St-Brieuc: Le Wagon expulsé avant l’heure !

SOUTIEN URGENT AU WAGON

Salut,
Pour une expulsion prévue initialement au 31 octobre 2004, ce matin (15 octobre 2004) à 7h05 les flics ont débarqué en force au Wagon et ce midi les lieux sont vidés, rasés dans la foulée et chacunE récupère ce qu’il peut ! Read More

Amsterdam: expulsion de ASCII, cybercafé squatté autogéré

Ce 12 octobre [2004], le local squatté par ASCII à Amsterdam a été expulsé par la police, après un an et demi d’occupation. Le collectif y proposait quotidiennement un accès gratuit à Internet, ainsi que des ateliers d’initiation et autres échanges de savoirs informatiques réguliers. Read More

Lille: Expulsion à Moulins

  Lille: Expulsion à Moulins


13 octobre 2004 LILLE -EXPULSION À MOULINS

Le 87 boulevard de Strasbourg a été vidé…

… le 87 pour celles et ceux qui s’en souviennent ce fut le lieu d’une grêve de la faim très dure dans le courant des mois d’avril-mai 2004…

Le 87 c’est un immeuble délabré ou des personnes (en grande partie sans papier-e-s vivent…).

Cet après-midi les forces de l’ordres ont bloqué tout le boulevard et s’étaient mobilisées en forces… Une petite centaine d’hommes pour faire un cordon autour de la maison… Les grand moyens ont été sortis: gilet parre-balle, bouclier, ils avaient même emmené les barrières anti-émeutes !! De quoi avaient-ils peur, de charges à coups de poucettes ???

Très rapidement, avant l’arrivée des soutiens le batiment était vidé… Direction des lieux d’hébergement, où ??? On sait juste que tous ceux de la métropole sont plein… Bref, ce que redoutait le plus les habitant-e-s eu lieu… La dispersion des individu-e-s, donc des forces… pour pas forcément un logement meilleur…

Et puis on se souvient de cette histoire, de la lâcheté et de l’incompétence du DAL, de l’accord pourri que le DAL leur avait fait signer… et puis aujourd’hui il n’y avait plus rien, queu – DAL.

Voir aussi http://nice.indymedia.org/article.php3?id_article=7173

Anonyme


Barcelone: Procès, expulsions et ouvertures

Alors pour démarrer, le festival D-Form qui devait se dérouler les 1, 2 et 3 octobre a été expulsé avant de commencer. Il s’agissait d’un festival sur le thème de l’autogestion de la culture alternative. Quelques 100 policiers se sont mobilisés pour vider le campement le jour même de l’ouverture du festival.

Le Pati Blau, squat de Cornella, 6 ans de vie, a reçu un ordre d’expulsion pour le 21 octobre. L’assemblée des squatteureuses de Cornella appellent a la résistance par tous les moyens nécessaires.

L’Hortet de Santa Eulalia a affronté une première date d’expulsion et attend la nouvelle.

Miles de Vivienda attend son expulsion pour la semaine qui vient apres l’expulsion du nouveau Miles il y a deux semaines. Le collectif est encore sous le choc.

La Casa nostra attend la réponse du recours contre l’ordre d’expulsion fixé au 18 octobre mais les habitantEs ont déjà occupé un nouvel édifice dans la rue Napols et qui s’appelle dorénavant la Camora.

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Zürich: EXIL expulsé, premières impressions

  Zürich: EXIL expulsé, premières impressions


Trouvé sur Indymedia Suisse
( http://www.indymedia.ch/fr/2004/09/26466.shtml):

Traduction d’un post publié sur indymedia Suisse alémanique
http://www.ch.indymedia.org/de/2004/09/26447.shtml

exiltante, 29.09.2004 17:06

Mercredi matin, vers 8h, l’expulsion annoncée a été effectuée par la police municipale de Zurich. Plus de résistance sur place, les derniers occupants ont fui, au grand dam des flics qui avaient déployé les grands moyens. Oui, cest terriblement triste Exil est aux mains des démolisseurs prêts à exécuter les plans d’Eberle.

Nous avons passé toute la nuit à déménager le plus vite possible, mais une grande partie de nos affaires est restée dans les maisons. La dernière camionnette a été mise en sécurité à la dernière minute. etc, etc.

Sorry, pas dautres nouvelles pour le moment. Nous sommes complètement cassés et notre maison dAdliswil risque de lêtre bientôt. Au moins, nous y sommes encore. Cest une petite consolation, mais là aussi, ils menacent de nous expulser depuis ce midi Venez nous rendre visite!

Zürichstr. 77/79 à Adliswil, terminus du 7, puis environ 2 km plus loin, tout droit.

(Suite, publiée sous http://www.ch.indymedia.org/de/2004/09/26463.shtml)

A Adliswil, nous ne sommes apparemment pas les bienvenus

(Ex)ilantInnen, 29.09.2004 23:57

On ninspire que la méfiance

Jusquici, nous avions encore limpression d’avoir trouvé un nouvel Exil paisible à Adliswil, où nous pourrions rester quelques années. Grossière erreur!

Cette fois, ce ne sont pas seulement les flics qui nous prennent la tête un voisin a dit hier soir qu’il avait payé plus dun million pour son pavillon et qu’il ne voulait pas avoir des «fouteurs de merde» dans le voisinage. Puis ça a continué avec le cisaillage d’un pneu de notre tracteur et maintenant la milice d’Adliswil patrouille autour de nous avec des chiens et des sprays au poivre. Aux dernières nouvelles, les flics veulent se débarrasser de nous définitivement avant la fin de la semaine; ça risque de chauffer Vous pouvez vous imaginer ce qu’on éprouve.

d.


Grenoble: Expulsion de la Loupiote

La Loupiote a été expulsée vite fait bien fait, un jour avant d’être « légalement » expulsable. Merci le respect de la loi par les autorités elles-mêmes… Un personne était présente dans la Loupiote lors de l’expulsion par la police.

z.

Lille: Le Brancard réoccupé puis expulsé difficilement dans la foulée le 5 septembre 2004

Alors qu’elle prépare la dernière saison de Lille 2004, la mairie de Lille ne pouvait laisser un grain de sable rayer la belle vitrine touristique qu’est ce week-end de braderie…
Manque de pot c’est le moment qu’avaient choisi quelques enragé-e-s pour réoccuper le Brancard, délaissé depuis son expulsion il y a quelques jours (voir plus bas). Mais, même dans un quartier délaissé par l’orgie consommatrice, la mairie de Lille n’a pas fermé les yeux sur cette outrageante réoccupation.

Et c’est la grande armada qui s’est déployée rue de Thumesnil : Police nationale, municipale, BAC, CRS, maitres chiens, GIPN étaient au rendez-vous… Un bon coup de camion bélier dans la double porte barricadée et une partie des indésirables était emmenée au central. Il fallut par contre plusieurs heures aux flics pour déloger les 3 dernier-ère-s géneur-se-s réfugié-e-s sur le toît et ce malgré l’aide des pompiers (dont on appréciera la nouvelle collaboration avec les forces de l’ordre… les grenades explosives et les canons à eaux semblent soudain un lointain passé).
Pendant l’opération on aura noté la présence de Patrick Kanner (notre cher adjoint au maire PS et vice président du Conseil Général du Nord), venu se pavaner devant les médias. Quel cranneur.

Rassurez vous citoyens, la grande opération d’épuration/asseptisation estampillée Lille 2004 continue. La résistance à leur culture formatée aussi. Rendez-vous pour la troisième saison…

Pour les épisodes précédents, reportez-vous à http://squat.net/fr/news/lille130804.htmlet http://squat.net/fr/news/lille200804.html.
Voir aussi photos de l’expulsion du 5 septembre sur http://lille.indymedia.org/article.php3?id_article=6697.

y.

Pampelune: D’autres infos sur l’expulsion d’Euskal Jai

Euskal Jai est le célèbre squat dans le vieux quartier de Pamplona, où durant ces 10 dernières années un grand nombre de projets ont pu être réalisés. 16 août 2004 : Tôt dans la journée, 3 différentes forces de polices arrivent devant la porte du squat avec un engin de démolition et s’attaquent à la porte principale. Plus de 50 personnes résistent à l’intérieur. Plusieurs engins de démolition sont dans la rue. Certaines personnes se couchent devant pour empêcher les engins d’arriver au squat et la police charge. D’autres gens protestent contre l’expulsion, la police répond avec des balles en caoutchouc et des arrestations. Après la destruction de la porte, la démolition commence alors qu’il y a toujours des personnes à l’intérieur du bâtiment. Il n’y a aucun mandat légal pour la destruction du squat. Read More

Lille : Communiqué de presse suite à l’expulsion du Brankard

  Lille : Communiqué de presse suite à l’expulsion du Brankard


COMMUNIQUE DE PRESSE

Le vendredi 13 août 04,vers 6h30,le squat le brankard a été vidé de ses occupant-es par une grosse délégation de la police régionale. Habité depuis septembre 03, ce bâtiment appartenant à la Mairie de Lille et inoccupé depuis 2 ans était devenu vivant par le rassemblement de quelques squatteur-ses. Outre le besoin de se loger, il nous paraissait important de créer un lieu de d’activités diverses et variées dans le but de développer des pratiques et des fonctionnements en dehors de la logique marchande. Nous ne sommes pas choqués par cette expulsion demandée par une mairie de Gôche : nous savons depuis longtemps que la social-démocratie n’est qu’un système de gestion du capitalisme. Il lui fallait donc assurer la défense de la sacro-sainte propriété privée, pierre angulaire de ce système. Par ce communiqué nous voulons rappeler les raisons de notre acharnement à développer les squats depuis 95 et ce sans aucunes compromissions. Ce bâtiment comme tant d’autres à Moulins et ailleurs était la cible des différents promoteurs immobiliers avides d’investir dans un quartier en pleine mutation depuis l’arrivée de la fac de droit. Il est plus intéressant de construire pour les étudiants qui constituent un potentiel économique non négligeable plutôt que de s’occuper des prolétaires vivant ici depuis longtemps. En pleine année 2004, cette expulsion ne nous étonne guère. La capitale culturelle européenne ne pouvait se permettre d’abriter de façon trop visible des sauvageons qui mettaient en évidence ses contradictions. Lille 2004 n’est qu’un paravent dont l’objet inavoué est l’utilisation d’un événement médiatique destiné a attiré les investisseurs économiques en leur montrant le coté financier attractif de la ville. Lille n’ayant pas eu ses JO, il fallait donc trouver autre chose. Rien à foutre de laisser tout un pan de la population sur le carreau, l’important est de voir Lille désormais inscrite sur la liste des tours-opérateurs américains ! ! Le prix des loyers explose, il n’est plus possible de compter louer un appartement dans le privé sans avoir un salaire de cadre. Ce qui permet aux nombreux marchands de sommeil de louer des taudis en toute légalité. Quant au logement social, combien de temps faut il attendre pour obtenir un logement dans une de ses grandes barres de béton ? A combien remonte le nombre de maisons vides sur la métropole pour la plupart volontairement laissées à l’abandon afin de mieux spéculer dessus ? Le Brankard, comme le tipy et tant d’autres à leur époque, n’est qu’un moyen de pointer le doigt sur les aberrations de ce système et montrer par la pratique qu’il est possible et nécessaire de développer des alternatives afin d’apporter notre contribution à la destruction de ce vieux monde. Que la Mairie et autres promoteurs se rassurent, ce n’est pas cette expulsion qui nous fera reculer : un squat expulsé, 10 ouverts !

Pour plus d’infos, http://lille.squat.net

Des squatteurs et squatteuses en lutte


Pampelune : Expulsion violente de la okupa Euskal-Jai

Expulsion de la okupa Euskal-Jai a pampelune…

Je fais juste passer des URL, je ne peux pas trop en parler je n’y étais pas…
juste ultra violent…
destruction du batiment alors qu’il restait du monde dedans, et les voisins sont sortis sur les balcons en tapant des casseroles pour soutenir les occupants…

http://www.euskaljaigaztetxea.net/weblog/article.php3?id_article=79
http://www.euskaljaigaztetxea.net/weblog/article.php3?id_article=80
http://www.euskaljaigaztetxea.net/weblog/article.php3?id_article=78
http://www.euskaljaigaztetxea.net/weblog/article.php3?id_article=76
http://www.euskaljaigaztetxea.net/weblog/article.php3?id_article=75

et une video :
http://barcelona.indymedia.org/usermedia/video/9/desalojo1.mov

plus d’infos sur :
http://www.quesevayantodos.net

Nahuel

Lille : Expulsion du Brankar

  Lille : Expulsion du Brankar


Le gros squatt de Lille s’est fait expulser ce matin vers 6H30…

Les habitant-e-s ont par la suite été placé-e-s en garde à vue pendant 5 heures. Les affaires n’ont pas encore pu être récupérées, un chien attrapé au filet a été amené à la LPA. Il n’y a donc plus de salle de projection, plus de salle de concerts, plus de resto végétalien, plus d’infoshop, plus de salle de réunion, plus de salle de sport… et les habitant-e-s sont privé-e-s de lieu de vie. Mais ce n’est que partie remise : peu importe l’acharnement de la préfecture, une expulsion c’est 10 ouvertures en préparation…

La police elle se pavane, fière de cette opération menée en collaboration avec la mairie de Lille (propriétaire du batiment).

Rappel des faits :
– en octobre 2003 Le Brancard menacé d’expulsion ( http://squat.net/fr/news/lille151003.htmlet http://squat.net/fr/news/lille181003.html).
– fin octobre dernier, une première tentative avait échoué après une grosse résistance et malgré un grand déploiement de force de l’ordre… ( http://lille.indymedia.org/article.php3?id_article=3363, http://lille.indymedia.org/article.php3?id_article=3365et http://lille.indymedia.org/article.php3?id_article=3432).

Voir aussi http://lille.indymedia.org/article.php3?id_article=6570et http://lille.squat.net/.

Anonyme


Echirolles (Grenoble) : Trois femmes expulsées de leur appartement…

Une famille expulsée à Echirolles :

Lundi 19 juillet 2004, 16h, Echirolles (banlieue grenobloise): Une huissière, un flic et un serrurier se présentent au domicile de 3 femmes, 4 chiens et 3 chats, et les expulsent sans ménagement, malgré le soutien effectif de l’association Femmes évasion, qui depuis plusieurs mois essaye de repousser l’expulsion, ou d’obtenir un relogement immédiat et familial. Read More

Barcelone : Expulsion d’Ali-Bey

Une semaine qui commence bien, avec l’expulsion du squat d’habitation Ali-Bey, après trois mois de résistance aux différentes dates d’expulsion. Cette fois ils sont arrivés avec une date ouverte, jusqu’au premier juillet 2004. Mais la resistance du squat, composée de personnes suspendues a la façade, a permis de retarder l’expulsion qui a duré… 5 heures ! Read More

Rouen : Expulsion de la Kommandantur

Occupé depuis plus d’une semaine, mercredi matin [16 juin 2004] une cinquantaine de flics ont expulsé les habitants de la kommandantur.

Cette magnifique maison abandonnée depuis presque dix ans appartient à la mairie de Rouen qui a porté plainte pour dégradation contre les occupants. La police a donc débarqué à une dizaine de véhicules pour interpeller 3 habitants endormis et les garder 7 heures en garde à vue à la fin de laquelle les poursuites ont été abandonnées. Pendant ce temps la mairie pouvait souder le portail et remurer les portes sans avoir eu à engager la procédure d’expulsion. Dès leur sortie, les habitants se sont rendus à la mairie pour récupérer leurs affaires et harceler moralement le délégué à la sécurité de la ville. Pendant 3 ou 4 h, 7 individus ont occupé le bureau de l’élu, assis dans son fauteuil, pieds nus sur son bureau en buvant le vin blanc et le jus d’orange trouvé dans le frigo. L’élu aurait prétendu s’être fait volé de l’argent et n’a pas voulu laisser aux squatteurs une photo de lui, son fiston et le reste de la mairie. Read More

Nantes : Expulsion d’un nouveau squat non-mixte de femmes

Jeudi 17 juin 2004, après 48H de pressions, des représentantEs de la ville accompagnéEs de policiers et d’un serrurier ont forcé, sans procédure pénale préalable, une maison occupée depuis 10 jours par un collectif non-mixte de femmes. « Fraülein 51 », en plus d’être un lieu de vie, visait à devenir un lieu de réunions, de créations artistiques et d’échanges de savoirs, entre femmes. La mairie, propriétaire des lieux, se permet des expulsions alors qu’elle possède des batiments inutilisés. Aussi elle nie le droit au domicile (art 432.8 du code pénal). Ainsi non contente de mettre des gens à la rue, elle agit en toute illégalité, sans la procédure judiciaire, qui permet d’obtenir un délai avant l’expulsion. La situation de ce lieu n’est hélas pas isolée, un autre squat est actuellement menacé de la même façon. Vous pouvez faire pression sur la mairie (par téléphone, fax, lettres, mail…) Et voilà !
Fraulein 51