Depuis les expulsions début juillet, pour les migrant(e)s la situation du logement à Boukhalef [près de Tanger] ressemble désormais à celle de Cassiago (Ceuta) ou de Nador (Melilla): la plupart des gens vivent dans des forêts, sans abri.
En général, on ne refuse pas à tou(te)s les Subsaharien(ne)s de louer une chambre. Mais pour la plupart, ce n’est pas une option car les propriétaires demandent souvent des cautions de deux mois – pour quelqu’un(e) qui n’a rien, ou pire, un contrat de location – pour quelqu’un(e) qui n’a pas de papiers. Pourtant, il y a des maisons à Doha et à Miznana (deux quartiers avant Boukhalef) où il y a couramment beaucoup de “Blacks”. Read More