Berne (Suisse) : Emeutes squatters vs police

A Berne (Suisse), un centre social occupé a été victime d’une attaque fasciste dans la nuit du 26 au 27 mai 2001. Une partie des locaux a été incendiée, causant pas mal de dégats. Par ailleurs, la municipalité a rompu le contrat qui autorisait les occupant-e-s à utiliser les lieux, et exige leur départ pour la fin du mois de juin. Une manifestation antifasciste et pro-squat a donc été organisée le 2 juin, et s’est terminée en émeute. 116 personnes ont été arrêtées.

Infos (en allemand) sur :
http://www.lorraine.ch/antifabern/
http://switzerland.indymedia.org/

Lu dans Libération du lundi 4 juin 2001 :

« Suisse : squatters en colère

De violents affrontements ont opposé dans la nuit de samedi à dimanche, à Berne, la police antiémeute à des groupes de squatters qui protestaient contre la réquisition d’un immeuble désaffecté leur servant de logement. D’importants dégâts matériels ont été causés par des cocktails Molotov et des jets de pierres, 116 personnes ont été arrêtées puis relâchées. »

Bruxelles: Expulsion de L’ilôt Soleil

L’ilôt Soleil est une maison située 11, Rue des Chevaliers à 1050 Ixelles. Laissée à l’abandon pendant plusieurs années pour les bessoins spéculatifs d’Héron City, cette maison a été occupée par un collectifs d’artistes depuis Novembre 2000.

Cette maison, outre le fait qu’elle soit devenue un lieu de vie pour quinze personnes; elle est aussi un lieu de création, de répétitions pour différentes personnes et collectifs artistiques (Orange Kazoo, Amazonas, Compagnie de Fabien et Mateo, Théâtre des sens, théâtre Zéphir, Artiste Embassady People, lieu de répétition pour des étudiants de PARTS, de LASSADE, de l’Espace Catastrophe,… et bien d’autres encore). Des dizaines d’activités publiques ont fait revivre le lieu (Concerts, Soirée, Ateliers, rencontres, débats, tables-rondes,…) pour peu à peu tranformer ce chancre en « Ilôt Soleil ».

Dès le départ, de nombreuses tentatives de contacts ont été entamées avec Héron City pour que soit accordé une convention d’occupation. Celui-ci n’a jamais daigné répondre, si ce n’est il y a quelques semaines avec une menace d’expulsion. La commune d’Ixelles est intervenue pour pousser Héron City à se mettre à négocier, ce qu’il a toujours refusé!! Héron City a demandé l’expulsion pour Jeudi à 10h00 et la commune a l’air bien déterminé à y procéder alors qu’elle pourrait contraindre facilement Héron City à ne pas procéder à l’expulsion. Aucun permis de bâtir ne sera délivré avant Février 2002 à Héron City, si bien que son seul but est de laisser la maison vide pendant au moins 7 mois…. Un rassemblement est prévu à partir de 9h30 devant la maison pour protester contre l’expulsion… Read More

Amsterdam : une année après l’ouverture de Leeuwenhoek…

Une année auparavant, le 9 avril 2000, le bâtiment du 4-7 Leeuwenhoekstraat était occupé par un groupe de jeunes qui, animés par un besoin de création et de se réunir, de se retrouver tous ensemble, étaient à la recherche d’un toit. Les locaux vides ont été réaménagés, transformés en un chez soi. Les plafonds étaient par exemple décorés avec les légumes et l’herbe du jardin, le rez-de-chaussée était devenu le premier CIA info-café. Un espace public, ouvert à tout le monde, offrait du thé gratuit et des repas appétissants pour quelques sous pendant que les personnes pouvaient lire des journaux souvent mis à l’écart par certains médias. Les discussions, les rencontres, l’entente mutuelle rendait ce squat très actif. Lorsque les bâtiments de Eerste Boerhavestraat et Swammerdamstraat étaient squattés peu de temps après, nous avons travaillé ensemble à construire une communauté autour de ces maisons en utilisant les champs inoccupés autour. Ils étaient ouverts à tous nos voisins en ayant des cinémas en plein air, un feu pour cuisiner et de la nourriture gratuite pour tout le monde. Tous ces immeubles étaient squattées prioritairement puisque c’étaient des logements sociaux. Les propriétaires, De Key Compagnie sont les représentants de la ville d’Amsterdam de ce que doit être un service social ; en fait, c’est un département de logements privatifs sur le marché. La ville, la police et De Key nous ont pris comme cible : il fallait immédiatement nous mettre dehors. Nous déplacer à coûté environ 600,000 guilders, juste assez pour construire de luxueux appartements à des prix inabordables. Le matin de notre expulsion, plusieurs des squatters se sont rendus devant les bureaux de De Key, en mettant des matelas dans la rue et demandant un entretien avec les responsables qui faisaient 60 personnes sans abri en un jour. L’excuse de cette compagnie était la suivante : les constructions devaient commencer immédiatement.
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Londres: L’usine de boutons expulsée

MAI 2001

Une campagne de police contre les militants anti-capitalistes a commencé ce wee-kend et qui a balayé la communauté de squatters avec l’aide des huissiers et les propriétaires de l’immeuble. Ces derniers ont détruits partiellement l’usine de boutons, la redant inhabitable. Les machines mécaniques utilisées ont démoli une partie de l’immeuble. 200 (si vous lisez le Sunday Telegraph) ou 150 (si vous lisez le Sunday Times) officiers de police étaient impliqués dans cette action, même si l’immeuble était réputé pour être vides alors. Les agents du Metropolitan, de la ville, et du transport anglais (selon les informations de la BBC) ou un groupe spécial (si vous lisez le Sunday Times) ou les polices anti-émeutes (si vous lisez le Sunday telegraph) étaient impliqués dans la violence et dans la destruction de biens privés. “Nous sommes la Loi et nous pouvons détruire tout ce que vous aimez” disait un flic, encore transpirant de ces efforts. Read More

Bruxelles: Appel à la résistance

du 3 au 5…? juin se tiendront au 9 rue des Chevaliers (bruxelles, porte de namur louise) des baricades contre l’expulsion de l’Alzheimer espace autogéré.

contact jusque vendredi soir par mail:punk45 [at] caramail [point] com ou par tel au 03/29.80.10.70 demandez hugues le 3 au soir le poulalier se produira au squat.

VENEZ NOMBREUX POUR NOUS SOUTENIR!

TOUS ENSEMBLE NIKONS HERON CITY ET SES PROJET MEGALOMANES

No pédé dans les squats anarkolibertaires

Le texte ci-dessous est extrait du fanzine anarchopédé francophone Bang Bang, que vous pouvez retrouver en ligne à l’adresse suivante : http://bangbang1969.free.fr

J’avais enfin réussi à sortir de mon placard bien sombre et triste de solitude… et j’étais toujours seul. Je soignais mon petit look d’autonome à tendance punky. Ça me donnait non seulement une certaine acceptation dans le milieu anarkoliberaire, mais c’était aussi l’extériorisation de mon parcours de politisation, produit de ma participation à une dynamique de groupe. Bien sûr les gens dans les squats que je fréquentais pendant tant d’années, étaient super sympas avec moi. Il fallait bien puisque j’étais leur pédé, ils étaient contents d’en avoir un. Ils étaient déjà au stade post-révolutionnaire où l’orientation sexuelle ne compte plus. Ben ouais, et moi, j’étais toujours seul. Je m’efforçais alors d’atteindre également ce même stade utopique, vainement. Il y avait de ces keums (ils se disaient « libérés ») qui, en état plus ou moins bourré, étaient gentils au point même de me laisser faire la chèvre devant leur teub mollement bandante. Mais j’y tenais quand même à ce milieu subversif qui était le mien. Je ne voulais pas du milieu gay. Associatif ou commercial, le milieu gay ne me parlait pas. Je savais que l’esprit de consommation des pédés de mon âge ne pouvait pas être la voie qui me permettrait, un jour ou peut-être une nuit, de m’approcher des étoiles que je rêvais tellement de toucher. Lutter pour des droits démocratistes, c’était hors de question. Ce n’était pas concevable de participer à une lutte intégrationniste forcément contra-révolutionnaire avec des pédés qui ne rêvaient pas de toucher les étoiles. J’étais bien mieux dans une quelconque cuisine de squat (hétéro) où les gens parlaient de leurs joies, de leurs tristesses, leurs rages et leurs rêves. Ça me parlait tellement. C’était mon milieux. C’est là-dedans que j’aurais voulu vivre des histoires d’amour, de Q et de tendresse. Quant au Q, j’étais bien content d’avoir deux parcs gais (sans trop de cas de violences homophobes) à ma disposition. Au moins du Q. Ce que je voulais au parc, c’était de la bite. Parfois, dans des cas bien trop rares, je rencontrais des gens sympas. Mais au bout d’un moment, ils finissaient par me gonfler régulièrement. Ils étaient, dans les meilleurs des cas, juste un peu moins inintéressants que les autres pédés de ma ville. Ils étaient pas anars, juste parfois un peu gauchistes, et ainsi des traitres à la Révolution. Fallait tout leur expliquer, ils ne comprenaient rien du tout et n’arrêtaient pas de me contredire. J’avais pas du tout envie d’expliquer aux pédés pourquoi j’étais un squatteur anarkolibertaire punkement enragé. En France, ce n’est pas la peine de chercher des punks pédés politisés, c’est une espèce soit inexistante, soit complètement placard entourée d’homophobes. Même Androzine n’a pas réussi à faire changer cette triste réalité. En Belgique, quelques punks pédés solitaires s’efforcent à gagner du terrain sans trop de succès. Faut alors se déplacer jusqu’à Berlin pour en trouver dans les quartiers de Kreuzberg et de Prenzlauer Berg. Il me reste à vous recommander deux sites sur le réseau : www.squat.net et www.gaypunk.de

Funky Punky Boy

 

Dijon : programme des Tanneries en mai/juin 2001

Voici le nouveau programme

de l’espace autogéré des Tanneries, à compléter avec celui des journées portes-ouvertes programmées fin-juin, et avec le nouveau 4-pages d’information, disponibles sur le site oueb maloka (http://chez.com/maloka).Egalement disponible sur le site, une version mise en forme de ce programme, au format PDF.

Infos Pratiques * Infos Ludiques * Infos Sympathiques

– Groupes de travaux

Ils existent ou sont en projet et il est bien sûr possible de s’y joindre… (nous tenons à votre disposition les contacts des divers groupes) : Programmation des activités publiques : réunions tous les mardis à 20 h au Local Libertaire
Local de répétitions musicales.
Echange de savoir : projets d’université populaire, d’échanges de savoir pratiques et théoriques, de week-ends consacrés à des colloques à thèmes, d’ateliers réguliers de sonorisation, d’informatique et plein d’autres choses…
Archives : constitution de banques de données sur les mouvements alternatifs et libertaires locaux et nationaux…
Bibliothèque.
Photo : labo photo, projets thématiques…

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Dijon: Les Tanneries de février 1998 à mai 2001 – bilan provisoire et perspectives

Ci-dessous, un texte distribué sous la forme d’un 4-pages par l’espace autogéré des Tanneries, faisant le point sur presque 3 ans de projets, d’activités et d’experiences, ainsi que sur les objectifs que se donnent celles et ceux qui l’animent. Note : Une version mise en forme de ce document est disponible au format PDF sur le site oueb de maloka (http://chez.com/maloka).

L’espace autogéré des Tanneries
Un centre alternatif de vie et d’activité politique, sociale et culturelle à Dijon

De février 1998 à mai 2001 – bilan provisoire et perspectives

« La nécessité nourrit l’ingéniosité »… et la combativité !

« Un espace collectif en opposition aux rapports de profit, de pouvoir et de consommation. Un espace d’expérimentation qui ne se contente pas d’être en réaction au système dominant, mais se veut un lieu de création et de mise en pratique. »

Les Tanneries vivent depuis un moment déjà. Il nous a semblé qu’il était temps de faire un bilan de la situation, en commençant par une petite présentation du projet et de sa situation actuelle. Ce texte est donc certainement un peu long et lourd. Néanmoins, si les Tanneries vous questionnent, il vaut peut-être le coup d’être parcouru…

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Rennes: La Marmite expulsée, emmurée, emballé c’est pesé ?

Le mois de mars de l’an 01, alors qu’avec le festival des Résistances et des Alternatives, un vent de révolte soufflait sur Rennes, un carnaval en lutte donnait naissance à un espace autogéré sans droit ni titre ni prétention. L’objectif était d’y expérimenter des pistes d’alternatives concrètes à l’oppression spectaculaire marchande. Repas bio et végétariens journaliers dans un ambiance conviviale et non commerciale, ateliers de théâtre, de décoration, de lecture, projection vidéo, débats, fanzinothèque et expériences de vie diverses et variées y composaient le menu. Activités hautement criminelles, voire terroristes, tout le monde en conviendra, comme viennent de le faire les sbires en arme de l’establishment rennais. Aujourd’hui, 21 mai 2001, en début d’après-midi, les hommes en bleu ont débarqué en masse pour clouer le couvercle à la Marmite. En deux coups de cuillère à pot, un camion de déménagement, trois camions de CRS, une flanquée de motards et une entreprise de maçonnerie ont pris d’assaut la Marmite. Une fois la porte enfoncée, on a vu la Marmite se vider de sa substance et de son mobilier.

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Dijon: Nouveau programme de la Courdémone, squat féministe

La Courdémone
15, cours du Parc
21000 Dijon, Fr
Tél.: +33-3-80362810
face à la piscine
bus ligne #1

Programme d’activités – mai/juin 2001

La Courdémone, c’est quoi ?

La maison du 15, cours du Parc était laissée à l’abandon depuis plus de 15 ans. Ouverte depuis le 21 septembre, la Courdémone est un lieu collectif, autogéré par des femmes avec des activités mixtes ou seulement entre femmes. Le projet a pour but de promouvoir la création et l’expression politique, culturelle et artistique de femmes, ainsi nous revendiquons un espace féministe de discussion et d’échange. La dynamique du projet porte surtout sur une envie d’autonomie par rapport au système de domination des hommes sur les femmes et une solidarité entre femmes. Le collectif de la Courdémone englobe le groupe féministe, des individues et les habitantes. Le lieu est à disposition des femmes désirant contribuer à la dynamique du projet et le faire avancer (atelier, expos, échanges de savoir…). Malgré les menaces d’expulsion pour la mi-juillet, nous entendons mener à bien ce projet.
La Courdémone participe aussi à l’intersquat dijonnaise avec les Tanneries et le Pamplemousse.
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Dijon: Nouvelles journées portes-ouvertes aux Tanneries

Ci-dessous, le programme des prochaines journées porte-ouvertes programmées à l’espace autogéré des Tanneries de Dijon les 22, 23 et 24 juin 2001 prochains. L’affiche ainsi que plus d’informations sont disponibles sur le site oueb de maloka (http://www.chez.com/maloka).

Journées portes-ouvertes aux Tanneries 22, 23 et 24 juin 2001

Venez et participez !

Espace autogéré des Tanneries
13-15-17, bd de Chicago, Dijon
Bus n°2 : arrêt Coty ou Champeaux
03 80 66 64 81 – tanneries [at] free [point] fr<br> http://www.chez.com/maloka/<br>
Note : l’Espace autogéré des Tanneries est impliqué dans l’initiative d’action et de solidarité Intersquat Dijon, à laquelle participent notamment les squats Pamplemousse et Courdémone.

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Le Klub Radikal (Belgium’s queer anarchist meeting-point)

L’article qui suit est tiré du fanzine anarcho-pédé Bang-bang, que vous pouvez retrouver en ligne à l’adresse suivante : http://bangbang1969.free.fr

Nous avons l’honneur de vous annoncer la naissance d’un nouveau bar dans un nouveau squat. “Chez Mémé” (c’est son nom) est un espace collectif avec possiblités de concerts et de fêtes : aRtcOre, kRusT, eLecTro, etc. (entre autres…) + spectacles en tous genres, scène ouverte à des petits groupes débutants, organisation de soirées, impros musicales et tables d’ondes… Tous les mercredi, un bar KluB RADIKAL a déjà envahi les caves du squat, à partir de 18 heures chaque semaine : homos, bi, trans, travestis, punks, queer, dragking, mutantes, extraterestres, mignons, imberbes, jolies, petites sirènes, degénérées, tata caniche, etc. Plusieurs autres idées ont déjà été lancées (resto, petit dèj, table ronde, ditribution de fanzines…)
Tout est possible mais effectivement, nous manqueons d’effectifs et donc nous appelons à votre soutiens pour que ce lieu vive !
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Des nouvelles de Toulouse

Le mois de Mars revient avec sa cohorte d’expulsions, l’Obs, Léo Lagrange, le Clandé, la Préfecture, la Datcha, la Kasa pour ne citer qu’eux, autant de lieux autant de projets condamnés.
C’est toujours la même logique qui prévaut propriété privée contre porjet des habitantEs. Point barre, on n’en peut plus à quelques uns, quelques unes, squatteureuses et soutien, nous rêvons d’une abolition de la propriété, d’une fin des expulsions et la démission de Georges W. Bush.
Pour promouvoir nos idées, pour se rencontrer, nous sommes déjà d’accord pour une fête le 10 et 11 Mars et une manifestation le 18 Mars.
Si toi et ton collectif êtes interéssés, si tu veux nous rejoindre sans chef, sans parti et sans mari nous sommes ouverts à toutes propositions, à toutes conspirations.

Infoline 0562722261

des squatteurs et squatteuses toulousain-e-s


Lille: Chronique d’un squat, le 160

De l’autre coté du périf…

Une nouvelle maison a été ouverte depuis milieu janvier par un groupe d’individuEs se réclamants des SquatteureusEs lilloisEs. Une nouvelle occupation, une nouvelle expérience qui fait la nique aux proprios, aux spéculateurs, à l’Etat qui tendent de faire de nous de la chair à travailler. Espérons qu’elle durera le plus longtemps possible. En tous cas, on se battra pour ça…

Quelques nouvelles du 160…

Mardi 6 fév. 2001, la proprio de la maison ouverte mi-janvier constate l’occupation. Elle était accompagnés d’ouvriers bien zélés, sans doute dégoûtés de voir leur boulot impossible à accomplir. La police arrive et donne raison aux squatteurs quant à la néccessité d’une procédure d’expulsion. Un des occupantEs se fera quand même embarquer pour port d’armes (un couteau pour bouffer et une pince-outil Laetherman…), il faut bien essayer de rentabiliser un déplacement de plus d’une dizaine de keufs.
Deux jours plus tard, une assignation au Tribunal de Grande Instance nous parvient aux noms des trois personnes contrôlées quelques jours plus tôt, dont 2 n’habitent pas au 160.
Nous voici convoqués le mardi 13 fév. et ce que demande l’avocat de la proprio est complètement démesuré :
– l’expulsion
– 10000 francs de réparation par jours d’occupation entre la décision de justice et l’expulsion
– le recours aux force de l’ordre
Bref, il ne doit pas avoir l’habitude de ce genre de dossier. En tout cas, nous y sommes allés et il n’était pas là, sentant sans doute venir la demande de report que nous demandons pour pouvoir monter nos dossiers d’aide juridictionelle. Si ce n’est là, ce sera donc AILLEURS, toujours à Moulins et dans quelques temps, à suivre…

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Grenoble: CPA2 en mai

Le CPA (ou Centre Presk Autogéré) est un collectif de squatteureuses qui occupe des lieux vides, les habite, tente de les animer d’activités artistiques, sociales, culturelles, de les ouvrir à ceux/celles qui ont des projets et manquent d’espace, de les tourner verrs le quartier, d’y pratiquer de belles idées (autogestion, récup, échanges non-marchands…), bref, qui les vit follement, dans la joie et la bonne humeur, sauf quand on lui rappelle qu’il doit quitter les lieux en juillet.

Programme pour le mois de mai :

le 05 – DO SIENA AFRICA
CINEMA CONTES DANSE
16h projection cinématographique
20h contes africains par Vaber Douhouré
suivi de l’ensemble Khiva (percus)
PAF: Ciné 15 – Spectacles 25 – 30 les deux
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