La situation du squat du boulevard Victor Hugo, qui accueille une vingtaine de femmes et d’enfants, dont le jugement d’expulsion sera rendu public demain, met en lumière une partie de l’action du mouvement No Border à Calais.
À l’hébergement de personnes vulnérables, on peut ajouter la préparation de repas pendant l’été, au moment où les associations calaisiennes prennent un peu de reps, la distribution d’objets de première nécessité, vêtements, couvertures, tentes, mais aussi de vélos (les lieux dans lesquels les exilés doivent se rendre sont incroyablement dispersés dans Calais, et ils peuvent facilement passer leurs journées à marcher d’un point à l’autre) ou de matériel de cuisine pour meilleure autonomie. Read More