Grenoble: Un « droit de réponse » du squat La Charade au « Dauphiné libéré » suite à leur article du vendredi 4 octobre 2002

La municipalité a fait preuve d’une mauvaise foi flagrante déclarant à la presse que personne n’avait jamais proposé de projet pour le 90 avenue Ambroise Croizat. En effet plusieurs propositions pour investir le lieu ont déjà été faites mais ont été refusées par la Mairie. Elle persiste aujourd’hui encore en tentant de nous expulser alors que nous sommes déjà bien installé-e-s.

La Mairie préfère faire du profit en percevant les taxes professionnelles de nouveaux commerces plutôt que de laisser se développer des projets sociaux et culturels autonomes ouverts à l’ensemble de la population. C’est tout à fait dommage qu’un tel projet, qui reçoit déjà des échos positifs de la part du voisinage, soit stoppé ainsi et que les habitant-e-s se retrouvent à la rue. D’autant que l’argument d’insalubrité qu’évoque la mairie pour appuyer la procédure d’expulsion est faux. L’état général du lieu dément ce propos. Ce n’est pas surprenant étant donné que cet argument est utilisé à tort et à travers par la plupart des propriétaires comme prétexte pour expulser un squat.
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Dijon: Diffamation journalistique et communication de quartier

Ci-dessous, un tract rédigé suite à la parution d’un tissu de mensonges dans le journal dijonnais « Le Bien Public » qui en a désormais l’habitude. A noter que l’article est signé G.D., éminent partisan de la désinformation, ayant notamment fait ses armes avec l’intégrale des articles contre le squat de la rue Saumaise en 2000. Dédicace toute spéciale à ce cher ami.

A noter que cette « réponse » n’est qu’un prétexte pour communiquer avec les habitant-e-s des quartiers concernés (qui, contrairement à ce qu’avance l’article, ne sont pas majoritairement hostiles aux maisons occupées), et non la marque d’une volonté de « dialogue » avec le journal réactionnaire qu’est le Bien Public (ce qui serait peine perdue, bien entendu).

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Les squatteurs de Montréal sont en colère (presse mainstream)

[piqué à cyberpresse.ca]

LA MANIFESTATION SE SOLDE PAR UNE TRENTAINE D’ARRESTATIONS
Le vendredi 05 octobre 2001

Les squatteurs en colère
Silvia Galipeau
La Presse

C’est au rythme des « expulsons le maire Bourque », « squat un jour, squat toujours », et « so- so- société de malades! » que quelque 200 sympathisants des squatteurs sont venus exprimer leur grogne dans les rues de Montréal mercredi, une grogne qui s’est soldée par une trentaine d’arrestations.

Au lendemain de l’expulsion du centre Préfontaine, les squatteurs n’avaient pas le coeur à rire. La foule ressemblait à celle qui, deux mois plus tôt, avait envahi les rues de Montréal pour prendre possession du premier squat. Mais alors qu’à l’époque la marche s’était déroulée dans la bonne humeur et l’excitation d’une nouvelle vie qui commence, celle de mercredi sentait la rage à plein nez.
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La presse bave au Canada: « La police de Montréal refuse de chasser les squatters! »

BOURQUE SOUHAITAIT UNE INTERVENTION DES FORCES DE L’ORDRE
La police refuse de chasser les squatteurs
Par ÉRIC TROTTIER [La Presse]

Contrairement à ce que le maire Bourque laisse entendre depuis deux jours, la Ville a bel et bien demandé au Service de police de la CUM d’intervenir pour déloger la quarantaine de squatteurs du centre Préfontaine, dans l’est de Montréal. Mais la police a refusé parce qu’elle estime que les raisons invoquées par la Ville ne tiendraient pas devant un tribunal.

Voilà ce qu’a appris La Presse hier auprès de plusieurs sources tant à la police qu’à la Ville de Montréal. « Oui, la Ville a demandé à la police d’intervenir, a confié un membre de l’administration Bourque, qui a demandé à conserver l’anonymat. Mais le Service de police nous a répondu qu’il ne disposait pas des moyens légaux pour intervenir, parce que les squatteurs ont été invités par le maire à s’installer au centre Préfontaine. Le résultat, c’est que tout le monde attend maintenant un prétexte légal qui permettra d’évacuer le centre pour de bon. »

Selon nos informations, le Service de police avait décidé dès vendredi dernier, soit quatre jours avant l’échéance de l’ultimatum donné par le maire aux squatteurs, qu’il n’y aurait pas d’évacuation forcée des lieux.
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Pays-Bas: La guerre des squats aura bien lieu?

Pays-Bas: La guerre des squats aura bien lieu.

Depuis quelques mois, les relations entre les autorités et les tenants du mouvement alternatif se sont durcies. Après plusieurs évacuations musclées, l’attention se focalise autour de Vrankrijk, symbole de la contre-culture amstellodamienne.
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Paris sur squats (article de « Libération »)

Que faire des collectifs d’artistes qui occupent illégalement des immeubles vides?

Paris sur squats
Anne-Marie Fèvre (Libération) – mardi 19 décembre 2000

Fatigués de déménager tous les six mois, les artistes squatters installés dans des lieux à l’abandon réclament une intervention publique pour que des baux précaires leur soient consentis. Read More

Dijon: Article du « Monde » à propos de l’espace autogéré des Tanneries

Le squat des Tanneries pourrait être « régularisé »
Le Monde – 14 août 2000
Dijon – de notre correspondante

La mairie souhaitait expulser cet espace culturel alternatif visé par un arrêté municipal d’expulsion, le squat des Tanneries, à Dijon (Côte-d’Or), a obtenu en juillet un sursis de trois mois. Créé en 1998, cet espace culturel alternatif qui organise des spectacles et compte environ 300 membres espère pouvoir négocier avec la mairie une régularisation du lieu.

Depuis quelques jours, on ne chôme pas au squat des Tanneries, à Dijon (Côte-d’Or). Yann, Béatrice et les autres résidents de l’usine désaffectée du boulevard de Chicago, passent leurs journées truelles et perceuses à la main. Ils s’activent pour achever les travaux de mise en sécurité de la salle de concert, qui est la pièce maîtresse de « L’espace autogéré des Tanneries » qu’ils ont créé il y a un an et demi, en passant outre l’autorisation de la ville de Dijon, propriétaire des lieux.
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