin, le 82 de la rue Nicolas Chorier à Grenoble (France) a été expulsé des dernier-e-s habitant-e-s. Cette maison avait été ouverte l’hiver dernier et avait reçue son ordre d’expulsion en mai. Depuis quelques personnes logaient de temps à autre. Ce matin les CRS, les commissaires, et tout le bastringue sont venus pour murer la maison entièrement, voilà. Sont à la rue des personnes sans logement, et pour le futur une maison qui sera encore laissée à l’abandon pendant quelques mois, si ce n’est des années…

Pour info : retrouvez le nouvel email pour l’organisation de concerts sans profits sur grenoble : konchitasprod [at] caramail [point] com

Adresse postale du gato negro : gato negro, 12 avenue constantine (apt 5315), 38100 grenoble, francia

Toulouse : Première expulsion d’une série

Le mercredi 25 juillet, tôt le matin, le squat la Kasa Tchebourachka a été expulsé par une vingtaine de flics en civil et de CRS, accompagnés d’huissiers, de déménageurs et de démoliseurs. Vers 11 heures, les batisses ont été totalement détruites. Dans la même matinée, le Perfect (Chez ta mere), la Datcha et l’Obs ont recu la visite du commisaire en charge des expulsions en vue de préparer le terrain et de nous intimider. L’été risque donc d’être chaud a Toulouse, la prochaine victime devant être le Clandé, d’après la police. L’Ostaleta est le seul squat qui reste tranquile jusqu’a la fin septembre, ayant recu un délai supplémentaire de 2 mois (article 62 de la loi du 9 juillet 1991).

« Témoignage » d’ex-habitant-e-s de la Kasa, extrait de Sudac Syctom 13 #15, feuille d’info du squat de le 13° à Paris :

Ce matin, la Kasa Tchiébouratchka à toulouse s’est faite expulsée et rasée aussi sec ! Cette maison était occupée depuis presque 2 ans. La mairie est le propriétaire. C’était un lieu de vie et d’activité. Une dizaine de gens y habitait et faisait fonctionner plusieurs ateliers – gravure sur plâtre, sale de repète, couture, peinture, napier collé, métal soudur, jardin expérimental bio, garage mékanik ta mère… maintenant tout le monde a été viré (dont une copine avec un gros ventre !) et un nouveau terrain vague est né à Toulouse, encore un ! A chaque fois c’est pareil ! Ya 5 ans la Kremrie a été expulsée et rasée, la mairie était le proprio, elle prétextait une urgence et promettait une réhabilitation du lieu immédiate… et au jour d’aujourd’hui toujours rien ! Le terrain toujours vague ! Pour l’ekol expulsée/rasée ya 2 ans par l’OPAC c’est pareil et pour les Nains de jardin, la maison dans laquelle est née notre bébé, c’est la même histoire triste. Merdre !!! L’expulsion du Clandé est prévue pour demain et celles de « l’Obs » et « ché ta mèr » pour le mois prochain. Il faut que ça cesse !

1 EX.PULSION… 10 OccUPAXION !

des squatteureuses toulousain-e-s

Expulsion manquée d’un squat à Bruxelles

HERON CITY, MON AMOUR

Ce jeudi 14 juin vers 09h30 déjà une bonne quarantaine d’amis, de voisins, de sympathisants se rassemblent sur les trottoirs de la rue des Chevaliers, en face de la façade colorée du numéro 11. Au programme, expulsion des habitants et des ateliers de l’immeuble, propriété de Héron City. Le huissier avait prévenu, il viendrait déloger les squatteurs par la force. Les différentes tentatives de contact avec l’avocat du groupe anglais n’avait rien donné, et la Commune ne souhaitait pas intervenir devant une décision de la juge de paix.

Vers dix heures, des fourgons de la nouvelle police se parquent en haut et en bas de la rue, afin de régler la circulation. Ponctuels, le huissier M. De Cnop, son serrurier, quelques gardiens de la paix et un inconnu remontent la rue. Nous sommes une centaine pour les accueillir : cris, sifflements, quolibets et attention spéciale pour M. De Cnop qui, il faut le dire est déjà connu pour une expulsion avortée rue des Drapiers. Les journalistes se pressent tandis que l’on aperçoit quelques écolos, venus spécialement manifester leur soutien à l’Ilot Soleil, sourirent lorsque le huissier a la rigueur naïve de sonner à la porte. Malgré l’heure matinale, les habitants de la maison sont aux fenêtres du dernier étage et expliquent qu’ils ne comptent pas laisser la place au chancre : besoins d’habiter, de répéter, de danser, de jouer de la musique, de peindre, de se rencontrer, de vivre. Pas de blagues, ce lieu était à l’abandon, il resterait vide après l’expulsion. Certes pas de permis de bâtir ni de démolir, juste une politique de promoteur immobilier et un procès d’expulsion perdu.
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Bruxelles: Expulsion de L’ilôt Soleil

L’ilôt Soleil est une maison située 11, Rue des Chevaliers à 1050 Ixelles. Laissée à l’abandon pendant plusieurs années pour les bessoins spéculatifs d’Héron City, cette maison a été occupée par un collectifs d’artistes depuis Novembre 2000.

Cette maison, outre le fait qu’elle soit devenue un lieu de vie pour quinze personnes; elle est aussi un lieu de création, de répétitions pour différentes personnes et collectifs artistiques (Orange Kazoo, Amazonas, Compagnie de Fabien et Mateo, Théâtre des sens, théâtre Zéphir, Artiste Embassady People, lieu de répétition pour des étudiants de PARTS, de LASSADE, de l’Espace Catastrophe,… et bien d’autres encore). Des dizaines d’activités publiques ont fait revivre le lieu (Concerts, Soirée, Ateliers, rencontres, débats, tables-rondes,…) pour peu à peu tranformer ce chancre en « Ilôt Soleil ».

Dès le départ, de nombreuses tentatives de contacts ont été entamées avec Héron City pour que soit accordé une convention d’occupation. Celui-ci n’a jamais daigné répondre, si ce n’est il y a quelques semaines avec une menace d’expulsion. La commune d’Ixelles est intervenue pour pousser Héron City à se mettre à négocier, ce qu’il a toujours refusé!! Héron City a demandé l’expulsion pour Jeudi à 10h00 et la commune a l’air bien déterminé à y procéder alors qu’elle pourrait contraindre facilement Héron City à ne pas procéder à l’expulsion. Aucun permis de bâtir ne sera délivré avant Février 2002 à Héron City, si bien que son seul but est de laisser la maison vide pendant au moins 7 mois…. Un rassemblement est prévu à partir de 9h30 devant la maison pour protester contre l’expulsion… Read More

Londres: L’usine de boutons expulsée

MAI 2001

Une campagne de police contre les militants anti-capitalistes a commencé ce wee-kend et qui a balayé la communauté de squatters avec l’aide des huissiers et les propriétaires de l’immeuble. Ces derniers ont détruits partiellement l’usine de boutons, la redant inhabitable. Les machines mécaniques utilisées ont démoli une partie de l’immeuble. 200 (si vous lisez le Sunday Telegraph) ou 150 (si vous lisez le Sunday Times) officiers de police étaient impliqués dans cette action, même si l’immeuble était réputé pour être vides alors. Les agents du Metropolitan, de la ville, et du transport anglais (selon les informations de la BBC) ou un groupe spécial (si vous lisez le Sunday Times) ou les polices anti-émeutes (si vous lisez le Sunday telegraph) étaient impliqués dans la violence et dans la destruction de biens privés. “Nous sommes la Loi et nous pouvons détruire tout ce que vous aimez” disait un flic, encore transpirant de ces efforts. Read More

Bruxelles: Appel à la résistance

du 3 au 5…? juin se tiendront au 9 rue des Chevaliers (bruxelles, porte de namur louise) des baricades contre l’expulsion de l’Alzheimer espace autogéré.

contact jusque vendredi soir par mail:punk45 [at] caramail [point] com ou par tel au 03/29.80.10.70 demandez hugues le 3 au soir le poulalier se produira au squat.

VENEZ NOMBREUX POUR NOUS SOUTENIR!

TOUS ENSEMBLE NIKONS HERON CITY ET SES PROJET MEGALOMANES

Rennes: La Marmite expulsée, emmurée, emballé c’est pesé ?

Le mois de mars de l’an 01, alors qu’avec le festival des Résistances et des Alternatives, un vent de révolte soufflait sur Rennes, un carnaval en lutte donnait naissance à un espace autogéré sans droit ni titre ni prétention. L’objectif était d’y expérimenter des pistes d’alternatives concrètes à l’oppression spectaculaire marchande. Repas bio et végétariens journaliers dans un ambiance conviviale et non commerciale, ateliers de théâtre, de décoration, de lecture, projection vidéo, débats, fanzinothèque et expériences de vie diverses et variées y composaient le menu. Activités hautement criminelles, voire terroristes, tout le monde en conviendra, comme viennent de le faire les sbires en arme de l’establishment rennais. Aujourd’hui, 21 mai 2001, en début d’après-midi, les hommes en bleu ont débarqué en masse pour clouer le couvercle à la Marmite. En deux coups de cuillère à pot, un camion de déménagement, trois camions de CRS, une flanquée de motards et une entreprise de maçonnerie ont pris d’assaut la Marmite. Une fois la porte enfoncée, on a vu la Marmite se vider de sa substance et de son mobilier.

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Lyon: Expulsion du squat Casa Okupada

Juste une info rapide :

Ce matin, le squat de la CASA OKUPADA (rue Puits Gaillot à Lyon) a été expulsé. Nous avons pu sauver quelques affaires, heureusement il n’en restait plus trop. Pendant ce temps, les « déménageurs » ont chargé leur camion avec tous les trucs qu’on ne pouvait pas prendre (on a quand même pu en récupérer certains quand ils regardaient ailleurs…) et tout allait directement à la déchetterie !

Voilà, il n’y a pas grand chose à dire, c’est muré maintenant, les occupants s’étaient pour la plupart déjà occupés de trouver un nouveau logis.

Plus d’infos peut-être plus tard…

une squatteuse lyonnaise


Genève : maison de quartier « Chez Paquis » expulsée !

Genève baigne dans la paix sociale et pendant ce temps les squats et autres maisons de quartiers continuent de se faire expulser ! Depuis le mois de mars les évacuations ont commencé à tomber… La Toure, le chantier populaire (ou sera construit à la place une buvette et un jardin impressionniste), et la maison de quartier chez Paquis : une cinquantaine de personnes presentes lors de la venue des flics les a dissuadés d’expulser les occupantEs le jour prévu, mais ne les a pas empechés de revenir le lendemain a 6h du mat’ avec 3 camion d’anti-émeutes, de casser une fenêtre qui n’était pas barricadée pour pouvoir rentrer et d’arrêter les 24 derniers occupants (seulement 3 suisses dont deux ont passé 29 heures en garde-à-vue – bien sûr, tout le monde a eu le droit a un fichage complet : empreintes digitales, photos et interrogatoire…).

Le squat Rhino est aussi sur le point de se faire évaccuer ! La ville de Genève continue à balayer les occupations q’elle ne peut pas contrôler, mais la résistance s’organise !

En ce qui concerne les paquisards, ils ont occupé immédiatement un nouveau lieu (l’adresse sera difusée un peu plus tard).

La genevoirie du temps libre

Nancy: La répression anti-squat continue

La répression anti-squat va bon train en cette triste période de ménage pre-électoral. On expulse, on criminalise (délire sécuritaire d’actualité). A Nancy, c’est ni plus ni moins que 4 squats en 3 semaines qui ont été expulsés. Pour couronner le tout, comme si ça ne suffisait pas, 2 camarades ont été arrétés et condamnés à 2 mois de prison ferme pour la simple raison qu’ils avaient sur eux l’équivalent de 6 grammes de shit chacun, qu’ils étaient sans papiers et squatteurs. A l’heure actuelle, une procédure d’appel a été lancée mais n’a pas beaucoup de chance d’aboutir selon l’avocate (le procureur aurait aussi de son coté déjà fait appel) et nous pensons qu’avec l’affaire de Robert et Bouly, la justice bourgeoise va chercher à faire un exemple.
Dans cette affaire, la solidarité prime!
Robert et Bouly passeront en appel le 20 mars 2001 et risquent d’etre expulsés après le 22 mars. Robert encourt jusqu’à trois ans de prison dans son pays. Vous pouvez leur adresser un petit mot à l’adresse suivante : Baran Marcin et Macijowski Robert, 2, rue de l’Abbé Didelot, 54000 Nancy, France.
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Nancy : expulsions en série en janvier 2001

Au 3, rue de Mulhouse à Nancy (Lorraine), notre squat existait depuis un peu plus de 2 ans lorsque tout s’est écroulé en 3 jours. Voici un compte-rendu de ces 3 jours. A présent, les ex-habitant-e-s encore libres logent chez des ami-e-s par ci par là, mais ce n’est que provisoire. C’est le 3ième squat expulsé à Nancy en 2 semaines où logaient des polonais-es. Les élections approchent…

Mardi 23 janvier à 8h30 : descente de stups au squat
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Expulsion du Gazpacho à Barcelone

VITE FAIT SUR LE GAZ(PACHO)…

Ok, après trois mois d’occupation et une procédure judiciaire des plus véloces (la justice sait se bouger le ionf avec une étonnante célérité lorsque un gros paquet de pognac est en jeu…), la flicaille a fini par montrer son vilain gros nez au 3 placa sanllehy… Un tinma a 8h, un 28 février réveillé par des condés s’acharnant sur la porte, les premières minutes de ton réveil cadences par des boums, boums… …on monte sur le toit, aidés par la barricade qui ne cède toujours pas. Lassés par le bélier, les keufs se décident à taper de l’escalade et exploser la fenêtre de la cuisine… Ne se préoccupant même pas de la porte d’accès aux apparts, les deckx s’expliquent à coups de masses avec la verrière du rez-de-chaussée. Arrivés jusque dans la tour, les voici surpris de constater que les 12 occupants présents dans la baraque ce matin-là avaient pris leurs quartiers d’été sur le toit, attendant sereinement mais déterminés l’heure de la douche… Et puis ce fut plus de 6 heures de résistance… encerclés par les képis et les nuages, le soleil était bien présent mais le vent, en cette fin d’hiver, ne nous a pas épargnés… Profitant de ce climat peu chaleureux, Larlouche a cru qu’un arrosage répété au seau et jet d’eau nous seraient fatal, mais c’était sans compter sur notre détermination… Pendant que sur le toit les gazpachos supportaient menaces, quolibets, intimidations et chantages, au sol la solidarité s’organisait. Certains se réchauffaient les endosses auprès d’un feu allume dans le square, d’autres optaient pour une bonne séance de sport dans les rues avoisinantes à base de mini-barricade, de concours d’adresse dans le nickage de bagnoles de lardus et de vitrines de keuban, d’autres enfin réussirent depuis le toit d’un immeuble voisin à envoyer de la bouffe et de la flotte (mais à boire cette fois-là…) et même des k-way… tout ça nous aide à supporter les psychocops, les journaleux perchés dans tous les balcons aux alentours… en contact avec « l’extérieur » grâce à nos portables nous espérions (peut-être un peu crédules) un ultime recours de l’avocat concernant l’illégalité de l’expulsion (l’appel était en cours…)

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Nancy: La répression anti-squat s’accentue

Après 2 expulsions des plus douteuses la semaine dernière, la mairie s’en prend maintenant au 3, rue de Mulhouse (« maison occupée, maison enchantée »). Cette maison était habitée depuis plus de 2 ans par une dizaine de personnes (dont un certain nombre de Polonais en situation irrégulière) et n’avait depuis son ouverture quasiment jamais été inquiété par la flicaille ou par les huissiers. Le propriétaire (aujourd’hui décédé), bien connu sur Nancy pour détenir à lui seul plus d’une centaine de logements, n’a jamais donné le moindre signe de vie. Avant-hier matin donc, prétextant une suspicion de trafic de stupéfiants, plus d’une bonne vingtaine de flics envahissent la maison, sortent de leur lit plusieurs personnes sans même leur laisser le temps d’enfiler un pantalon, retournent tout le squat en prenant bien soin de casser, détériorer plein d’effets personnel, détruisent le système électrique (alors que les habitantEs étaient en régularité avec EDF), embarquent 11 personnes et envoyent tous les chiens à la SPA (une chienne s’est d’ailleurs pris un coup de matraque électrique pour avoir essayé de protéger ses petits). Tout cela sans que personne ne puisse réagir. Puis comme par hazard, des personnes de la mairie débarquent et nous annoncent qu’ils viendront murer la maison l’après midi sur décision de la veuve de l’ancien proprio. Ben voyons… Sur les 11 personnes interpellées, 9 seront relachées au compte-goutte sur les dernières 48 heures. Les 2 restantes doivent passer au tribunal aujourd’hui pour la détention ENORMISSIME de 12 gr de shit pour 2 personnes. Et dire que les flics se voyaient déjà démanteler une mafia polonaise sur Nancy ! Bref… nous sommes au moins rassurés de voir que les personnes interpellées ne risquent pas l’expulsion immédiate (certains risquent la prison dans leur pays).
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Grenoble : Expulsion et destruction du CPA

Bon, ben ça y’ est, on est dehors.

Les flics ont débarqué le 3 janvier vers 10h; 1h30 pour plier bagage, à peine de quoi prendre des fringues, les ordi, ect…

Sachant qu’ils empêchaient les gens venus nous soutenir de nous aider, et même de pénetrer dans les locaux. puis, vers 14h un bulldozer est venu péter les façades, défonçant les fenètres, toitures, planchers à coup de pelle, engloutissant le reste de nos affaires sous les gravats. la mairie, soi disant « en vacance » n’est pas intervenue le jour même, mais seulement le lendemain, nous exprimant son « désaccord » avec les méthodes employées par l’huissier des proprios et les forces de l’ordres. « mais bon, en squattant, faillait vous y attendre! ».depuis, ils nous ont proposé de négocier avec d’éventuels proprios à venir, pour freiner les friches industrielles. on est dehors, mais on est pas mort!!!
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