Dijon: Pour une ouverture prochaine d’un squat de girrrrrls!

> Bonjour a toutes !! > Plusieurs filles (dont je fais partie) du groupe > féministe non-mixte de > Dijon ont decidé d’ouvrir un squat de girrrrrls; Le > lieu serait habité > et autogeré par des femmes. Nous projetons > différentes activités : > chorale, bibliothèque feministe, débats, bourse au > vêtements et plus > encore. Le lieu ne serait pas non-mixte totalement > car nous voulons > ouvrir nos portes de temps à autres aux hommes. > Donc on lance un appel pour savoir si des filles > seraient motivées pour > ouvrir avec nous, rester un peu (1 jour, 1 mois ou > plus si…). Pour le > moment le projet n’est sûr qu’à 75% dans la mesure > où nous ne sommes que > 2/3 a vouloir y habiter (bien que le reste des > filles du groupe nous > suive sans problème) et cela ne fait pas beucoup, > donc si tu es prête à > quitter quelques temps ta ville et tout et tout, > cela serait chouette > car ouvrir et faire vivre des lieux pour construire > des projets entre > filles, de surcroit féministe c’est pas facile > facile… Si le projet te > plait et si tu as envie de venir a dijon, n’hésites > pas une seule > seconde: nous avons besoin de toi !!!!!!!!!!! Et > passe l’info a d’autrEs > si tu veux/peux… > Voilà, tu peux nous contacter à <maloka [at] chez [point] com> ou > par courrier à: > Groupe Feministe c/o Maloka, BP 536, 21014 Dijon > cedex. > > A tres bientot……!!!!!!!!!!!!!!!!! > >

Lausanne: L’espace autogéré de Prelaz a été bullodozé

L’espace autogéré de Prelaz a été expulsé samedi dernier, le 5 août 2000.

Toute notre solidarié avec les OccupanTes …

Quelques infos de Lausanne:

Salut le centre autogéré vient de tomber au bulldozers et a l’indifference ou plutot l’impuissance générale de remettre en cause les 40 logements sociaux (qui vont être construit sur la partie du terrain vide , dans on ne sait combien de temps).

L’espace autogéré de Prelaz à Lausanne existe depuis 5 ans et va être bullodozé pour remplacer un batiment du 19em et des hangars ateliers, salle de concert, bar, jardin publique , skatepark et wagenburg par un supermarché….oui oui …faut croire qu’avec le garage en face on avait pas un quartier assez morne…..
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Dijon: L’Espace autogéré des Tanneries va faire un festival…

L’Espace autogéré des Tanneries, c’est un centre social et culturel alternatif, né il y a 2 ans de l’occupation de locaux laissés à l’abandon par la Mairie de Dijon. Des centaines de spectacles, actions et ateliers s’y sont développés, hors de toute contrainte commerciale et dans le refus des logiques de rentabilité comme de toute discrimination (racisme, sexisme, etc.)

Mais les Tanneries dérangent : en juin 2000, alors que des travaux de mise au normes touchent à leur fin et qu’un accord avec la mairie est sur le point d’être signé (faisant suite à un an et demi de lutte pour l’obtenir) un incendie criminel détruit la partie habitation. Pour conserver la partie publique épargnée par les flammes, les occupant-e-s ouvrent une nouvelle maison dans les locaux adjacents. Mais la mairie, propriétaire, semble avoir enfin trouvé avec le feu le prétexte qu’elle cherchait depuis longtemps pour expulser le lieu. A nos initiatives, la mairie ne répond que par mensonges, répression et menaces, refus de dialogue et procédure d’expulsion (passage au tribunal le 18 juillet à 9h à la cité judiciaire de Dijon, bd. Clemenceau – venez y nombreux-ses, un rassemblement de soutien y sera organisé !). La mairie préfère nous voir aux Tanneries qu’au centre ville, mais préfèrerait que nous ne soyons plus nulle part. Elle veut se débarrasser des initiatives qui échappent à son contrôle, en nous expulsant de notre lieu de vie et d’activités. Outre que cela nous ennuirait beaucoup, ce serait décidemment faire trop plaisir à la mairie. Nous sommes déterminé-e-s à ne lui laisser aucun répit et à l’empêcher de dormir sur ses deux oreilles. Et comme c’est de résister qu’il s’agit, nous occupons toujours les Tanneries, et allons occuper la rue aussi (comme ca, nous serons partout à la fois !)
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Dijon: Expulsion du Chevreul

A Dijon, la mairie expulse, encore et toujours !

Les occupant-e-s du squat situé 11, rue Chevreul ont quitté les lieux lundi 10 juillet 2000, suite aux multiples pressions et menaces qu’ils/elles subissaient de la part de la mairie, propriétaire. Dès le début de l’occupation, il leur avait été impossible d’avoir accès au gaz et à l’électricité, la mairie bloquant toute démarche à ce niveau. La mairie avait également fait pression sur l’Université de Bourgogne, pour qu’une habitante du squat ne puisse passer ses examens si elle restait dans le lieu ! A ces moyens de pression scandaleux s’ajoute la décision du tribunal d’expulser la maison (au terme d’un misérable délai de quinze jours) coute que coute, en condamnant les habitant-e-s à 100 francs d’amende par jour s’ils leur venait la mauvaise idée de rester et résister. En un peu plus de 3 mois d’existence, le squat du 11 rue Chevreul a été un lieu de vie pour plusieurs personnes mais aussi de rencontres et de débats, puisqu’un café-discussion hebdomadaire y a été organisé. Suite à la parodie de procès qui décida de leur expulsion (celui-ci ayant été expédié en 5 minutes dans le bureau du juge en l’abscence des squatteurs et squatteuses), les habitant-e-s ont fait appel auprès du juge d’éxécution. Néamoins, la mairie a fait murer les accès à la maison le lendemain du départ des occupant-e-s, allant contre ses engagements de laisser le lieu en état, dans l’attente du résultat de l’appel.
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[Dijon] Communiqué du défunt squat du 3 rue Saumaise – L’illusion réformiste ?

L’ILLUSION REFORMISTE ?

Dans l’article « Squats : lutter ou se légaliser ? » de la revue Cette Semaine #80 (mai-juin 2000) [ça avait aussi été diffusé sur a-infos-fr le 28 mai 2000], il est question du défunt squat du 3, rue Saumaise, à Dijon. Entre le 10 octobre 1999 et le 4 avril 2000, ce squat aura vécu de grands moments, des hauts et des bas, une expérience mémorable pour plusieurs d’entre nous. Cette expérience est réduite en quelques lignes peu représentatives dans l’article précité. Il est question de « dérives » (pas au sens situationniste du terme, mais de glissement d’un radicalisme vers un réformisme qui serait propre aux squats de Dijon – ??? -), de respect du code de procédure pénale et de pacifisme, le tout regroupé dans une « illusion réformiste »… Read More

Dijon: Communiqué de presse au sujet de l’incendie criminel de l’Espace autogéré des Tanneries

Avant-hier (17/06/00), l’espace autogéré des Tanneries a partiellement été détruit par un incendie manifestement criminel. Vous trouverez plus bas le communiqué de presse envoyé avant-hier aux médias locaux en guise d’explication. La partie « publique » des Tanneries ayant été totalement épargnée par les flammes, nous entendons nous mobiliser pour la garder et y continuer des activités. La mairie n’ayant jamais vu d’un bon oeil notre présence dans les lieux, elle n’a pu que se réjouir de ce qui est arrivé, et essaie dors et déjà d’utiliser ce prétexte pour nous expulser de la partie intacte que nous occupons toujours. La mairie nous a demandé de quitter les lieux hier soir (18/06/00) à 20h en prétextant que ni la grande salle de spectacle ni le couloir extérieur n’était fiables au niveau de la sécurité, ce qui est totalement faux (les fondations des différents bâtiments n’étant pas les mêmes). Voyant ça comme une tentative d’expulsion sournoise, nous avons refusé de quitter les lieux, contacté un maximum de gens et les médias, et appelons tou-te-s ceux et celles qui le pourraient à nous y rejoindre (L’espace autogéré des Tanneries, 15 bld de Chicago, Dijon), pour empêcher notre expulsion. Nous attendons par ailleurs le passage d’une commission de sécurité, seule habilitée à rendre un avis définitif sur l’état des lieux (par rapport aux normes de sécurité en vigueur).
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Lille: Contre les expulsions de squats!

Contre les expulsions de squatt! Contre la criminalisation du mouvement social!
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Dijon: Incendie aux Tanneries et menace d’expulsion

Lundi 19 juin 2000 – 00:18

Avant-hier (17/06/00), l’espace autogéré des Tanneries a partiellement été détruit par un incendie manifestement criminel. Vous trouverez plus bas le communiqué de presse envoyé avant-hier aux médias locaux en guise d’explication. La partie « publique » des Tanneries ayant été totalement épargnée par les flammes, nous entendons nous mobiliser pour la garder et y continuer des activités. La mairie n’ayant jamais vu d’un bon oeil notre présence dans les lieux, elle n’a pu que se réjouir de ce qui est arrivé, et essaie dors et déjà d’utiliser ce prétexte pour nous expulser de la partie intacte que nous occupons toujours. La mairie nous a demandé de quitter les lieux hier soir (18/06/00) à 20h en prétextant que ni la grande salle de spectacle ni le couloir extérieur n’était fiables au niveau de la sécurité, ce qui est totalement faux (les fondations des différents bâtiments n’étant pas les mêmes). Voyant ça comme une tentative d’expulsion sournoise, nous avons refusé de quitter les lieux, contacté un maximum de gens et les médias, et appelons tou-te-s ceux et celles qui le pourraient à nous y rejoindre (L’espace autogéré des Tanneries, 15 bld de Chicago, Dijon), pour empêcher notre expulsion. Nous attendons par ailleurs le passage d’une commission de sécurité, seule habilitée à rendre un avis définitif sur l’état des lieux (par rapport aux normes de sécurité en vigueur).

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Squats: lutter ou se légaliser

Article sur les tentatives de légalisation des squats en France, paru dans « Cette Semaine » n°80 – mai/juin 2000 (BP 275 – 54005 Nancy cedex):

SQUATS : LUTTER OU SE LÉGALISER ?

Alors que des squats continuent de se faire expulser, refusant tout compromis avec l’Etat ou les propriétaires, luttant plutôt par le biais de liens avec le quartier et de barricadages, réinvestissent même parfois les lieux après expulsion (comme ce fut le cas du squat Dada aux Lilas), d’autres croient avoir trouvé la solution en réclamant leur légalisation. Si beaucoup se définissent comme «artistiques», ce n’est pas toujours le cas. Certains squats que nous avons fréquenté prennent le même chemin…
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Marseille: ouverture de l’Huilerie occupée

Bonjour, un petit mail pour vous informer de l’ouverture d’un squat à marseille. Effectivement depuis le 17/02/2000 nous occupons les locaux d’une ancienne huilerie située au 15 bd de Montricher.

Faire l’expérience de la resistance collective, être libres et solidaires, partager nos savoirs et savoir faire, agir à plusieurs: voilà notre projet.

On experimente, on prend du temps, on cause dur…
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Paris-banlieue: Des expulsions…

Des vraies communes pour les pauvres…
… Des fosses communes pour les riches

Le squat Dada, au 61 avenue Pasteur (les Lilas) était occupé depuis 7 mois. Les habitants de ce lieu, participaient à la vie du quartier par des repas, des concerts, des pièces de théâtre, de façon autogérée et non-marchande. Evidemment, cela déplaisait au Maire, qui, sous prétexte de « trouble à l’ordre public », a ordonné l’expulsion de force qui fut effectuée le 13 avril. Le samedi 15 avril a eu lieu une réoccupation du squat. Le but de ceux et celles qui ont participé à cette réouverture était double : nous voulions maintenir une série de concerts prévus de longue date mais aussi montrer à la Mairie des Lilas que virer les pauvres au petit matin pour pouvoir continuer à spéculer sur des immeubles vides, n’est pas toujours une partie de plaisir. Read More

Dijon: Manif anticapitaliste et journées « portes ouvertes » à l’Espace autogéré des Tanneries

Les Tanneries sont un lieu d’expérimentation sociale, politique et culturelle. Un lieu d’expression et de création libres, animé chaque semaine par des ateliers et spectacles variés. Ce projet est né en octobre 1998 à Dijon de l’occupation d’une propriété laissée à l’abandon. Vendredi 28, samedi 29 et dimanche 30 Avril auront lieu les troisièmes « journées portes-ouvertes » de l’Espace autogéré des Tanneries, en soutien aux travaux de sécurité mis en place. Ces journées sont l’occasion de venir (re)découvrir cet espace et ses habitant-e-s, d’assister et de participer à des concerts, débats, performances théâtrales et graphiques, ainsi qu’à une joyeuse manifestation anticapitaliste…

Globalisation économique, guerres, pouvoir, fascisme, sexisme, destruction de l’environnement, contrôle social, travail, consommation, passivité, exploitation des pays du sud, fermeture des frontières?

Il est temps de réagir ! Venez participer à la journée mondiale d’action anticapitaliste!
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Paris: Gauche poubelle, expulsions plurielles

Le texte ci-dessous a été distribué par des précaires en colère le 31 mars à la mairie du 20e arrondissement de Paris (les vigiles puis quelques pauvres flics nous en on ensuite sortis). Cette date marque notamment la fin de la trève relative d’hiver concernant les expulsions de logements (dont les squats). D’ailleurs, le 14 avril le squat Dada (ouvert depuis 7 mois) situé aux Lilas 61 avenue Pasteur et le 16 avril le squat du 22 passage des Tourelles (20e arrondissement) se sont fait expulser. Le 15, les occupants de ces deux lieux et d’autres avaient réoccupés après avoir chassé les vigiles le squat Dada avant de lâcher prise sous la pression policière et la fuite d’une partie des gens venus assister aux concerts punk prévus dans le lieu avant sa première expulsion. Bilan de ce week-end : une vingtaine d’interpellations, des garde-à-vue jusqu’à 36 heures et 3 personnes qui passent en procès le 28 septembre. La suite dans quelques jours. Read More

Dijon: ouverture d’un nouveau squat, rue Chevreul

A Dijon, apres la vague de repression policiere et mediatique de ces dernieres semaines envers les squats et l’expulsion du 3, rue Saumaise, un nouveau squat a ete ouvert au 11, rue Chevreul, il y a quelques jours. Ce matin, un tract expliquant la demarche des occupant-e-s a ete distribue aux habitant-e-s du quartier…

Ci-joint le tract en question…

Une maison vide, ça sert a qui ?

La maison du 11, rue Chevreul est inoccupee depuis quelques annees. Un lieu vide dont personne ne se sert n’est forcement d’aucune utilite. Par notre demarche, nous prenons l’initiative d’occuper ce lieu et de le definir comme squatt.

Par le fait de squatter, nous entendons creer des alternatives sociales en realisant notre projet de vie collective et associative.
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Dijon: Le Saumaise expulsé !

UNE EXPULSION = PLEIN D’OUVERTURES

En ce petit matin gris du 5 avril 2000, le squat anarchiste (houlala, tremblez !) du 3, rue Saumaise, à Dijon, a été expulsé par une centaine de flics.

CETTE EXPULSION, COMME TOUTES LES EXPULSIONS, NOUS REVOLTE.

Les garants de l’ordre social voudraient nous voir pourrir dans des foyers miteux ou des logements précaires, ils voudraient pouvoir nous intégrer à leurs valeurs pour mieux nous désintégrer. Mais ils peuvent expulser nos maisons tant qu’ils voudront, jamais ils n’anéantiront nos idées. Plus la répression s’abattra sur nous, plus nous serons présent-e-s et actives/actifs.

Alors merci aux habitant-e-s du quartier et autres personnes qui se sont montré-e-s solidaires, et à très bientôt pour de nouvelles aventures !
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