Toulouse: Soirée de soutien au journal L’Envolée, le 15 janvier 2009 à la Chapelle

Le jeudi 15 janvier 2009 se tiendra à la Chapelle, rue Danielle Casanova, une soirée de soutien au journal L’’Envolée. Au programme : à partir de 18h30, un apéro soupe et un peu de musique traditionnelle. Et à 20h, présentation du dernier numéro du journal (femmes en prison, nouvelle loi pénitentiaire, expertise génétique… et incendie du centre de détention de Vincennes).

Copenhague: Quinze personnes condamnées à de la prison suite au procès « Ungdomshuset »

[Info traduite des pages anglophones de squat.net.]

Lundi 22 décembre 2008, cinq femmes et dix hommes, qui étaient présent-e-s dans le bâtiment d’Ungdomshuset lors de son expulsion, ont été condamné-e-s à de la prison. 11 personnes à un an et trois mois, 3 personnes à un an, et 1 personne (agée de moins de 16 ans) à neuf mois! Read More

Athènes: Communiqué de l’assemblée générale des travailleurs insurgés de la GSEE squattée

Traduction publiée le 22 décembre 2008.

L’histoire sera écrite par nous ou à notre insu

Nous, les travailleurs manuels, les employés, les chômeurs, les intérimaires, nationaux et immigrés qui ne sommes pas téléspectateurs mais participons depuis samedi soir, après le meurtre d’Alexandros Grigoropoulos, aux diverses manifestations, accrochages avec la police, occupations de bâtiments publics dans le centre comme dans les différents quartiers, qui avons dû souvent abandonner notre travail et nos obligations quotidiennes pour descendre dans la rue aux côtés des élèves, des étudiants et autres prolétaires en lutte, avons décidé d’occuper le bâtiment de la GSEE (Confédération Générale des Travailleurs de Grèce) pour le transformer en un lieu de liberté d’expression et de rencontre des travailleurs. Read More

Nantes (St-Herblain): Concert de soutien à Natchav, le 20 décembre 2008 au Fouloir

  Nantes (St-Herblain): Concert de soutien à Natchav, le 20 décembre 2008 au Fouloir


Samedi 20 décembre à partir de 20h – Entrée Libre

Avec :
– Six-8 (punk anglais)
– Insolite (Hip hop)
– Eveil musical (freaks punk)
– Karaté 2000 (punk rock)
+ invités…

Le Fouloir, Chemin de la Peloussière, Saint-Herblain

http://nantes.indymedia.org/attachments/dec2008/imainternetnatchav.jpg

NATCHAV, une émission anti carcérale le dernier dimanche de chaque mois à 18h10 sur Alternantes (98,1FM et 91.2 à St-Nazaire).

Une émission sur les prisons à destination des détenuEs, de leurs proches, et de celles et ceux intéresséEs par les questions de l’enfermement et de la justice.
Pour créer un lien entre l’intérieur et l’extérieur et faire connaître les conditions de vie en taule.

Une émission pour faire réfléchir à la place du système carcéral dans notre société et à son évolution.

Ecrivez-nous, nous lirons vos messages à l’antenne :
NATCHAV c/o Alternantes
56 boulevard des Poilus
44000 Nantes
mail : natchav at boum point org

Natchav


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Liège : La Chauve Souris prend racine

Centre Social Occupé (CSO) « La Chauve-souris »
62, rue chauve-souris 4000 Liège

13 décembre 2008

Après avoir fait une demande de conciliation devant un juge de paix et refusée par les propriétaires, après avoir versé 100 euros pour les charges et refusé par ces mêmes propriétaires, voilà maintenant 72 jours d’occupation bien tassés. Nous nous attendons à recevoir une convocation au tribunal et préparons notre défense. Read More

Paris: discussion avec des militant-e-s du réseau « No Borders UK », le 14 décembre à l’Atoll 13

Dimanche 14 décembre 2008
« Atoll 13 », 175 ter rue de Tolbiac, 75013 Paris
De 15h00 à 17h30

Réunion transnationale: discussion avec des militant-e-s du reseau NO BORDERS UK, sur la situation à la frontière franco-britannique. Read More

CGA: Logement, non à la barbarie !

Décembre 2008

L’hypocrisie et la bonne conscience ne solutionnent pas les problèmes de précarité

Mme Boutin veut faire le « bonheur » des SDF malgré eux, contre eux. Elle va jusqu’à vouloir les forcer à intégrer un foyer « d’accueil » afin des les soustraire à la mort par grand froid. Par les autres temps ils peuvent crever. Mais là, dans la rue, ça fait désordre. Alors, elle et ses amis y vont de leur couplet hypocrite. Tout ça dégouline la bonne conscience judéo-chrétienne. Read More

Paris: Vidéo-projections et débats à l’Atoll 13

  Paris: Vidéo-projections et débats à l’Atoll 13


Ce week-end à l’Atoll 13 !

La programmation c’est sur http://www.lebarbizon.org/

Participation libre à l’entrée !

Bonjour à tous,

deux soirées ce week-end à l’Atoll 13 (175ter rue de Tolbiac, 75 013 Paris, métro : Tolbiac, bus : 47, 62 ) !

A bientôt,

Les Amis de Tolbiac

VENDREDI 12 DECEMBRE 2008 – 20H
SOIREE « SQUATS »

Nécessaire(s) Territoire(s), Benoît Perraud
21 min, 2006.

«Ce monde est injuste. Notre organisation inhumaine. On le sait. On le montre. Tout le temps. Je ne veux même pas proposer une dénonciation de tout ça. Je cherche autre chose…»
À travers des rencontres à Limoges et à La Rochelle, des images et des sons glanés ici ou là, une recherche de ce qu’est et ce que peut être le squat, les alternatives, et par là-même, l’utopie. Dans sa recherche, le réalisateur s’interroge aussi sur comment générer, au travers d’un film, cette utopie…

Documentaire de 26′ sur le Goumen Bis en 2003.
En présence de réalisatrice.

Au NorD EsT PaRiSieN, dans un arrondissement populaire où la culture est un lien social avéré, GouMen BiS décline rencontres, échanges PriViLéGiéS. Ce groupement associatif agit en interaction avec les habitants du quartier. TéLé BoCaL diffuse une programmation locale et citoyenne. DreamLanD PicTuRe, collectif de photographes, organise stages et expositions. Les ImPonDéRabLeS, compagnie de ThéâTre De Rue, monte chaque année, aux beaux jours de juin, les Nocturbaines. Enfin, 2BiS CiTé AuBrY coordonne les festivités, administre l’ensemble des associations. Ce squat est un des plus anciens de Paname. Usine à bois, laissée à l’abandon, elle a été récupérée dans les années soixante dix par des jeunes cinéastes, qui rêvaient d’en faire un lieu d’expression libre, ouvert à tous. Sa salle de spectacle, très active, sert de tremplin aux JeuNeS TaLenTs. ThéâTre, ConCerT et ExPoS insufflent au quartier, l’expression d’une LiBerTé.

SAMEDI 13 DECEMBRE 2008 – 20H PROJECTION – DEBAT

Qu’elle était belle mon usine, Nicolas Dupuis,
50 min, 2008.

Après la fermeture d’une usine de pneus, une centaine d’ouvriers s’organise et lutte pour la reconnaissance de leur droit au travail. Devant les Prud’hommes et la Cour d’Appel, ils attaquent le n°1 mondial du pneu : Michelin…
Débat en présence du réalisateur.

Barbizon hors-les-murs


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Lyon: Retour sur l’attaque d’un squat par la police

  Lyon: Retour sur l’attaque d’un squat par la police


Publié le mardi 9 décembre 2008 sur http://rebellyon.info/article5773.html

Événements du 16 novembre 2008, survenus dans un squat à Lyon aux environs de 23h30

Avec : Bobe, Gertrude, Lole, Laur, Limbo, Zina et Beber, ainsi qu’une vingtaine de flics et une quinzaine de copains.

Les faits :

Nous sortions d’un chantier sur lequel nous avions récupéré des poutres pourries trouvées dans les poubelles.
Sur le chemin du retour vers la maison, une voiture est arrivée à toute vitesse ; ne sachant pas qu’il s’agissait d’une voiture de flics, trouvant qu’elle roulait trop vite et ne sachant pas si les conducteurs nous voyaient, nous lui avons fait signe de ralentir. La voiture nous a dépassé et a tourné au coin de la rue.
Sur ce, on s’amuse à blaguer sur le fait que nous étions invisibles… Nous arrivons devant la maison, ouvrons la porte et commençons a rentrer le bois.

Lorsque Gertrude ressort pour aller chercher le reste du bois, elle voit deux mecs planqués au niveau de la charrette (sur laquelle est entreposé le bois) et qui surgissent de l’entrée de porte de la fleuriste d’à côté. Ils ont une attitude agressive, rapide et très énervée.
Le premier hommes agrippe son bras (Gertrude ne sait pas encore qu’il s’agit de la BAC car ils sont habillés en civils et ne portent pas de brassard). Ils finissent par s’identifier :
« Police, on ne bouge plus ! »
Gertrude ne répond rien, surprise par la peur.
Puis, les flics se dirigent vers la porte de la maison, leurs matraques à la main.

Au même moment, Bobe, qui se dirigeait également vers la porte (grande ouverte) mais en sens inverse, est interpellée par une voix d’homme. Elle s’avance donc vers la porte et voie un bras armé d’une matraque mais sans brassard. Elle essaie de refermer la porte mais n’y parvient pas ; l’homme la tire et la jarte à l’extérieur ; dans la précipitation, Bobe se racle l’oreille sur le bord de la porte.
L’homme lui lance :
« Qu’est-ce que vous faîtes là ? Vous n’avez pas entendu que c’est la police ? »
Bobe répond :
« Non, j’ai pas entendu que c’est la police.
– Qu’est ce que vous faîtes là ?
– Je viens de ramasser du bois, nous l’avons récupéré à une rue d’ici. »

Entre temps, Lole va vers la porte et enlève le crochet qui retenait la porte.
Un des flics lui demande de sortir. Lole répond :
« Oui, je sors tout de suite. » (le but de la manoeuvre de Lole était de sortir et de fermer la porte derrière elle).
Laur, qui est cachée derrière la porte, pousse sur celle-ci afin qu’elle se referme correctement et rapidement.
Jusque là, les flics n’ont fournit aucune explication justifiant leur conduite violente.

Lole leur dit qu’elle ne comprend pas la raison d’une telle intervention. Elle leur demande des explications, mais ceux-ci sont incapables de les lui donner.
Lole essaie de calmer la situation en disant :
« C’est bon, on est là, on est dehors. Alors, qu’est-ce qu’il se passe ?
– Pourquoi tu as fermé la porte ? répliquent-ils.
– Je ne veux pas que vous entriez, c’est mon domicile principal, vous n’avez pas à rentrer.
– Donnes-moi tes clefs, lance un flic.
– Non, c’est chez moi, je n’ai pas à vous donner mes clefs, ni à vous ouvrir. »
À ce moment, des renforts policiers arrivent (une voiture transportant trois flics).
Il y a maintenant cinq policiers pour trois personnes (Lole, Bobe et Gertrude).

Très vite, deux nouvelles voitures surgissent : les flics sont à présent une bonne douzaine. Dialogue entre policiers :
« Vous nous avez appelés pour du renfort ?
– Ça a l’air d’être bon, nous, on doit aller au 8. »
D’eux-mêmes, les flics avaient constaté qu’il n’était pas nécessaire pour eux d’être venus aussi nombreux à cette intervention.
Gertrude, Bobe et Lole subissent alors la fouille au corps tout en se faisant poser des question :
« C’est quoi, ici ? Vous louez ?
– Non, c’est un squat, nous vivons ici depuis plus de deux mois.
– Est-ce que vous avez des cutters ? Sortez tout de vos poche. Vous avez des rasoirs ? Des lames ?
– Non, nous n’avons rien de ce genre. »
Ils mettent les mains des trois interpelées contre le mur afin mieux les fouiller.
Un flic lance à un de ses collègues :
« Elle doit avoir ses clefs, prends-lui, ce sera plus facile pour rentrer. »
Puis, s’adressant à Lole :
« Donne-moi tes clefs ou je défonce la porte ! »
Et il tape dans la porte pour essayer de l’ouvrir.
Une femme-flic balance violemment Lole contre la porte de la maison et lui tord un bras derrière le dos.
Sachant que les flics convoitent ses clefs, Lole tente de les glisser dans la fente de la boîte aux lettres (de laquelle elle est à la hauteur) afin que les flics ne s’en emparent pas.
Surprenant la tentative de Lole, la femme-flic et deux autres policiers la repoussent brutalement sur le sol. S’ensuivent de nombreuses insultes de la part des flics :
« Ta gueule, salope, ou je t’en mets une, ferme ta gueule ! (alors que Lole leur demande à nouveau à comprendre ce qu’il se passe) Ne bouge pas ou je t’en met une ! (alors que Lole est immobilisée par trois flics, et ne peut donc pas bouger et qu’elle sait, de toute façon, que se débattre ne peut qu’empirer la situation) Ferme ta gueule sinon tu va le regretter ! »
Lole se fait remettre debout pour être fouillée. Les flics lui maintiennent toujours les mains derrière le dos ; ils sont à la recherche des clés de la maison. Ils les trouvent finalement ; ça les fait marrer. Lole se fait balancer contre la vitrine du centre funéraire d’à côté (la vitre tremble tellement elle a failli casser) puis reste assise par terre.

Laur grimpe au premier étage de la maison afin d’avertir Zina, Limbo (qui dormait) et Beber (cette dernière se met alors à envoyer des textos aux copains afin qu’ils se ramènent en renfort).
Zina (qui dormait aussi) ouvre la fenêtre et regarde en bas ; les flics, à présent au nombre de moins d’une vingtaine, la voient et lui crient de descendre en l’appelant « monsieur ».
Zina s’habille, descend et va se poster derrière la porte d’entrée. Elle crie à l’adresse de Gertrude, Lole et Bobe en leur demandant si elles vont bien.
Zina regarde par la fente de la boîte aux lettres : les flics cognent contre la porte en hurlant « Ouvrez, police ! ».
Zina décide alors de retourner à l’intérieur de la maison. Au moment où elle revient sur ses pas, les flics ouvrent la porte (grâce aux clés qu’ils ont volées à Lole) ; Zina leur crie :
« Vous n’avez rien à faire ici ! »
Deux flics l’empoignent par le collet, la sortent dehors, puis lui font un croche-pied en lui maintenant la nuque très fort et la font assoir à côté de Lole, toujours en lui maintenant la nuque (à Zina). Zina exige des explications, mais les flics ne répondent pas et contrôlent son identité. Comme le trottoir est mouillé, Zina demande si elle et les copines peuvent s’assoir ailleurs, là où c’est sec. Elles se font déplacer par les flics.

Dans la maison, Limbo, inquiète, décide de rester à l’intérieur. Laur continue d’envoyer des messages d’SOS aux copains.
Beber descend au rez-de-chaussée : il y a cinq flics dans le jardin (ils sont hyper stressés). Beber leur demande ce qu’ils foutent là, ils répondent non sans ironie :
« On nous a donné les clés. »
Beber leur donne sa carte d’identité en disant qu’elle habite là et qu’ils n’ont rien à foutre ici.
Elle demande à nouveau la raison de cette intrusion et ils répondent : « On nous a contactés pour vol. » (on parle des poutres pourries, mais Beber, perplexe, n’est pas encore au courant de cette histoire de récup sur le chantier et croit donc qu’ils sont là pour expulser le squat).
Les flics posent un tas de question à Beber tout en s’aventurant dans l’entrée de la maison, balayant de leurs lampes-torche la cuisine, le salon et la chambre de Lole :
« C’est un squat, ici (ben tiens ! comme s’ils le savaient pas !) ? Vous avez un bail ? Y a combien de personnes qui vivent ici ? C’est un ancien hôtel (ils veulent savoir si on est pas un bordel ou des marchandes de sommeil.) ? Vous avez contacté les propriétaires ? Vous avez fait des démarches auprès de la mairie ? Vous allez essayer de légaliser ce squat ? L’électricité, elle était là quand vous êtes arrivées (pour vérifier si on pirate pas EDF) ? etc. »
Ils restent plantés dans l’entrée au moins dix minutes tandis que Laur, Zina (qui s’est finalement fait rentrée à l’intérieur de la maison par les flics), Beber et Limbo cherchent les preuves du 48h. Les flics demandent les identités de celles qui ne les ont pas donné.

Finalement, ils ressortent sans avoir vu les preuves. Dehors, les copains sont arrivés en renfort (ils sont une quinzaine à avoir débarqué en cinq minutes).
Les flics amassés sur le trottoir sont un peu troublés ; ils ne savent pas trop ce qu’ils font là :
« On nous a appelé pour vol de bois » (lire : récup de poutres pourries dans les poubelles du chantier, c’est la crise, le marché de la poutre est bien gardé. D’après nos estimations de ce soir, l’État fournit deux flics armés pour une poutre pourrie !).
Ou encore :
« Chef ! C’est pour de l’art » (parce que Zina leur avait fait la blague de : on veut faire des sculptures avec les poutres, on est des artistes ! L’art, ça marche toujours avec eux).
Quelques flics sont déjà repartis ; il en reste une quinzaine (dont la BAC). Une patrouille revient pourtant au bout de trois minutes, ne sachant toujours pas trop ce qu’il se passe.
Il faut noter qu’un des gars de la BAC était bourré (selon Lole, il puait l’alcool).
Finalement, les flics disent à Gertrude, Lole et Bobe : « Bon on vous fait une fleur, vous ramenez les poutres sur le chantier et on vous laisse partir ».
Nous, on voulait bien, mais y’avait une bagnole de flics sur le trottoir, la charrette pouvait pas passer.

On leur demandé leurs noms (pour les dénoncer pour violence), mais ils n’ont pas voulu nous les donner.
Quand une pote leur a dit : « Vous avez pas le droit » (au refus de s’identifier), un flic lui a répondu : « Vérifiez vos lois, mad’moiselle ».

Heureusement qu’les copains étaient là !


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Caen: Programme des activités du Pavillon Noir – décembre 2008

Malgré les menaces d’’expulsion de la mairie, le Pavillon Noir continue ses activités et vous invite à venir vous informer, participer et rejoindre la mobilisation pour le maintien de ce lieu autogéré.

Vendredi 5 à 20h30 : Projection/débat, « Shortbus », de John Cameron Mitchell, soirée autour de la libération sexuelle, organisée par La Toison Rouge.

Mercredi 17 à 20h30 : Conférence/débat autour de l’’immigration et de la régulation des flux migratoires.

Vendredi 19 à 20h30 : Projection « Western Zapata » des films « Il était une fois la Révolution » et « Compañeros ».

Tous les samedis de 15h à 18h: Portes ouvertes + Atelier de production alternative d’’électricité.
Tous les dimanches à 15h : atelier couture.

« La première raison de la servitude volontaire, c’’est l’’habitude. »
Etienne de la Boétie

Logements pour tou(s)tes! Arrêt des expulsions!!

Grenoble : La mairie loue les cubes de la biennale… aux SDF !

5 déc. 2008

Les SDF les plus cabossés de Grenoble sont logés dans des cabanes de chantier. C’est le seul accueil réservé aux gens alcoolodépendants et accompagnés de chiens. Ca s’appelle La Place (anciennement Passage) et ça se situe depuis peu 106 rue des Alliés, juste à côté de la grande maison murée squattée il y a quelques années.

Ne posez pas la question de savoir pourquoi ne pas laisser la maison (dans laquelle la Place a son panneau électrique) aux grands exclus qui habitent à côté. Bien que n’ayant aucun projet dessus à part faire croître de la moisissure, la mairie a refusé. Read More

Nanterre: Des étudiant-e-s menacé-e-s d’expulsion par le CROUS

Info trouvée sur http://nantes.indymedia.org/article/15504

Occupation de la cité-U de Nanterre Samedi 06 décembre 2008 – areneparis10 at hotmail point fr

En lutte contre les expulsions, 50 étudiants occupent le bâtiment F de la cité-U de Nanterre, un bâtiment presque entièrement vidé pour travaux. 3 d’entre eux risquent une expulsion en pleine trêve hivernale. Depuis vendredi soir, en solidarité des dizaines d’étudiants dorment sur place. Le CROUS accuse les 4 étudiants d’être des mauvais payeurs ou de ne pas avoir le statut adéquat. A l’heure on l’on parle de grande pauvreté voilà comment se gère la précarité étudiante !

Le 29 juillet 2008, 25 cars de CRS avaient envahi la cité-u de Nanterre pour une première vague d’expulsions. Dans un quasi-silence médiatique.

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Dijon : L’expulsion de deux squats de Roms empêchée !

5 déc. 2008

Voilà un communiqué sur deux squats de Roms dont l’expulsion a été empêchée in-extremis cette semaine:

Suite à l’annonce en plein hiver de menaces d’expulsion de plusieurs familles roms installées depuis un an dans deux maisons laissées à l’abandon par la société Gessy-Verne, une trentaine de soutiens se sont mobilisés dans l’urgence ce matin devant les maisons. Il s’agissait de militants de RESF 21, du collectif « un Toit pour toi » ou d’ami-e-s des occupant-e-s. Leur présence visait à empêcher la mise en oeuvre de la démolition par la société Pennequin dépêchée par M. Pereira, patron de Gessy-Verne.

Une mobilisation s’était mise en place hier après que les occupant-e-s, une trentaine de personnes dont une dizaine d’enfants, aient fait savoir que M. Pereira les menaçaient d’expulsion pour cette semaine. Suite à divers messages d’alertes envoyés par les collectifs de soutien hier en direction de autorités publiques, une commissaire est venue ce matin pour confirmer que le propriétaire n’avait pas mis en oeuvre de procédure d’expulsion. De ce fait et en raison de la période hivernale, la préfecture voulait bien s’engager à ce qu’il n’y ait pas d’expulsion des familles avant le printemps et à ce que la procédure soit respectée. Read More

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Grenoble: Encore une expulsion de squat, cette fois cours Berriat

Ce matin, vendredi 5 décembre 2008, en pleine trêve d’hiver, une nouvelle expulsion de squat a eu lieu, au 66 cours Berriat, Grenoble.

Cette expulsion a été effectuée par la police nationale, devant pas mal de riverains et de personnes venues en solidarité avec les squatteur-euses. Dégoût et résignation étaient à l’ordre du jour.

L’hiver dernier, le 66 cours Berriat a été squatté, puis, devenu expulsable au début de l’année 2008, les squatteur-euses avaient fini par déserter le bâtiment, sans raison apparente. En tout cas, l’avis d’expulsion n’ayant été mis en pratique, il semble que ce soit celui-ci qui ait été utilisé pour expulser ces nouveaux squatteur-euses, installé-es dans ce même bâtiment depuis plus de quatre mois (cet été). Read More

Calais: Chasse à l’homme dans le Pas-de-Calais, ya basta !

En décembre 2002, Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, fit fermer (avec le consentement du député PS de la 6e circonscription du Pas-de-Calais … Jack Lang) le camp de réfugiés de Sangatte. Il fut ouvert en 1999 par des Calaisiens qui ne supportaient plus de voir des être humains dans un total dénuement. Il fut par la suite géré par la Croix Rouge jusqu’à sa fermeture. Il hébergeait plusieurs centaines de sans papiers, dont un bon nombre souhaitaient se rendre en Grande Bretagne. Décision funeste, qui encore une fois n’avait d’autre finalité que de « faire un coup médiatique » ! Les problèmes se sont aggravés : les sans papiers sont toujours là bien sûr, mais ils n’ont plus aucun endroit où se réfugier. Read More