Paris: expulsion tranquillou de l’Inconnu, par les proprios…

Le squat “L’Inconnu” était ouvert depuis le 14 septembre 2015 (et non 2014 comme l’indique la vidéo hébergée par Vimeo), malheureusement semble-t-il sans aucun soutien extérieur mais avec un idéalisme citoyen désemparant… Dans la vidéo, au moment où les proprios essayent d’entrer, le 29 septembre, on peut entendre une squatteuse dire que “comme on avait prévu la veille, pour se défendre on appelle la police”.

“Pour se défendre, on appelle la police” !?! Apparemment, pas une seule personne autre qu’une des grandes institutions répressives garantes du droit à la propriété privée n’a été appelée par les squatteur-euse-s… Affligeant. Read More

Paris: le collectif Radical Cinema occupe l’Inconnu

Depuis dimanche 14 septembre, le collectif Radical Cinéma occupe les anciens locaux commerciaux situés à l’angle de la rue de Turenne et de la rue du Parc-Royal, dans le 3e arrondissement de Paris.

Nous avons observé que cet espace était laissé vide, inutilisé, et fenêtre ouverte, depuis plus d’un an (deux, d’après une voisine), et nous avons décidé d’y entrer pour l’enchanter d’une présence et d’un projet artistique. Read More

Paris 20e: expulsion du squat de la Villa de l’Ermitage

L’expulsion du squat des musiciens de la Villa de l’Ermitage a eu lieu vendredi dernier. Aucune solution de relogement n’a été proposée, la plupart des musiciens sont à la rue.

La démolition de la bâtisse est en cours, ce lundi.

Afin de parer au plus urgent, un collectif de voisins organise une collecte et cherche des solutions d’hébergement pour une douzaine de personnes. Read More

Paris: quatre ans après, le bizness du Château Pirate continue…

En novembre 2010, un squat d’artistes a été ouvert à Paris, au 40 rue René Boulanger, dans le Xe arrondissement, près de la place de la République. Nommé Château Pirate ou Château Albat’art, ce squat a été expulsé quelques mois plus tard, le 31 mai 2011. Une expulsion «à la cool», comme le dit un article paru le jour-même sur le site branchouille StreetPress puisque les artistes ont gentiment donné les clés au proprio, à l’époque la mutuelle d’assurance Groupama (une entreprise «à la cool», pas de doute). L’ex-squat a été muré illico-presto, sans aucune contestation, tranquillou.

Entre-temps, il s’est passé des choses assez banales (ateliers, teufs et autres machins d’artistes), et d’autres bien plus môches (bizness artistouille permanent et expo d’artistes conspis et/ou fafs en février 2011, cf. l’article ci-dessous qui avait à l’époque été publié sur Indymedia-Paris)… Read More

Paris: fermeture du Pipi Caca Poney Club

Ouvert il y a moins d’un an, le squat d’artistes Le Pipi Caca Poney Club n’est plus.

C’était juste un lieu d’activités culturello-festives, rien de bien politique hormis l’envie de faire vivre Paris la nuit… On y trouvait un espace de teuf et un espace d’expo.

Le nom de ce squat faisait référence à son emplacement dans des anciennes toilettes publiques situées sous les Grands boulevards, au niveau du 28 boulevard Bonne Nouvelle (Paris Xe), et c’était bien là sa principale originalité.

Le 26 janvier 2015, les deux entrées ont été condamnées.

Nantes: Villa ocupada, inauguration perturbée

Hier (27 juin 2014), Nantes Metropole inaugurait l’édition 2014 de Voyages à Nantes. Parmi les “évènements” programmés ce jour là, il y avait l’inauguration du faux squat Villa Ocupada.
En réponse à la provocation que représente ce lieu pour celles et ceux qui luttent ici et là, notamment sur des questions de logement, des dizaines de personnes sont allées perturber le vernissage.
Les organisateurices ont fini par décider de raccourcir la soirée, le lieu a fermé 1h30 après son ouverture… pas toujours facile d’ouvrir un squat… ;)

En attendant un compte-rendu plus détaillé, voici le tract distribué sur place. Read More

Paris: Expulsion du squat d’artistes le Bloc

Le Bloc [“bâtiment libre occupé citoyennement”] était un grand squat d’artistes mêlant business et opportunisme depuis son ouverture en décembre 2012… Ça n’aura pas suffi à convaincre les autorités, auxquelles les gérants du Bloc s’étaient pourtant gentiment adressés dans l’espoir de se maintenir dans les lieux.

L’expulsion a eu lieu dans l’après-midi du vendredi 6 décembre. La préfecture avait mis le paquet en envoyant une centaine de flics anti-émeute… pour expulser les rares squatters qui avaient décidé de rester jusqu’au bout. La plupart des autres étaient partis depuis la veille, voire avant. Il faut dire que quand on paye une sorte de loyer dans un squat, ça n’incite pas trop à rester et à se battre pour que le lieu tienne. Read More

Tours: À quoi servent les subventions du Projet 244…

Ce que vous nous avez pris, nous allons le reprendre.

Ils sont trop rares les espaces où on se sent bien, ou nous sommes libres d’être ce que nous sommes. C’est pourquoi ils nous tiennent à cœur, comme une rage fulgurante que nous portons et qui nous traverse un peu plus chaque jour.

On prend ce qui est vide, abîmé, et on les transperce de nos envies et de nos rêves. On en fait des courants électriques qui grenaillent dans les rues, ou dans les espaces aseptisés. On s’amuse autant que possible, car on ne sait jamais comment tout ça peut se terminer. Read More

Tours: Thanks for the future, la Mairie n’en a pas fini d’expulser!

Le lieu collectif Thanks For the Future existe depuis plusieurs années. Depuis septembre dernier une procédure d’expulsion a été lancée par la Mairie de Tours (Sémivit). Ce lieu s’inscrit dans une histoire de plusieurs squats ouverts successivement à Tours. Destinés à créer des espace arrachés des tentacules capitalistes, tout à la fois d’habitat et de vie, autonomes et ouverts sur la ville, ces lieux libérés de mises en pratiques subversives et libératrices, ont tous été saccagés par la Mairie. C’est au tour de la Maison Thanks For the Future de se faire expulser de la friche industrielle qu’occupe notamment le Projet 244. Read More

Tours: Lettre ouverte aux petits entrepreneurs tourangeaux de la culture et à ceux du Projet 244 en particulier

(En réponse au communiqué de presse : « Les artistes du projet 244 se rebiffent », diffusé sur Demain Le Grand Soir et sur Indymedia-Nantes.)

Certes vous n’avez pas aussi bien réussi que vos aînés, mais la petite place que vous vous êtes faite au soleil de notre petite ville de province (bientôt sous le 37e parallèle pour les meilleurs navigateurs) vous suffit déjà pour vous y accrocher becs et ongles, quitte à montrer les dents la menace se faisant. Read More

Tours: Merci pour ce futur, mais on a déjà notre présent !

D’un coté, il y a ces maisons, ces places, ces terrains, ces friches industrielles qui sont désertes… Ces gens aussi qui désertent leurs boulots, leurs études, ou leurs solitudes. De l’autre, il y a cette foi en un système qui nous promet qu’il va bientôt réquisitionner les logements vides. Cette attente qui nous maintient, et nous isole, dans la gestion infinie de nos propres déroutes.

Aujourd’hui, « Thanks for the Future » se trouve à un croisement. En choisissant de vivre dans une enclave artistique et de vivre selon nos désirs et nos besoins, nous savions que nous paierions cher cette liberté… Nous
finissons l’année en état de siège. Read More

Lille: L’Insoumise est menacée d’expulsion

Samedi 8 décembre à 16h
Assemblée ouverte pour organiser la résistance de l’Insoumise face aux menaces d’expulsion! Venez nombreux!

La bouquinerie occupée l’Insoumise, au 10 rue d’Arras, est menacée d’expulsion suite à une procédure engagée par la mairie de Lille. Ce lieu a été remis en état et ouvert à la dernière braderie. Depuis cette bouquinerie a accueilli des discussions, des projections, une distro et a été un lieu d’échange. Le projet municipal est de remplacer cette bouquinerie autogérée par des ateliers d’artistes subventionnés. Read More

Tours: Non à l’expulsion de Thanks for the Future !

NON À L’EXPULSION DE THANKS FOR THE FUTURE, SOLIDARITÉ !

A Tours, il existe un lieu où l’utopie est créatrice, où des hommes et des femmes essayent tous les jours d’inventer de nouvelles formes de vie sociale en rupture avec la société capitaliste. Ils essayent de rompre avec la domination, le sexisme, l’homophobie, le racisme, la xénophobie, le salariat et toutes formes d’exploitation… Read More

Tours: Une expulsion, deux incendies… Thanks for the future

Le pacifisme ne se diffuse, que là ou l’insensible a déjà triomphé…

Après que les artistes « conventionnés » du Projet 244 nous aient assiégés en nous coupant l’eau et l’électricité, que la police ait occupé physiquement notre lieu pour nous interdire de faire
des concerts, que la mairie et les propriétaires (la SEMIVIT) se soient précipités puis enlisés dans une procédure d’expulsion beaucoup plus longue que prévue… la répression exercée contre les squats à Tours est encore montée d’un cran. Read More

Tours: Premières menaces d’expulsion officielle du côté de Thanks for the Future

Thanks for the future: Une expulsion, dix ouvertures, mille aventures…

Depuis 2007 à Tours, une maison appelée «Thanks For The Future» située dans une friche industrielle réhabilitée en locaux artistiques est occupée. Ses habitants y ont développé un projet collectif en organisant notamment des projections vidéo, des festivals de cinéma, des concerts, un espace de mise à disposition et de redistribution de matériel, de nourriture…

Nous n’en sommes pas à notre première expérience du genre, nous avons déjà ouvert le Pied de biche, la Victoire, les Noms-lieux. En raison de projets immobiliers qui n’ont pour la plupart jamais abouti, ces lieux de vie ont tous pourtant été expulsés. Read More