La Justice a craqué, cachée derrière la devise « Liberté, égalité, fraternité ». Il semble bien que deux personnes se trouvent actuellement en prison pour des faits qui ne sont normalement pas passibles d’une condamnation pénale ! « Le squat de A à Z » le précise très clairement (voir chapitre « Face à la Justice »), « les procédures pour squat dépendent de la juridiction civile (tribunal d’instance ou administratif), c’est-à-dire un conflit entre deux parties, où il n’y a pas de risque de prison ».
Comme l’indique avec complaisance (voire avec satisfaction) l’article ci-dessous paru dans Paris-Normandie le 5 avril 2016, deux Albanais qui squattaient une maison vide à Dieppe depuis au plus de deux jours ont été arrêtés pour des faits imaginaires: « des faits d’effraction d’une habitation ». Read More