Strasbourg: Un bail de douze ans pour la Maison Mimir

20 avril 2011

Salut a tous,

les engagements pris par la mairie ont été contractualisés via une convention d’occupation précaire qui sera bientôt signée. D’ici à la fin du mois nous sortirons donc de l’illégalité de l’occupation « sans droit ni titre ».

Le bail emphytéotique (12 ans minimum) sera signé au courant de l’automne (après travaux structurels et présentation d’un dossier à la mairie).

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Strasbourg: Mimir, c’est parti pour 12 ans minimum !

11 avril 2011

La mobilisation massive visant à contester la décision d’expulsion et la non-communication de la mairie a porté ses fruits, opérant ainsi un renversement total de la situation !

 

Amimirs d’ici et d’ailleurs,
merci pour votre soutien !

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Strasbourg : Mimir, les discussions reprennent.

10.04.2011 BONNE NOUVELLE, les discussions reprennent !

Le dialogue est renoué avec la municipalité. Nous avons rendez vous avec M Bies demain à 14h15 avant le conseil municipal. Au téléphone ce soir, M Bies nous informait de la reprise des discussions : il s’est engagé à nous faire une proposition concrète avant la fin de la semaine, évoquant la possibilité d’un bail.

La conférence de presse Lundi à 10h est maintenue afin de clarifier la situation et présenter le projet à la presse.

L’appel aux ateliers artistiques (Musique, Chant, Arts Plastiques et Divers) place de l’étoile est maintenue, simplement pour se faire plaisir et animer la ville. Pacifisme, création, joie et bonne humeur seront au rendez vous.

Rendez vous donc demain à 14h dans le Parc de l’étoile.
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Strasbourg: Venez soutenir Mimir…

8 avril 2011

VENEZ SOUTENIR MIMIR : 96 HEURES AVANT EXPULSION … MAIS PAS FINI POUR AUTANT !

Venez occuper les lieux avec nous ! Venez témoigner de ce que vous avez vécu chez Mimir, ramenez vos duvets, de la bouffe, des instruments, …
Venez pacifiquement soutenir l’alternative Mimir !
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Liège : bail précaire pour le squat « la gare des sans-papiers »

Depuis le 6 juin 2009, une cinquantaine de sans-papiers occupent la gare de Bressoux (banlieue liégeoise).
Voir http://squat.net/fr/news/liege090609.html
La gare des sans-papiers : rue de la lèche, 4000 Liège (Bressoux)

Ils entendaient protester contre la lenteur des dispositions prises à leur égard par le gouvernement fédéral et jamais respectées; à savoir des critères de régularisation claire et partiale.

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Tours: On nous expulse ? On déménage !

30 juillet 2008

La Victoire occupe !

La mairie et le bailleur social La Tourangelle nous ont expulsé du 28 et 30 place de La Victoire. Croient-ils qu’une simple expulsion peut nous faire baisser les bras ? Ils pensent que les gardes à vue abusives et les pressions violentes que l’on a pu subir nous ont démobilisés ? Non ! Nous sommes déterminés à continuer notre lutte !

Ce n’est pas en attendant que daignent se bouger les politiques et les institutions que les sans logis de La Victoire auraient eu un logement collectif. Ce n’est pas en attendant des politiques culturelles et sociales de la mairie de Tours que les militants du collectif aurait eu un lieu d’expression et de réunion. Car rappelons que le collectif avait était reçu par Arlette Bosch et qu’il avait pu exprimer ce qu’il souhaitait : une proposition de convention, basé sur le squat des Tanneries à Dijon, avait été proposé à la mairie… Read More

France : Des chartes sur la question Squat

Bonjour,

Voici un détournement anarchiste de la Charte des artistes des Collectifs d’INTERFACE (Culture, art et squats). Plutôt que de chercher à être « représentatif » de l’ensemble des squats qui ne se retrouvent pas dans la charte INTERFACE, il constitue avant tout une prise de position antagoniste aux propositions de la Charte INTERFACE (que vous pouvez lire sur http://www.inter-face.net/charte.html) dans le but d’ouvrir un débat clair sur les enjeux politiques du squat.

La Charte INTERSQUAT de squatteureuses anarchistes est au niveau de la forme directement calquée sur celle d’INTERFACE. Chaque paragraphe est directement lié au paragraphe correspondant de la charte INTERFACE.

Vos critiques sont les bienvenues.

Ci-dessous, la Charte INTERSQUAT :

INTERSQUAT (Subversion, autogestion et squats)

> Pour une occupation de locaux non-agrée

> Une proposition de squatteureuses anarchistes.

Nous, squatteureuses logeant dans des squats anarchistes, qui avons investi sans droit ni titre des locaux laissés vacants par leurs propriétaires, avons conscience d’agir dans l’illégalité et souhaitons émettre des positions pour affirmer ce fait d’un point de vue politique.

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Paris : De la pseudo-propagande pro-squat d’Interface…

INTERFACE, extraits de leur propagande pseudo-pro-squat

Voila des extraits de la propagande d’INTERFACE, cette association qui va tuer le squat à Paris. C’est la reproduction telle quelle d’un article trouvé sur leur site : http://www.inter-face.net/actions/mairie01.html

J’espère que ça fera réagir toutes celles et ceux qui veulent autre chose que l’intervention des autorités dans le développement de la vie des squats. Tout cette propagande pour des occupations consenties qui ne gênent pas les propriétaires, pour « positiver » le mouvement squat par la création artistique et l’activité culturelle citoyenne est à vomir. Et c’est ça qui représente le squat à Paris ? Ne nous laissons pas faire !

« Réunion Interface / Mairie de Paris mercredi 2 avril 2003 Représentants d’Interface : Pierre Manguin, artiste (Le Carrosse), Eric Monjour, artiste (Baltazzart), Marc Sanchez, Directeur des programmes (Palais de Tokyo), Annie Stansal, directrice de galerie, délégués par l’association Interface. Compte-rendu : Chrystelle Rigaud.

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Paris : Interface sabote les squats

INTERFACE, à Paris, c’est l’association qui entend fédérer le mouvement squat. De fait par sa composition essentielle de squatteurs actifs et historiques (avec aussi Marc Sanchez du Palais de Tokyo dans le bureau de l’asso) elle a une légitimité acquise aussi par la présence sur le terrain, depuis sa création récente en novembre 2002, pendant les expulsions du début d’année 2003, le Théatre de Fortune, Bolive’Art etc. et par des ouvertures récentes (le carosse, théatre de verre …).
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Toulouse: Miracle pour le Clandé…

Le 23 juillet le climat se tend à Toulouse au sujet des occupations; la préfecture semble décidée à régler le dossier. Deux expulsions qui trainaient depuis un moment sont réalisées coup sur coup! L’info filtre: le Clandé serait le prochain sur la liste. Ce lieu est occupé en 1996, puis légalisé par une convention précaire d’occupation 6 mois après, de nouveau dans l’illégalité à partir de septembre 2000 par décision du tribunal, le propriétaire (la ligue nationale contre le cancer) préférant vendre que de contribuer à péréniser cette expérience. Ce lieu donc, est en danger, de plus celui-ci traverse une crise d’affection qui le rend plus ou moins désert et sans vie (nous ne nous attarderons pas ici sur les causes de cette état de fait), l’été aidant nous nous retrouvons une petite dizaine pour contrer la menace. Décision est prise de monter un canular, le Clandé sera cadennassé, barricadé, puis vidé de ses occupantEs. Mais en faisant croire auparavant à l’enfermement de trois personnes en grèves de la faim, idée que le journal local « la détresse du midi » contribura à répendre en titrant sur une demi page « le clandé grève de la faim contre les expulsions ». Des rassemblements massifs (de 3 jusqu’à 6 personnes) seront organisés de manière irrégulière, les décorations revendicatives de la batisse seront régulièrement arrachées et remises au cours de l’été, dans une guerre des nerfs employéEs municipaux VS méchantEs squateureuses, des plus terribles. En tout cas surprise le 7 septembre le clandé est toujours là… comme quoi pour la sauvegarde des lieux autonomes indépendants la non-lutte paye …aussi.

Un membre auto-proclamé cyber-porte-parole, (mais ne fumant pas la pipe).

En attendant le grand soir, 5 ans qu’on y-est !!!
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Dijon: Les Tanneries de février 1998 à mai 2001 – bilan provisoire et perspectives

Ci-dessous, un texte distribué sous la forme d’un 4-pages par l’espace autogéré des Tanneries, faisant le point sur presque 3 ans de projets, d’activités et d’experiences, ainsi que sur les objectifs que se donnent celles et ceux qui l’animent. Note : Une version mise en forme de ce document est disponible au format PDF sur le site oueb de maloka (http://chez.com/maloka).

L’espace autogéré des Tanneries
Un centre alternatif de vie et d’activité politique, sociale et culturelle à Dijon

De février 1998 à mai 2001 – bilan provisoire et perspectives

« La nécessité nourrit l’ingéniosité »… et la combativité !

« Un espace collectif en opposition aux rapports de profit, de pouvoir et de consommation. Un espace d’expérimentation qui ne se contente pas d’être en réaction au système dominant, mais se veut un lieu de création et de mise en pratique. »

Les Tanneries vivent depuis un moment déjà. Il nous a semblé qu’il était temps de faire un bilan de la situation, en commençant par une petite présentation du projet et de sa situation actuelle. Ce texte est donc certainement un peu long et lourd. Néanmoins, si les Tanneries vous questionnent, il vaut peut-être le coup d’être parcouru…

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Paris sur squats (article de « Libération »)

Que faire des collectifs d’artistes qui occupent illégalement des immeubles vides?

Paris sur squats
Anne-Marie Fèvre (Libération) – mardi 19 décembre 2000

Fatigués de déménager tous les six mois, les artistes squatters installés dans des lieux à l’abandon réclament une intervention publique pour que des baux précaires leur soient consentis. Read More

Dijon : appel à souscription pour les Tanneries

Les négociations avec la mairie reprennent, nous allons signer une convention dès que nous aurons achevé les travaux de remise aux normes des locaux. Pour cela, nous avons besoin d’aide et lançons un appel à souscription !

Depuis novembre 1998, les anciennes tanneries de Dijon, laissées à l’abandon par la municipalité depuis 1995, sont occupées par un collectif d’individus et d’associations dijonnaises. L’idée de départ était et reste de créer des alternatives sociales et culturelles, de concilier un lieu d’habitation collectif avec un espace d’activité créatif et ouvert à toutes et tous, et de fonctionner sur un principe d’autogestion où tou-te-s ceux et celles qui le souhaiteraient pourraient s’impliquer concrètement dans les activités et la gestion de l’endroit, le tout en dehors des circuits institutionnels et commerciaux.
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Dijon: Article du « Monde » à propos de l’espace autogéré des Tanneries

Le squat des Tanneries pourrait être « régularisé »
Le Monde – 14 août 2000
Dijon – de notre correspondante

La mairie souhaitait expulser cet espace culturel alternatif visé par un arrêté municipal d’expulsion, le squat des Tanneries, à Dijon (Côte-d’Or), a obtenu en juillet un sursis de trois mois. Créé en 1998, cet espace culturel alternatif qui organise des spectacles et compte environ 300 membres espère pouvoir négocier avec la mairie une régularisation du lieu.

Depuis quelques jours, on ne chôme pas au squat des Tanneries, à Dijon (Côte-d’Or). Yann, Béatrice et les autres résidents de l’usine désaffectée du boulevard de Chicago, passent leurs journées truelles et perceuses à la main. Ils s’activent pour achever les travaux de mise en sécurité de la salle de concert, qui est la pièce maîtresse de « L’espace autogéré des Tanneries » qu’ils ont créé il y a un an et demi, en passant outre l’autorisation de la ville de Dijon, propriétaire des lieux.
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[Dijon] Communiqué du défunt squat du 3 rue Saumaise – L’illusion réformiste ?

L’ILLUSION REFORMISTE ?

Dans l’article « Squats : lutter ou se légaliser ? » de la revue Cette Semaine #80 (mai-juin 2000) [ça avait aussi été diffusé sur a-infos-fr le 28 mai 2000], il est question du défunt squat du 3, rue Saumaise, à Dijon. Entre le 10 octobre 1999 et le 4 avril 2000, ce squat aura vécu de grands moments, des hauts et des bas, une expérience mémorable pour plusieurs d’entre nous. Cette expérience est réduite en quelques lignes peu représentatives dans l’article précité. Il est question de « dérives » (pas au sens situationniste du terme, mais de glissement d’un radicalisme vers un réformisme qui serait propre aux squats de Dijon – ??? -), de respect du code de procédure pénale et de pacifisme, le tout regroupé dans une « illusion réformiste »… Read More